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La révélation épisode 6
Un récit de mon amie Clodinette, écrit avec mon aide.
La révélation Épisode 6
Langeage
Donc dans l'attente de découvrir les très intéressants commentaires des innombrables lecteurs et les conseils très documentés qu'ils ne manqueront pas de fournir pour enrichir le texte, sur les éléments de la tenue que l'épouse devra revêtir pour se transformer en véritable et authentique nurse de son époux qu'elle transforme progressivement en Marie-Rose.
Je vais au plus rapide, et je lui fais revêtir tout simplement une blouse, quelle avait déjà dans sa garde-robe. Elle ne la mettait que pour exécuter des taches sales, de rangement et de nettoyage.
Cette vulgaire blouse semblait destinée à jouer un rôle dans cette histoire érotique et voilà ce qu'elle réveillait chez son mari et révélait comme souvenirs et émois.Un jour qu’elle avait revêtue cette fameuse blouse d'une couleur d'un vague beige, je lui avais dit:
- Quand tu mets cette blouse, tu me fais penser à ma mère qui en portait une semblable.Et je me souviens qu'une fois, elle l'avait mise, et m'avait surpris en train de de me masturber en reluquant avidement des images de femmes en tenues légères sur le gros catalogue des Trois Suisses qui existait encore à l'époque. Elle tenait à la main un grand battoir à tapis en rotin, et sans hésiter, elle m'en administra une bonne dizaine de coups sur mon postérieur, heureusement toujours protégé par ma culotte, en s'écriant:
- Tu n'as pas honte petit sacripant de faire ça, dégoûtant, vicieux!Mais elle n'avait pas l'air trop en colère, je devais avoir 12/13 ans , et je la soupçonne, d'avoir ressenti une certaine fierté e découvrir que chez son rejeton mâle, l'expression par cette action, d'une belle virilité naissante.
Toujours est-il que cette première fessée rustique a certainement été une des premières clefs qui explique le développement dans mon inconscient l'association que fait mon esprit entre image érotique / émoi sexuel / fessée et BLOUSE (ça vaut bien 3!!!)
Sans expliquer tout cela à mon épouse, quand je l'ai observée épousseter les meubles avec une blouse comparable à celle que portait ma mère, je lui ai simplement dit:
- Tu me fais penser à ma mère.Mon épouse, fine mouche, savait que dans mon enfance j’avais subi une éducation assez sévère, sans être brutale, avait déduit de ma réaction à la vue de cette blouse, que cette pièce de vêtements pouvait avoir sur moi un effet émoustillant. Donc pour compléter sa tenue de nurse en puissance, elle avait tout simplement revêtu sa blouse de travail, et pour paraître encore plus efficace et représentative de la gent autoritaire et dominatrice, elle s'était entouré la taille d'une ceinture de tissu, et chaussée de bottillons à lacets et petits talons d'un style un peu vieillot.
Cette tenue n'a pas manqué de provoquer immédiatement un effet physique et psychologique sur moi. Je me suis mis à bander et me sentir redevenir le petit garçon soumis et adorateur de ma mère que j’étais autrefois.
Mon épouse s'en aperçu mais ne s'attarda pas sur le phénomène. Elle poursuivit ses explications sur la suite de ce qui allait se passer.
- Nous allons nous préparer pour aller faire les courses habituelles au supermarché. Comme j'en ai marre de te voir disparaître et me laisser en plan au beau milieu du magasin, me laisser me dépatouiller avec le choix des de nos achats, pour aller soi-disant soulager ta vessie, j'ai décidé de te mettre des couches sous ton pantalon avant de partir. Comme cela si l'envie te prend pendant que nous serons dans le rayon tu pourras faire pipi comme un grand garçon sans problème.A cet instant, sans réfléchir, sous l'effet de la stupéfaction, j'ai réagi en disant:
- Mais Maman...!Je suis bien obligée de mettre des points de suspension pour marquer l’ébahissement et l’effroi du mari qui ne s'attendait absolument pas à vivre cette situation de régression infantile qui de plus provoquait en lui un trouble intense et une belle érection.
- Mais Maman…!Deuxième série de point de suspension pour exprimer son deuxième sujet d'effarement: il avait appelé sa femme Maman et avec un M majuscule en plus!
Elle ne fit aucun commentaire sur l’emploi de ce mot, qui , au fond ne l’étonnait pas tellement. Elle sortit de son armoire tout le matériel nécessaire : couches, pointe à nouer, culotte caoutchouc, tout ce qu'elle avait trouvé au grenier.
- Déshabille toi complètement, ordonne-t-elle.Elle étendit sur le lit, à défaut de table à langer, ce que certains lecteurs très avertis de ce genre de situation ne manqueront pas de reprocher à l’auteur de ne pas l'avoir prévu dans son récit, une grande toile cirée pour protéger d'éventuels projections. Je leur réponds, à ces lecteurs qui me reprochent l’absence de table à langer, que je ne suis qu'au début de la prise en main et du dressage du mari par cette épouse qui apprend au fur et à mesure toutes les pratiques que doit mettre en œuvre une bonne nurse sévère.
Elle a encore beaucoup à découvrir de l'art de la nurserie. Je demande donc à ces lecteurs connaisseurs impatients, de ne pas hésiter à enrichir mes connaissances en la matière, j'en prendrait note pour la rédaction de mes récits à l'avenir.
Je me demande où j’en suis de la longueur standard de l’épisode que je dois écrire pour satisfaire l’exigeante directrice sévère Tatie chérie qui ne va pas manquer de compter les mots, et s'il en manque, ou s’il y en a trop, gare à mon postérieur!
Comme je ne veux pas perdre du temps à les compter, et prendre des risques je continue.Mon épouse reprit la parole:
- J'ai décidé, pour jouer le rôle de nurse avec le plus de réalisme possible, et parce que j'ai observé sur ton blog, que c'était bien vu d'adopter des pseudos, de prendre celui de Bérénice, une héroïne de théâtre à forte personnalité.Dame Bérénice place donc sur le lit, je reprends le fil de mon récit, une grande toile cirée destinée à protéger la courte pointe d'éventuelles projections, elle dispose dessus une grande pointe puis une couche en bouclette.
- Mets-toi tout nu et couche toi sur le dos tes fesses bien centrée sur la couche.Je m’exécute sagement en frissonnant. Elle prend une lingette et commence un nettoyage en règle de mon pénis et de mes bourses.
- Humm, grommelle-t-elle, tous ces poils sont vraiment gênants pour bien effectuer ce nettoyage, et ne font pas très petit garçon, il faudra y remédier.Marie Rose n'ose imaginer ce que cela peut signifier, mais elle commence à s'attendre à tout et même eu pire!
- Renverses tes jambes le plus possible en arrière en les écartant bien (elle accompagne le mouvement avec sa main gauche) pour que je puisse aussi bien nettoyer ta raie des fesses.
Elle s'exclame:
- Mais dis-moi petit pourceau, tu ne t'es pas bien essuyé ce matin après avoir été aux toilettes, regarde ce que j'ai ramassé avec ma lingette autour de ton petit trou!Elle m’expose devant ma figure la lingette avec une grande trace brune et me la frotte sur le museau et sur la bouche.
- Sale petite cochonne. Je comprends maintenant pourquoi le fond de tes slips est souvent sale! Dégoutant personnage, je passe pour cette fois car je n'ai pas le temps de sévir maintenant mais je te préviens que si cela se reproduit je serais dans l'obligation de punir. Tiens-le-toi pour dit et - elle réfléchit un instant et ajoute – je te préviens qu'une fois de temps en temps, au hasard, j'exigerais que tu viennes après ton passage aux toilettes, de venir te mettre à quatre pattes sur la table basse, culotte baissée, et de me présenter tes fesses en les écartant bien avec tes mains pour que je les inspecte. J'aurais le martinet à portée de main au cas où… COMPRIS SALE COCHONNE?Je balbutie :
- Oui Ma.… euh Bérénice...Une gifle me rappelle à l'ordre :
- Oui qui ?Je m'empresse de répondre cette fois sans hésiter et avec, je le reconnais une certaine jouissance:
- Madame Bérénice.Cette jouissance se manifeste d'ailleurs par une érection irrésistible te spectaculaire de mon engin. Si bien qu'au moment de replier la couche et la pointe sur mon bas ventre un problème pose à elle, elle a beau essayer de rabattre mon dard il reste dressé comme un mât de cocagne un jour de fête!
Elle lui donne quelques tapes pour le calmer mais cela ne fait qu'exagérer son ampleur.
- Tant pis, dit-elle, je continue.Elle ramène la pointe heureusement assez grande et recouvre l'objet du délit, elle se trouve alors bien ennuyée ne sachant pas trop comment refermer le tout, et c'est moi qui lui souffle:
- Je crois que les nurses utilisaient des épingles de nourrice, c'est d’ailleurs pour cela qu'on les appelait «de nourrice».
- Ha oui, c'est vrai.Et elle part en chercher quelques-unes. Elle ferme tant bien que mal les linges sur mon ventre et me passe ensuite la culotte en caoutchouc.
- Voilà mon garçon, tu es maintenant fin prêt pour aller faire les courses tu peux te rhabiller.Je remets mon pantalon et me regarde devant la glace, le volume de la couche est quand même important et se voit nettement! J'ose implorer:
- Mais ça se voit nettement.
- Bah, répond-elle en souriant, on croira que tu as grossi du popotin….Et elle ajoute :
- Quand on sera dans le magasin, je tiens à ce que, au moment où tu auras envie de pipi, tu me le dises, que tu me regardes bien en face, afin que je voie tes yeux se mouiller au moment où tu feras et je te dirai ce qui attendra la vilaine pisseuse que tu es quand on sera rentrés à la maison.Et sur ces bonnes paroles encourageantes nous voilà partis faire les courses, moi serrant et rentrant les fesses le plus possible.
A suivre .../...
Tags : Homme en tablier, Humiliation, Domination/soumission
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Commentaires
1LisaDimanche 16 Mai 2021 à 09:55Je pense que le retour des courses va être épique et je crois que tu vas bien rougir dans le magasin quand tu feras pipi et que tu auras demandé la permission de le faire à Mme Bérénice tu seras toute honteuse, et les clients te regarderont d'un drôle d'oeil. Et que dire de tes fesses au retour à la maison, elles vont se régaler.Répondre2clodinetteDimanche 16 Mai 2021 à 16:20Merci Lisa chérie pour ton commentaire ...tu as bien raison de craindre la suite pour cette pauvre Marie-Rose . Mais au moins elle ne sera pas obligée d'aller aux toilettes du magasin .
J'ai entendu dire que tu mijotais aussi un récit de tes aventures ? à quand la parution ?
Bisous de ta sœurette Clodinette
3LisaLundi 17 Mai 2021 à 09:03oui je mijote un récit comme tu dis, mais il n''y a pas encore de moment de parution, c'est à l'étude et mon récit n'est pas encore fini
il doit encore être relu et corrigé, et il y a encore de l'écriture à faire, donc ce n'est pas dans l'immédiat et je préfère un récit fini que de le publier en morceaux et d'attendre que l'auteur écrive la suite
Coucou,
Ce petit garçon a besoin d'une reprise en main par sa nouvelle Nounou autoritaire qui ne manquera pas de punir toute incartade et notamment sur le côté babysitter et nursing.
bon courage et surtout bons moments de bonheur à suivre pour la suite
bisous, Fifine
5PeterPanSamedi 14 Janvier 2023 à 11:59Bonjour Clodinet,
Je vois que nous partageons une expérience commune relative à notre adolescence: la découverte des femmes en petite tenue par le biais des catalogues de mode de La Redoute et alt que recevaient nos mamans respectives. A cet âge, étant encore mineur, c'est le seul moyen de découvrir le corps féminin, légèrement dévêtu. Comme toi, ma maman à cheval sur la morale (et qui me couvait d'un oeil bienveillant) m'avait surpris, dans ma chambre, en train de les feuilleter et sa réaction fut immédiate : une bonne fessée déculottée en travers de ses genoux, sur sa jupe écossaise plissée. Mais sa réaction était dictée par son angoisse pour ma santé (essoufflement et pbs respiratoires). Cette fessée maternelle a marqué le jeune adolescent que j'étais alors. Et depuis, je suis un peu "fétichiste" de ce vêtement dans le sens où il symbolise l'autorité maternelle et par extension féminine. Mes années Collège et Lycée n'ont fait que renforcer ce goût. Et encore de nos jours, croiser une femme portant ce vêtement fait remonter une émotion qui résonne d'une façon particulière en moi. On ne se refait dit-on. D'où la présence de ce vêtement dans mes saynètes .
Peter.
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