• La Révélation épisode 12

     Un récit de mon amie Clodinette, écrit avec mon aide.


     La révélation Épisode 12

     

    Marquage

     

    Le hayon de la voiture s'ouvre, une main assez douce détache la menotte qui me tenait prisonnière, prend ma main et me fait sortir de la voiture. Je suis toujours aveuglée par ce maudit torchon. Alors deux mains plus fermes me saisissent par les bras de chaque côté et m'entraînent et me guident vers la salle en question.

    Une main douce ôte enfin le torchon sale de mon visage et la culotte de ma bouche. Ouf je respire… La main m'appuie fortement sur la tête et une voix qui se veut autoritaire questionne:
    - Comment t'appelles-tu?

    Sur le coup sans réfléchir je donne mon vrai prénom C…

    A ce moment je reçois un formidable coup de je ne sais quoi, mais qui me fait bien mal, sur les fesses, et la voix dit rageusement :
    - Pas ton vrai nom espèce d'idiote, ton nom de soumise!

    Je comprends mon erreur et m'empresse de dire «Marie-Rose». La voix reprend après un second coup:
    - De toute façon ça n'a pas d'importance car ici toutes les visiteuses sont des chiennes! Alors à genoux chienne...!

    Une main ferme et dure appuie sur ma tête sans ménagement pour m'obliger à m'agenouiller. J'obéis, le sol est dur, je sens qu'elle me passe et me serre quelque chose de froid autour du cou, puis que cela se tend et m'oblige à renverser la tête vers l'arrière. J'ai touché avec ma main et découvert que c'était un collier.

    Puis la main douce ôte enfin le torchon qui me bandait les yeux.

    Et je vois deux superbes créatures, une noire et une eurasienne, revêtues de blouses roses, en nylon léger, boutonnées devant, dont la transparence laisse deviner les formes généreuses. Leurs pointes de seins maquillées de rouge font saillie sur le fin nylon. Leurs longues jambes gainées de bas dorés sont perchée sur des sortes de sabots à talons très haut avec une bande rouge.

    La noire tient à la main un battoir à tapis en rotin et je devine que c'est avec cet instrument qu'elle m'a durement frappé tout à l'heure.
    - Moi c'est Justine, dit l'eurasienne, elle, c’est Hortense, nous sommes les servantes de Madame Circée mais quand elle n'est pas là tu dois nous obéir. Relève-toi.

    Battoir

    C'est à ce moment que les deux dominatrices entrent dans la pièce. Tout le monde se fige devant leur stature impressionnante.

    Madame Circée en grande tenue de nurse: blouse blanche, longue et stricte, grand tablier blanc bien couvrant, aux bretelles croisées, et une coiffe stricte, aux pieds, des sabots à hauts talons, stricts mais élégants. Maitresse Bérénice porte un justaucorps en latex, une petite jupe courte évasée, laissant voir les six attaches de son porte-jarretelles tenant des bas scintillants, aux pieds des escarpins à hauts talons.

    Bérénice

    Elles ne disent rien, laissant les servantes de Madame Circée faire leur office.

    Je me relève péniblement car la laisse tire sur mon collier
    - Enlève ta blouse, dit Justine.

    Elle détaille d'u regard intéressé ma nudité et voyant ma couche les deux femmes s'exclament en gloussant de rire:
    - Ha encore une pisseuse! Allez vite à la douche.

    Je suis morte de honte. Elles me détachent mais me laissent le collier, je remarque qu'elles en portent également un. Elles me poussent vers un coin de la pièce où se trouve une douche à l'italienne.

    Elles enlèvent aussi leur blouse, je peux les admirer dans leur totale nudité et je découvre avec surprise que ce ne sont pas des femmes à part entière je devrais dire –avec suppléments– car elles ont toutes deux entre les cuisses deux membres de bonnes tailles! Ce sont en fait deux superbes schemales bien montées et leurs seins magnifiquement dressés sont probablement le fruit de greffe et d'hormones!

    Elles surprennent mon regard admiratif, se tortillent un peu pour mettre bien en valeur leurs attributs et la noire dit :
    - Regarde bien ce que tu risques de devenir bientôt!

    Je suis sidérée en écoutant cette prédiction.

    Elles mettent des grands tabliers en plastique pour se protéger, rouge pour Hortense, bleu pour Justine, et remplacent leurs sandales à hauts talons par des bottes en caoutchouc. Hortense ordonne :
    - Déshabille-toi, Marie-Rose.

    J’obéis, sous le regard de Maîtresse Bérénice et de Madame Circée, qui, tranquillement assises, regardent les servantes travailler.

    Justine m'enlève la couche mouillée, et me la frotte vigoureusement sur le visage:
    - Renifle bien ton pipi, sale fille!

    Hortense me pousse sans ménagement dans la douche en me donnant des coups de son battoir sur les fesses.

    Elles m'aspergent avec le jet froid. Me frottent de loin avec un balai brosse de chiendent comme si j'étais vraiment un porc:
    - C'est tout ce que tu mérites sale cochonne!

    Puis elles m'essuient grossièrement avec des torchons. Elles remettent leurs blouses transparentes et m'en font enfiler une semblable, elles remettent leurs sandales à hauts talons et me passent le même modèle aux pieds:
    - C'est la tenue des servantes de la maison et chaque soumise doit porter la marque de la maison, dit Hortense

    Je vacille, trébuche sur les talons vertigineux et manque de tomber.
    - Tu t'habitueras, dit Justine en marchant en remuant son beau derrière, fais comme moi!

    Elles m'entrainent dans un autre coin de la pièce où je découvre avec terreur une croix de bois, en X, posée horizontalement sur quatre pieds de bois.

    Elles m'empoignent, me renversent, me couchent dessus sur le dos et m'attachent solidement les chevilles et les poignets aux quatre extrémités de la croix. Je suis totalement immobilisée, toute nue, exposée et tremblante.

    Elles se passent des gants en latex. Justine commence à m'épiler avec des bandes de cire, l'autre me rase mes parties intimes. Les bandes de cire font mal quand elle les arrache, et me tirent quelques gémissements. Une fois le devant terminé, elles détachent mes jambes, les rabattent très en arrière jusqu'à ce que mes chevilles rejoignent mes poignets et elles les relient ensemble. Ce sont donc maintenant mes fesses nues bien écartées qui sont exposées. Elles m'épilent alors tout mon arrière-train sans oublier la raie des fesses jusqu'au bord de mon petit trou. Me voici imberbe comme un bébé.
    Gentiment elles parachèvent leur travail en me passant sur tout le corps une huile spéciale après épilation. Justine en profite pour caresser mon membre, déjà un peu gonflé qui évidemment en profite pour se raidir un peu plus!

    On frappe à la porte, Hortense va ouvrir. Derrière elle, un jeune homme simplement vêtu d'un tablier rouge avec le matériel de tatouage.

     

    Pendant qu'il rentre en saluant les maîtresses, Madame Circée constate que ses deux esclaves ont bien préparée Marie-Rose pour le marquage. La patiente est cependant toujours les jambes relevées exposant impudiquement ses fesses.

    Les yeux baissés, Justine s'excuse:
    - Nous n'avons pas eu le temps de la rattacher comme il faut sur le dos avant l’arrivée du tatouer, pardonnez-nous Maîtresse.

     Madame Circée, magnanime:
    - Ce n'est rien au contraire, cela nous permet de l'admirer dans cette position avantageuse, et si Maitresse Bérénice est d'accord, pour vous récompenser de votre travail, je vous autorise toutes les deux à vous défouler en fouettant Marie-Rose avec l'instrument qui vous plaira.

    Maîtresse Bérénice est entièrement d’accord, elle le montre par en signe de tête et un large sourire.

    Justine choisit un martinet aux longues lanières de cuir, Hortense choisit une longue baguette flexible. Madame Circée ordonne :
    - Enlevez vos blouses et mettez juste vos tabliers pour que l'on puisse vous admirer et infligez-lui chacune 25 coups à tour de rôle.

    Elles commencent la punition, et cela les excite beaucoup car rapidement, les mouvements écartent les tabliers et on peut observer que les deux schemales arborent une magnifique érection!

    Je serre les dents mais après quelques coups la douleur devient trop forte e je lâche quelques gémissements.
    - Remettez lui sa couche pisseuse sur la bouche, ordonne Madame Circée!

    C’est fait, et je subis les coups cinglants sur mes fesses en léchant la pisse qui me coule en bouche. Enfin le supplice se termine. Madame Circée se tourne vers le garçon en tablier rouge:
    - A votre tour jeune homme, vous pouvez officier.

     Il s'approche avec son matériel et commence à tatouer la lettre B sur pubis de Marie-Rose.


    A ce moment, excitée au plus haut point par tout cet environnement et ce qu'elle subit avec délice, son sexe se dresse majestueusement!
    - Il me gêne, dit le tatoueur, est-ce que quelqu'un peut l'écarter?

    Sexe

    Maitresse Bérénice s'approche, saisi le membre bien raide de sa main gantée de satin noir et le tire vers l'avant pour laisser le champ libre à l'artiste.

    Ce contact sublime de la main porte l'excitation au paroxysme et en quelques secondes Marie-Rose redevient un mâle en rut et éjacule comme un geyser, inondant l’emplacement du tatouage!

    Après cette explosion, l'objet redevient rapidement tel une petite saucisse de Toulouse et replonge sagement sa tête entre mes cuisses.

    Madame Circée ordonne à une servante d'essuyer le sperme avec un torchon, et le garçon termine son œuvre.

    Tout le monde se penche pour admirer le magnifique B qui scelle à jamais le destin de cet époux trompeur, et le transforme en Marie-Rose la soumise de Maitresse Bérénice pour toujours.

    Ainsi se termine l'épisode du marquage de la Révélation…

    B

     

    Maitresse Bérénice remercie chaleureusement Madame Circée pour toutes les aides et tous les conseils qu'elle lui a prodigués. Elle l'assure qu'elle pourra mettre tout cela en pratique à l'avenir.

    Elle prend congé, et, après une douche, les deux époux, Marie-Rose opportunément vêtue en homme avec les habits que sa maîtresse avait eu la présence d’esprit d’apporter, regagnent leur logis pour continuer à vivre une existence pleine d'amour et de plaisirs partagés.

    Fin


     

    Et voilà, ainsi s'achève le récit de "La Révélation".

    Remercions Marie-Rose pour son imagination (et sa mémoire, parce qu'une partie est vécue).

    Et si vous voulez une suite, eh bien, demandez-lui en commentaire.

     

    « Des fessées bien excitantesQue c'est bon le caca! »
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  • Commentaires

    1
    clodinette
    Dimanche 27 Juin 2021 à 15:34

    un grand merci à Marie-Rose...heu....Marie-Charlotte, ma Tatie chérie pour avoir si bien corrigé, amélioré et édité tous les 12 épisodes de ce récit 


     

    2
    Lisa
    Mardi 29 Juin 2021 à 08:49

    Merci aussi Clodinette chérie d'avoir écrit et partagé ce joli récit bien excitant à tout point de vue


    bisous tendres de ta soeurette.

      • clodinette
        Lundi 5 Juillet 2021 à 10:08

        merci Lisa ma grande  soeur chérie pour  ton gentil message   je t'embrasse affectueusement 

        Clodinette



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