• Le puceau et la vieille paysanne

    Un texte que je vous mets en entier ici, l'original est sur http://cozop.com/ et sur http://bidocheworld.zeblog.com


    Ca se passait au tout début des années 80, dans une petite ville de la France rurale, un chef -lieu de canton comme il en existe beaucoup. Nous étions en été et je travaillais pendant les vacances, dans le magasin de mon père. Celui-ci tenait la crémerie du bourg. On y trouvait bien sûr tous les produits à base de laitages, un fantastique assortiment de fromage et aussi un petit étal de fruits et légumes de notre jardin. Cela faisait plusieurs été que je l’aidais, remplaçant l’apprentie qui durant l’année scolaire remplissait ce rôle. Je venais d’avoir dix-huit ans et je dois bien avouer que cette tâche commençait à me peser à l’âge où mes camarades profitaient de leur pause estivale pour draguer les filles de la ville venues en vacances dans leur famille ou séjournant au camping avec leurs parents. Heureusement, j’avais tout de même mes soirées pour les rejoindre, ainsi que mon court week-end. Le magasin était fermé le dimanche après-midi et le lundi toute la journée, ce qui me laissait malgré tout un peu temps libre à occuper.
     
    Mais aujourd’hui, je ne veux pas vous parler de la manière dont je draguais les jeunes minettes de passage. Non, ce qui me pousse à vous écrire, c’est une autre aventure . Je veux vous dire comment j’ai perdu mon pucelage, dans des circonstances tout à fait particulières, alors que je ne m’y attendais pas le moins du monde.

    Mon père avait mis en place une tournée qui desservait un certain nombre de petits hameaux éloignés du centre-ville (si l’on peut appeler ainsi les quelques rues qui, au milieu du bourg, accueillaient les rares commerces qui avaient survécu à l’exode rural frappant la région). Comme j’avais obtenu mon permis de conduire au printemps, il me confia sa vieille fourgonnette dès la première semaine du mois de juillet pour que j’effectue la visite hebdomadaire aux clients isolés. Ceux-ci téléphonaient au magasin le mercredi pour passer commande et être livrés le lendemain matin. Ainsi, je n’avais pas à transporter inutilement de la marchandise en excès. J’ai pris la route dès neuf heures car le circuit faisait quand même une bonne cinquantaine de kilomètres, effectués sur de petites routes sinueuses et étroites.

    Je suis arrivé chez ma dernière cliente vers midi. J’étais bien content d’en avoir terminé, même si les gens, tous des paysans assez rudes d’ordinaire, s’étaient montrés relativement agréables avec moi. J’avais même dû refuser deux ou trois verres de vin, me contentant plus raisonnablement d’une tasse de café. J’ai garé mon véhicule dans la cour d’une ferme très isolée, située à plusieurs centaines de mètres des maisons les plus proches. Personne n’est venu à ma rencontre cette fois-ci, comme ça avait été le cas plusieurs fois dans la matinée. J’ai attendu un peu avant de me décider à aller voir de plus près si j’étais bien attendu. J’ai pris le colis destiné à l’unique habitante de la ferme. Dessus était indiqué son nom : Mauricette Leduc. J’ai fait les quelques pas qui me séparaient de l’entrée de la ferme assez prudemment, en restant sur mes gardes, de peur de me trouver nez à nez avec un chien pas vraiment jovial, comme c’est souvent le cas à la campagne. Quand je suis parvenu sur le pas de la porte , j’ai frappé doucement au carreau, juste au-dessus de la poignée de porcelaine blanche ébréchée. Je n’ai pas eu de réponse. J’ai essayé encore une fois avant de penser à retourner vers ma fourgonnette. J’allais partir quand je me suis dit que je devrais tout de même vérifier si la cliente n’était pas tout simplement dans l’incapacité de me répondre. Alors j’ai essayé de tourner la poignée. La porte s’est ouverte sans difficulté. Je l’ai poussée et je suis entré, à pas de loup. J’étais dans un petit couloir, bas de plafond et assez peu éclairé qui longeait l’étable, de l’autre côté du mur. Je l’ai traversé et je suis arrivé au bout, vers la pièce plus lumineuse qui servait de cuisine. Là, il y avait une autre porte , elle aussi vitrée. J’ai entendu un peu de bruit à l’intérieur. Légèrement inquiet, je ne me suis pas avancé au-delà, me contentant de porter ma tête en avant pour jeter prudemment un oeil à travers les carreaux. Je découvris dans la petite pièce la raison pour laquelle je n’avais pas été accueilli plus chaleureusement lors de mon arrivée.
     
    Il y avait là une femme, une paysanne sans âge. Je lui donnai arbitrairement la soixantaine. A dix-huit ans, on voit souvent les adultes plus vieux qu’ils ne le sont en réalité. Pour ne rien arranger, elle était vêtue d’un tablier bleu et rose à grosses fleurs, comme on en voit beaucoup dans ce genre de milieu. A croire qu’il s’agit d’un uniforme ! La paysanne portait également des collants couleur chair et des sortes de claquettes en bois maintenues à ses pieds par des lanières de cuir blanc. Elle avait les cheveux gris légèrement bouclés et assez courts. Son nez était chaussé de lunettes épaisses un peu vieillottes. Mais ce qui me frappa le plus, c’était qu’elle était assise sur une chaise paillée, le tablier largement relevé sur ses cuisses et qu’elle avait glissé son bras dessous. Elle l’agitait d’une manière lancinante et régulière, mais avec une faible amplitude.
     
    J’étais peut-être puceau, mais pas pour autant totalement innocent. A l’internat du lycée où je passais le plus clair de mon temps durant l’année scolaire, les conversations avec mes camarades allaient bon train . Certains, les plus délurés, n’hésitaient pas à faire part à tout le monde de leurs propres expériences sexuelles, réelles ou fantasmées. Il arrivait fréquemment que des ouvrages licencieux circulent dans les dortoirs. Je me branlais souvent et je savais bien que les femmes pouvaient en faire de même. J’ai donc immédiatement compris ce qui se passait dans la cuisine de la ferme. La vieille madame Leduc était en train de se branler et c’est pour ça qu’elle ne m’avait pas entendu arriver. Intrigué et curieux, je décidai de rester soigneusement caché derrière la porte pour observer la suite de sa masturbation.
     
    Bizarrement, j’étais déjà excité. Si on m’avait raconté ça quelques heures plus tôt seulement, je ne l’aurai pas cru et, même, j’aurai ri au nez de celui qui aurait proféré pareille énormité. Il ne me serait jamais venu à l’idée que le spectacle d’une femme plus que mûre assise dans sa misérable cuisine et occupée à sa branlette matinale puisse me faire tellement d’effet. Pourtant, je devais bien me rendre à l’évidence : dans mon slip , Popaul était à la fête. Mon cœur battait déjà vite et j’ai dû prendre sur moi pour le ramener à plus de mesure. Caché dans l’encoignure de la porte, j’ouvris les yeux en grand et je me laissais glisser dans mon rôle de voyeur.
     
    La vieille paysanne ne devait pas s’astiquer le con depuis bien longtemps. Elle était encore relativement mesurée dans ses gestes. Je me demandais bien ce qui avait pu la mettre dans cet état. Elle savait pourtant que je devais passer la voir avec mes marchandises en fin de matinée. Ca n’avait pas l’air de la troubler. Elle avait posé un pied sur un petit tabouret et laissé aller ses fesses au bord de la chaise. La main qu’elle n’avait pas entre ses jambes était passée sous son tablier qu’elle avait déboutonné jusqu’au milieu du ventre. Elle se caressait les nichons. Je ne voyais pas ses seins, mais je pouvais constater qu’elle avait une poitrine opulente car elle était presque de profil par rapport à moi.
     
    Madame Leduc poussait des gémissements qui me parvenaient à travers la porte. De temps en temps, ceux-ci se transformaient en halètements plus saccadés. Ca coïncidait particulièrement avec les moments où le rythme de son bras devenait plus frénétique. Elle alternait maintenant les furieuses embardées et les caresses plus douces, comme si elle avait voulu faire durer son plaisir. C’est au cours d’une de ces périodes d’accalmie relative que j’ai eu la malencontreuse idée d’éternuer.

    J’ai pourtant bien essayé de me retenir mais c’est venu trop vite. En plus, j’étais tellement excité par ce que je voyais que j’ai eu du mal à réagir. Imaginez donc : c’était la première fois que j’observais une femme en train de se masturber. Même si elle n’avait rien d’un sex-symbol, je la trouvais excitante. Je ne voyais son visage que de côté, mais les grimaces qu’elle faisait en se touchant la rendaient troublante, au moins autant que les sons un peu cochons qui sortaient de sa bouche à chaque fois qu’elle s’enfonçait les doigts plus profondément dans la chatte. En plus, je ne savais pas bien pourquoi, son accoutrement de ménagère me chauffait aussi le ventre. Aujourd’hui encore, je ressens du désir quand je peux voir sur le web des femmes mûres qui se touchent, même dans les tenues les moins affriolantes.
     
    Elle a entendu mon éternuement. Là, j’aurai dû prendre mes jambes à mon cou et m’enfuir, mais j’étais tétanisé et quasiment incapable de bouger. Mes pieds étaient comme soudés au sol et quand elle s’est levée pour venir voir qui était l’intrus qui la dérangeait dans son plaisir solitaire, je suis resté derrière la porte, sans réaction. Elle a tout de suite compris que j’avais passé un petit moment à la regarder se caresser. Je devais être rouge comme une pivoine. J’avais honte de moi et de ce que j’avais fait. Pourtant, elle ne réagit pas tout à fait comme je le craignais.
     - "Et bien mon garçon, j’imagine que tu es le fils du crémier ? Tu m’as l’air d’un sacré loustic mon petit. Ca ne te gêne pas de regarder les vieilles dames qui font leur petite affaire ? Tu devrais avoir honte de toi à jouer les petits indiscrets comme ça ! Je pourrais être ta grand-mère . En tous cas, à voir tes joues bien roses, on dirait bien que ça te fait de l’effet. Entre avec moi dans la cuisine et va poser ta marchandise sur le buffet !"
     
    Penaud et ne sachant pas très bien à quel saint me vouer, j’ai fais quelques pas à sa suite sur le sol dallé de grosses pierres grises de la cuisine. J’ai déposé mes victuailles sur le meuble qu’elle m’avait indiqué, sans pouvoir sortir le moindre son de mes lèvres soudées. Elle est allée s’asseoir à nouveau sur sa chaise, avant de reprendre la parole:
     - "C’est bien mon garçon, maintenant viens voir par-là, approche ! Oui, encore un peu. Voilà, c’est bon. Dis-moi, ça ne t’a pas chauffé que les joues de regarder cette vieille Mauricette ! Tu as une belle bosse dans la culotte. Et bien dure en plus de ça ! Tu sais que c’est vilain d’espionner les femmes âgées qui se tripotent ? Regarde dans quel état ça te met !"
     
    Tout en parlant, elle avait porté sa main en avant, juste au bas de mon ventre. Elle malaxait la protubérance qui envahissait de plus en plus mon pantalon. Si j’avais rapidement débandé un peu quand elle m’avait surpris derrière la porte, ma bite rebandait sous ses doigts. Les mots qu’elle utilisait pour me parler n’étaient pas non plus étrangers à cette réaction physique embarrassante. Madame Leduc s’en rendait bien compte et elle en rajoutait encore: avait repris de la vigueur dès qu’elle y avait posé les doigts. Les mots qu’elle utilisait pour me parler n’étaient pas non plus étrangers à cette réaction physique embarrassante. Madame Leduc s’en rendait bien compte et elle en rajoutait encore :
     - "Tiens, qu’est ce que je dis ! Ton zizi est tout gros, ce n’est pas normal. Regarde, ton froc est complètement déformé maintenant ! Il va falloir remédier à cela si tu veux pouvoir reprendre ta route tranquillement. Sans ça, tu risque de ne pas pouvoir rouler en sécurité. Les routes sont difficiles par ici et tu me semble bien jeune pour faire le trajet dans cet état. Ce n’est pas très grave, je vais bien m’occuper de toi, tu verras."
     
    Elle continuait à me tripoter en s’inventant des excuses vaseuses. Je ne savais pas si elle le faisait pour se donner bonne conscience; ses doigts massaient mon sexe qui s’était redressé dans mon slip . Elle en faisait aller deux, en pince, tout au long de mon manche. De temps en temps, elle s’arrêtait en haut et faisait rouler mon gland entre ses phalanges grassouillettes. Je me surpris à agiter les genoux et les cuisses d’excitation. Cela ne lui échappa pas, et elle me sourit, conscience ou pour me rassurer, mais, a vrai dire, je m’en foutais un peu.
    - "Mais dis-donc, c’est que tu es un sacré cochon mon garçon. Ne voilà-t-il pas que tu t’excites encore alors que tu devrais te calmer ! Il va falloir utiliser les grands moyens où je me trompe. Ne t’en fais pas, ta Mauricette sait y faire avec les jeunes puceaux de ton espèce. J’en ai déjà soulagé plus d’un au cours de toutes ces années. Moi aussi j’ai été jeune et fringante, tu sais ?"

    Sa question n’appelait pas de réponse. De toute manière, j’étais bien incapable d’ouvrir la bouche pour parler. Tout ce que j’arrivais à sortir, c’était les soupirs que m’arrachaient les caresses de la vieille paysanne. Oui, elle savait y faire, assurément. Sous prétexte de me soulager, elle ne cessait au contraire d’amplifier le désir qui me tenaillait l’intérieur du ventre. Je sentais mes couilles qui, sous ma bite raide, durcissaient de plus en plus. J’étais déjà en train d’oublier que la femme qui me tripotait n’avait rien des filles sur papier glacé que je matais avec mes camarades de dortoir sur les magazines qu’ils ramenaient après le week-end. Pourtant, je la voyais dans ses vêtements de mamie cochonne, mais cela n’était que tout à fait secondaire comparé à l’action perverse de ses doigts sur ma queue . Et dire que ce n’était que le tout début de notre rencontre !
     - "Tu sais mon petit bonhomme, ta Mauricette n’a pas eu le temps de se finir avec tout ça. Elle a aussi des besoins à satisfaire, tout comme toi. Viens donc plus près et montre-lui comme tu peux être gentil quand tu veux!"

    Elle avait pris ma main dans la sienne et, tout en continuant à me triturer le bout de la quéquette, la porta vers ses grosses miches. Elle l’enfourna sous son tablier, puis sous le nylon couleur chair de son soutien-gorge de vieille ménagère. Là, mes doigts tombèrent sur un globe charnu à la peau légèrement plissée puis, plus bas, sur une tétine démesurée. Instinctivement, je me mis à la toucher. C’était la toute première fois que je pouvais sentir sous ma main la lourde et chaude mamelle d’une femme . Inutile de préciser que ceci augmenta encore l’intensité du trouble que je ressentais et, par voie de conséquence, la raideur de mon sexe. Elle fit mine de s’en offusquer:
    - "Petit cochon, voilà comment tu me remercies? J’essaye de soulager ta gêne et tu en profites pour me tripoter les lolos. Ca suffit maintenant, je vais devoir en finir avec toi. Descends ton pantalon et ta culotte, et plus vite que ça!"

    Je n’avais qu’une main à ma disposition mais elle m’aida avec la sienne. Elle abaissa mon futal et mon slip sur mes chevilles. Je me sentais un peu tendu mais je continuais pourtant à lui toucher le bout du téton. J’étais en train de prendre conscience du fait qu’elle avait au moins autant envie que moi d’aller plus loin et, par conséquent, que j’avais un réel avantage sur elle. Son petit jeu me convenait tout à fait et j’étais bien décidé à le jouer jusqu’au bout.

    Quand mes vêtements eurent rejoint le sol froid et sec de la cuisine, elle reprit ma bite entre ses doigts et entreprit de la masturber plus franchement. Son pouce et son index me prenaient le bout du nœud et ils le faisaient rouler entre eux. Madame Leduc était plus troublée par la situation qu’elle ne voulait bien le dire. Elle commençait à haleter, presque autant que moi. Je décidai d’intensifier mes caresses sur ses seins et de passer alternativement de l’une à l’autre de ses grosses miches. Je tirais sur les deux longs tétons que je sentais grossir entre mes jeunes doigts à chaque fois que je leurs apportais toute mon attention.

    La vieille cochonne devenait elle aussi de plus en plus active sur mon chibre. Elle ne se contentait plus de me masturber le gland mais faisait aller et venir sa main sur toute la longueur de mon manche. Pourtant, elle le faisait encore assez lentement pour ne pas m’amener prématurément à la jouissance. Mieux, elle savait quand elle devait marquer une pause pour m’aider à me retenir. Plusieurs fois, j’ai failli être emporté par le plaisir , mais elle s’est à chaque fois arrêtée à temps pour que mon foutre reste dans mes couilles.

    - "Tu es un peu fougueux mon garçon ! Moi aussi je l’étais, plus jeune. Maintenant, je sais comme il est bon de savoir prendre son temps. Ton zizi est déjà si gros et si dur  ! Approche-toi encore un peu de moi et je vais te montrer comment je peux m’en occuper encore mieux ! N’aie pas peur, avance, viens par ici !"

    En disant ça, elle tirait sur ma bite. J’ai fait encore un pas vers elle. Alors, elle a penché la tête vers moi et a posé ses lèvres sur mon gland violacé.

    Si on m’avait raconté ça ne serait-ce que quelques heures plus tôt, j’aurai sans doute été dégoûté. En tous les cas, je n’aurai certainement pas trouvé follement excitante la perspective de me faire sucer la bite par une femme aussi âgé que Madame Leduc, la cliente de mon père. J’aurai plutôt imaginé que le spectacle de ses lèvres déjà parcheminées s’enroulant autour de mon sexe m’aurait fait débander. Bizarrement, ce n’est pas ce qui se produisit une fois placé devant le fait accompli, bien au contraire.

    J’accueillis le geste de la vieille fermière et la douce chaleur de sa bouche sur mes parties génitales avec un soupir de contentement. Mon braquemart se mit à grossir encore plus dès qu’il se fut entièrement introduit dans sa cavité buccale. Elle m’attira contre elle en me tenant par les fesses . Elle me serrait fort contre son visage . Je posai ma main libre à l’arrière de sa tête et la tint contre moi. L’autre continuait pendant ce temps de fourrager dans son soutien-gorge, pelotant allègrement ses gros seins , l’un après l’autre. Je tirai ostensiblement sur les longues tétines car j’avais remarqué qu’elle appréciait ce geste qu’elle devait trouver pervers. Elle tendait son buste en avant pour mieux me permettre de maltraiter ses loches. Elle leva son visage vers moi et dédaigna ma verge un court instant, suffisant pour me parler à nouveau comme à un sale gosse :
    - "J’aime comme tu me tritures les nibards mon mignon, continue comme ça et je vais te faire beaucoup de bien, tu vas voir. Quand j’étais jeune, certains m’appelaient ” langue agile ” dans les environs. J’aimais bien téter les pines des hommes, les soirs de bal, dans la pénombre. Je crois que je suis toujours capable de faire des prouesses. Donne-moi encore ton gros morceau et tu vas t’en rendre compte. Si tu veux, avec ton autre main , tu peux aussi aller me toucher entre les cuisses. Elles sont un peu plus grassouillettes que jadis, mais le trésor qui s’y trouve est toujours aussi juteux et avide de caresses. N’hésite pas à lui rendre visite mon garçon !"

    Cette vieille cochonne savait trouver les mots qui me faisaient bander. Dès qu’elle a eu fini son monologue, elle s’est jetée à nouveau sur mon phallus tendu au maximum. Avant de le prendre une fois de plus entre ses lèvres, elle a pointé sa langue dessus et l’a léché un peu, comme pour me prouver la véracité de ses dires. C’est vrai qu’elle était douée. Mon gland était déjà presque entièrement décalotté mais la peau du prépuce n’était pas encore totalement repliée sous le sensible champignon de chair. Elle le faisait exprès pour faire durer le plaisir , j’en étais certain. Son petit muscle pointait sur le trou à pisse de mon zob. Elle me léchait le méat urinaire en sachant très bien que cela me procurait un plaisir intense. Pourtant, elle y alla modérément. Je la soupçonnais de me ménager pour profiter encore elle-même un bon moment de mes caresses.

    Comme elle me l’avait demandé, j’ai laissé aller ma main libre vers son entrejambe. Elle écartait déjà les genoux et elle tirait sur le bas de son tablier pour le remonter. En baissant la tête, je pouvais voir le haut de ses cuisses gainées de nylon. Elles étaient un peu fortes mais demeuraient tout de même attirantes, surtout pour moi qui étais si excité par la nouveauté de la situation. Mon bras s’est tendu et mes doigts ont glissé sur son collant, jusqu’à ce qu’ils atteignent sa motte rebondie. Je l’ai touchée à travers l’épaisseur de ses sous-vêtements, à l’aveuglette. Au début, je me suis contenté d’appuyer le bout de mes doigts là où je pensais que se trouvait sa chatte. Je n’avais encore jamais caressé une femme à cet endroit et mes connaissances sur l’anatomie féminine étaient tout ce qu’il y a de plus théoriques à cette période de ma vie. Pourtant, tout s’est bien passé. Je me suis basé sur les réactions de son corps pour savoir comment m’y prendre et, en plus de ça, elle m’a aidé au début en guidant les mouvements de ma main avec la sienne. Je me suis rendu compte rapidement que j’étais sur la bonne voie quand j’ai senti au bout de mes phalanges les premières traces d’humidité qui apparaissaient sur la maille de son collant. Après avoir lâché ma queue une nouvelle fois, elle me confirma, que je m’y prenais correctement :
    - "Oui, mon petit, c’est bien comme ça ! Tu apprends vite, tu fais du bien à Mauricette. Tu sens comme elle coule ta vieille cochonne ? Tu sens sa mouille qui suinte de sa vieille chatte ? Elle est en train de salir sa culotte avec son jus de femmemouille comme ça. Tes petits doigts lui font du bien et c’est pour cela qu’elle salope son slip, la grosse cochonne mûre. C’est toi le responsable mon garçon, c’est parce que tu lui tripotes le berlingot qu’elle mouille."

    Elle commençait vraiment à s’exciter beaucoup et ça ne me laissait pas indifférent, loin de là. Dès qu’elle avait fini de parler, elle se jetait de nouveau sur ma bite qui n’en pouvait plus de triquer. Elle avait aussi lâché ma main qui massait sa vulve et l’avait portée à mes couilles. Elle me touchait les testicules avec ses doigts épais de grand- mère tout en me pompant maintenant le dard sans vergogne.

    Je lui tripotais la chatte avec toujours plus d’assiduité. Je faisais aller et venir le plat de mes doigts réunis sur toute la zone mouillée de sa culotte, qui s’étendait peu à peu, à mesure que son trouble augmentait. Mon index et mon majeur étaient trempés. Ils glissaient bien sur le nylon. Alors j’ai décidé de continuer mon exploration et d’aller les fourrer directement sous ses vêtements. Je suis remonté un peu plus haut et j’ai commencé à tirer sur l’élastique de son collant, puis sur celui de son slip . Je suis tombé sur la naissance d’une touffe de poils serrés et frisés. En descendant vers la fente de Mauricette, je suis entré en contact avec les gouttes de mouille qui inondaient déjà ses fringues. Puis, encore plus bas, j’ai fini par atteindre les bourrelets chauds et gonflés de ses grandes lèvres. J’ai laissé parler mon instinct et mon index s’est mis à vadrouiller au milieu des deux morceaux de chairs gorgés de sang, juste dans la fente de son sexe. Elle avait avancé ses fesses sur le siège en paille de la chaise, pour me donner plus facilement, pensais-je alors, accès à son minou. Elle reprit la parole encore une fois, offrant par la même occasion un nouveau moment de répit à mes couilles de plus en plus pleines à et mon gland ultra sensible. J’en avais bien besoin.

    - "Mais le petit coquin me tripote le trou maintenant ! Petit vicieux va ! C’est bien, continue comme ça, fais bouger ton doigt dans le sillon humide de ta Mauricette. Pousse un peu, fais-le entrer dans sa craquette ! Oui, vas-y, comme ça, encore un peu… Oui, bien au fond. Tu sais, tu peux en mettre deux, il y a de la place, largement. Oui, mets l’autre aussi, oh, espèce de dévergondé ! Il faut que ta gentille Mauricette te remercie pour ce que tu lui fais avec ta main . Tu vas voir, elle va encore te sucer le zizi. Elle va faire un effort pour te donner encore plus de bien. Il faut soulager cette quéquette maintenant, il est temps de la vider."

    Replongeant immédiatement sur ma verge, elle se mit à la téter plus violemment que jamais. Il faut croire que je parvenais malgré mon inexpérience complète à la mettre dans tous ses états. Sans doute que l’idée de se faire branler la moule par un jeune mec qui aurait pu sans problème être son petit-fils n’était pas étrangère à la chose. C’est ce que je me suis dis après cette mâtinée mémorable.
     
    Mes doigts fouillaient l’intérieur de sa caverne détrempée. Les élastiques de ses sous-vêtements me sciaient le poignet mais ce n’était pas grave, je n’y pensais même pas. J’entendais le chuintement excitant provoqué par les mouvements de ma main qui baignait dans son jus de femme en chaleur. Mon majeur, associé à mon index se baladait dans tout le volume étouffant et moite de son vagin. Le renflement de la paume de ma main appuyait sur quelque chose de dur . J’ai compris seulement plus tard qu’il s’agissait de son clitoris qui bandait sous l’effet de mes attouchements.

    Les lèvres de madame Leduc ont encore coulissé quelques minutes sur ma pine. Elle me léchait le nœud en même temps que ma queue entrait et sortait de sa bouche . Je bougeais le bassin pour accompagner le mouvement de son trou sur ma tige. C’était bien trop fort pour le jeune puceau que j’étais. Je me suis lâché dans sa bouche sans même penser à me retirer. J’étais presque désemparé, ne sachant comment réagir, mais ça ne m’a pas empêché de savourer ma jouissance et la saine expulsion de mon sperme juvénile.

    Mais la vieille cochonne n’a pas voulu en rester là. Elle m’avait fait plaisir en acceptant de prendre à sa charge le surplus de mes couilles. Elle avait tout avalé, ne laissant que quelques gouttes s’échapper et couler au coin de ses lèvres. Ses yeux révulsés montraient combien ça l’excitait de prendre mon jeune foutre dans sa gueule. J’ai essayé tant bien que mal de continuer à lui caresser la chatte pendant que je jouissais, mais c’était peine perdue. Tout cela était bien trop fort et nouveau pour moi qui, jusque là n’avais connu le bonheur de jouir que dans ma main , lors des séances d’onanisme qui égayaient mes longues nuits trop solitaires. Mes genoux s’étaient dérobés sous moi au moment fatidique et il avait fallu toute la vigueur de Mauricette Leduc pour que je réussisse à demeurer debout. Elle me tenait fermement par les fesses avec ses grandes mains calleuses de paysanne mature. Après avoir dégluti, elle s’adressa à nouveau à moi en me tenant des propos scabreux qui n’auraient pas dépareillé dans la bouche d’une pute :
    - "Petit cochon, tu t’es vidé les boules dans ta vieille Mauricette, tu m’as rempli l’estomac avec ton sale jus de gamin. Vicieux. Mais moi je n’ai pas eu mon compte. C’est bien beau de me faire miroiter de choses comme ça si c’est pour me laisser tomber au mauvais moment. Tu ne partiras pas d’ici avant de m’avoir contentée mon gaillard. Je vais finir de te nettoyer le zizi et ensuite, tu vas continuer à t’occuper de moi. Il faut finir ton travail !"

    Comme annoncé, elle m’a lavé le bout de la bite avec sa langue et ses lèvres, nettoyant jusqu’à la dernière goutte de sperme . Mon gland était propre comme un sou neuf après ça. Le problème, c’est que je recommençais déjà à bander. Ce n’était jamais revenu aussi vite quand je me branlais mais là, je trouvais ça si excitant… Quand elle a eu fini de me téter le nœud, elle m’a forcé à m’agenouiller devant elle. Elle a relevé son tablier puis descendu son collant et sa culotte souillée de sa mouille sur ses chevilles. J’ai du me mettre à genoux entre ses cuisses et passer ma tête sous son vêtement de ménagère. Ca sentait le fauve là-dessous, une odeur âcre de vieille femme un peu négligée. Il faut dire qu’elle mouillait depuis un bon moment déjà, sans doute même avant mon arrivée à la ferme, quand elle se tripotait en croyant être toute seule.

    Elle a pris ma tête à deux mains et l’a tirée vers sa cramouille encore baveuse. Je n’y voyais pas grand chose et ça ajoutait encore à mon trouble. Brusquement, mon nez a cogné sur son sexe poilu. Ca m’a chatouillé un peu et j’ai dû me retenir de ne pas éternuer une fois de plus. Je ne savais pas quoi faire, ce qu’elle attendait réellement de moi. Elle se chargea de me mettre au parfum, si j’ose dire.
    - "Allez, tu l’as assez reniflé mon vieux minou. Il est temps d’y mettre la langue . Fais-moi du bien avec ta bouche mon garçon ! A toi de me rendre la politesse, vas-y, mets-y la bouche , embrasse ma connasse de vieille salope ! Voilà, oui, comme ça ! Maintenant, fais-la bouger dessus, lape bien tout au long de ma fente ! Hum…"

    J’essayais de faire de mon mieux. Son jus avait un drôle de goût. Je trouvais ça excitant et ça faisait durcir ma pine entre mes jambes. Alors, sans réfléchir, j’ai lancé mon bras sur mon membre et j’ai commencé à me branler un peu, lentement, comme je le faisais souvent à la maison ou à l’internat. Ce geste n’a pas échappé à madame Leduc.

    - "Ah mais c’est qu’il en veut encore le cochon. Ca ne te suffit pas d’avoir dégorgé ton poireau dans ma bouche  ? Il faut encore que tu t’astiques la quéquette avec tes doigts mon lascar ? Ta Mauricette a mieux que ça mais d’abord, branle-toi un peu, j’aime bien te regarder astiquer ta petite zigounette. N’oublie quand même pas de me lécher le chat mon garçon !"

    Elle me laissa me caresser pendant que je lui mangeais la chatte. J’aurai dû être gêné de faire ça sous ses yeux de vieille perverse, mais j’étais vraiment trop chaud pour m’en priver. Après quelques minutes, je sentis son pied qui venait toucher ma main . Mes doigts coulissaient sur mon manche et ses orteils cherchaient à se poser sur le bout de ma bite . Bientôt, son autre pied se joignit au premier. Elle me caressa longuement en bougeant ses jambes. Ses cuisses potelées frottaient contre mes oreilles alors que je poursuivais mon cunnilingus en m’appliquant à bien fouiller l’intérieur de son trou. J’avais trouvé son clitoris . Je trouvais excitante cette sorte de petite pine qui pointait. J’entrepris de la sucer comme elle me l’avait si bien fait un peu avant. Elle m’encouragea à continuer dans cette voie :
    - "Oh mon salaud, mon petit curieux, tu as trouvé le bouton d’ amour de ta Mauricette ? Je suis certaine que c’est le premier que tu tètes. Vas-y, montre ce que tu sais faire ! Prends-le entre tes lèvres, suce-le bien, tire dessus et fais-le rouler entre tes lèvres. Oui, comme ça, encore, c’est très bien, tu es doué mon cochon. Tu sens comme je te caresse avec mes pieds ? Tu aimes ça hein, ça te fait triquer mon gaillard. Tu aimes qu’une vieille femme te branle avec ses pieds de mémé ? Ca te fais bander fort, mais cette fois, je ne veux pas que tu jouisses en égoïste. C’est moi qui déciderai quand tu pourras te vider les couilles à nouveau !"

    Je ne me touchais presque plus maintenant. Elle faisait tout le travail avec ses pieds et je me contentais de lui bouffer la cramouille. J’avais pris goût à son odeur, à la saveur douce amère de sa liqueur de femme qui coulait dans ma bouche . Surtout, je m’excitais à lui téter toujours plus assidûment le clito. J’avais remarqué qu’elle appréciait ça et qu’elle remuait du bassin sur sa chaise à chaque fois que je l’aspirais. Poussant le vice un peu plus loin, j’ai aussi commencé à la doigter en même temps. Elle a franchi un palier dans la montée du désir quand je me suis mis à lui fouiller le vagin avec deux doigts .

    - "Ah, ah, petit vicieux, tu me fouilles aussi le trou avec tes doigts  ! C’est trop, c’est trop bon ! Oh, oh… je n’en peux plus, il faut que tu viennes, il faut que tu m’enfiles maintenant, je veux quelque chose de plus gros dans moi. Viens, viens, nique-moi, prends-moi avec ta bite de jeune salaud ! Tout de suite !"

    Je ne savais pas très bien comment m’y prendre, mais ce n’était pas grave. Elle a tout fait pour m’aider. Elle s’est dégagée de l’emprise de mes doigts et de ma bouche , ses pieds ont quitté ma bite qu’ils branlaient depuis un bon moment. Puis, elle s’est levée de la chaise et elle est allée s’asseoir sur la massive table de ferme en me tirant par la main . Là, elle a écarté une nouvelle fois ses cuisses un peu fortes. Elle était complètement débraillée. Son tablier ne tenait plus fermé que par un ou deux boutons, au milieu. L’un de ses seins débordait de son soutien-gorge. Même la longue tétine était dehors et se dressait d’une façon on ne peut plus obscène.

    Avant de se laisser descendre sur le plateau de la table pour s’allonger, elle a laissé pendre ses jambes au bout et elle m’a attiré vers elle. Elle a caressé ma queue encore une fois, avec ses doigts cette fois-ci. Puis, elle l’a tirée vers son trou baveux et l’a fait disparaître à l’intérieur de la forêt de poils gris. J’ai senti mon gland qui passait la barrière de ses lèvres, gonflées à mort par le désir qui lui échauffait la chatte. Sans me poser de questions inutiles, j’ai entamé le mouvement de va-et-vient qui s’imposait. Elle a crié que je lui faisais du bien et que j’étais un sale obsédé sexuel, que je tirais une mamie sans aucune gêne et plein d’autres insanités qui m’excitaient toujours plus.

    Elle était comme folle et, à un moment, elle s’est redressée un peu pour venir se coller contre moi. Elle a fourré sa grosse langue épaisse dans ma bouche , en fouillant partout dedans. J’ai voulu lui faire encore plus plaisir alors j’ai mis ma main sur son sein apparent et j’ai torturé son téton grumeleux. Elle soufflait comme un phoque et semblait incapable de parler encore. Je me sentais bien dans sa chatte de vieille, surtout quand mon sexe butait tout au fond. J’ai augmenté le rythme de mes mouvements jusqu’à ce qu’un éclair d’une puissance phénoménale me transperce le ventre et que mes couilles se vident pour la deuxième fois de la mâtinée. Le corps de Mauricette était agité de soubresauts éloquents, elle sautait sur la table en gueulant qu’elle jouissait, qu’elle allait mourir de plaisir .

    Quand j’ai commencé à débander, je suis sorti de son trou. Elle était presque inconsciente. Je me suis assuré qu’elle respirait encore et j’ai prestement enfilé mes fringues avant de prendre mes jambes à mon cou. Je ne voulais pas me trouver là quand elle finirait par reprendre ses esprits. J’ai eu beaucoup de mal à faire la route jusqu’au magasin de mon père.

    Je n’ai pas réussi à raconter cette aventure à quiconque jusque là. J’avais un peu honte d’avoir perdu mon pucelage dans ces conditions, avec une vieille paysanne aussi peu sexy. Je ne sais pas si mes amis auraient pu me comprendre mais ce dont je suis certain, c’est qu’ils auraient sans nul doute réagi de la même façon que moi s’ils avaient été à ma place.

    La semaine suivante, je suis retourné contraint et forcé chez cette cliente, comme toutes les autres semaines de cet été là d’ailleurs. Elle m’a fait vivre les pires saloperies. Peut-être que je trouverai un jour la force de vous les raconter.

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