• La métamorphose de Macho Man, chapitre 10

     Un récit de Ramina, inspiré par Clodinet, je remercie les deux.


    Chapitre 10 :  Gilbert Paluchaud à l'épreuve de la fessée

     

    Gladys, ondulant des hanches, claquant du talon aiguille, tient Gilbert Paluchaud par l’oreille et le traîne avec fermeté vers la chaise à fessées, plantée bien en vue au milieu du salon.
    -- «Aïe, Aïe, Aïe! Mais lâchez-moi, vous me faites mal!» s’écrie la future victime, qui se tient l’oreille pour essayer d’atténuer la douleur.
    Il avance courbé en deux sous la poigne de la forte femme.
    -- «Non mais écoutez moi ça», s’exclame-t-elle avec un clin d’œil en direction de Victoria et Véronique qui se régalent du spectacle. «Monsieur le Directeur fait son petit douillet! Mais ce n’est rien à côté de ce qui attend ses fesses!»
    -- «Comment çà … mes… mes fesses!! Mais … mais, je vous interdis de…»
    -- «Mais c’est qu’il se rebifferait l’animal», ironise Gladys en lui tordant l’oreille un peu plus fort jusqu’à ce qu’il se plie en deux à ses pieds, le nez sur ses talons aiguille. «On n’est pas au bureau ici! On n’interdit rien du tout! Il va se la prendre sa fessée, et je vais lui en mettre une bien sévère, avant celle que va lui flanquer sa tendre épouse et sa secrétaire si dévouée!»

    Véronique, qui a remis son ordinateur dans sa housse, se trémousse de bonheur à la perspective de corriger son directeur harceleur.
    -- «Et comment, je désespérais de trouver l’occasion de lui claquer les fesses, pour lui faire passer l’envie de tripoter les miennes! Ah, il fait moins le malin maintenant le ‘’monsieur‘’ je fais ce que veux, c’est moi le patron!»

    Victoria dans le même état d’excitation, commence déjà à mouiller sa petite culotte.
    -- «Tu n’as pas le choix Gilbert, depuis le temps que tu te comportes comme un malotru, ça devait t’arriver. C’est aujourd’hui et tu ne peux t’en prendre qu’à toi même. Comme convenu, Gladys va te flanquer une première fessée, pendant que je prépare celle que je vais te mettre ensuite. N’est ce pas chère amie?»
    -- «Pas de problème Victoria», répond celle-ci, avec un grand sourire, «je comprends que vous ayez encore quelque hésitation à corriger votre mari. Mais après la bonne fessée que vous avez administrée à Edouard, vous devriez très vite retrouver la main. Je vais vous préparer les fesses de Gilbert, et c’est une belle paire, bien cuisante que vous aurez plaisir à déculotter pour lui mettre la magistrale déculottée que vous mourrez d’envie de lui administrer depuis si longtemps.»

    Edouard, toujours au coin, déculotté, slip aux cuisses, les fesses encore rouges, bien en vue, dans l’ouverture de son élégant tablier borduré de dentelle, n’ose toujours pas se retourner sans autorisation. Ce serait l’occasion idéale pour Gladys de lui mettre une nouvelle fessée, encore plus sévère. Un petit sourire en coin, malgré la cuisson persistante de son postérieur, il écoute ce qui se passe dans son dos avec un sentiment de revanche sur Gilbert, qui ironisait tout à l’heure de le voir, cambré sur des talons aiguille, paré de lingerie affriolante en porte jarretelles et bas nylon. Il attend même, avec une certaine impatience, d’entendre claquer ses fesses sous la main si douloureusement ferme de son épouse. Il en connaît que trop bien le cuisant impacte pour le sentir régulièrement sur les siennes. Surtout quand elle le fesse déculotté, ce qu’elle adore faire la plupart du temps après une solide fessée d’échauffement à travers son slip.

    Gilbert Paluchaud a compris qu’il ne ferait qu’aggraver son cas s’il continuait à protester. Il s’attend donc à se ramasser une fessée, qui lui semblait maintenant, impossible à éviter, piégé qu’il était, entre les mains ces trois diaboliques dominatrices. Y compris son épouse qui, sous l’évidente influence de Gladys, était maintenant convaincue des bienfaits de la fessée comme méthode de discipline. Fort de son statut d’homme, soit disant fort, notamment de par sa position de dirigeant d’entreprise, le Paluchaud était naturellement enclin à considérer les femmes comme subalternes, y compris la sienne. Avec un pareil mental, il n’avait jamais imaginé se faire corriger de la sorte par des représentantes du sexe dit faible. Et encore moins recevoir une fessée en public, devant son épouse, chez Gladys son amie, apparemment instigatrice de ce traquenard, et, un comble, en présence de Véronique sa propre secrétaire.

    Gladys, pris place sur la chaise à fessée en prenant le temps de bien y caler son imposant fessier qui débordait de l’assise. Elle ordonna à Gilbert d’approcher et, non pas de baisser, mais d’enlever complètement son pantalon, avant de s’allonger sur ses cuisses, sa courte jupe remontée jusqu’aux jarretelles.
    -- «Allez, monsieur le directeur on prépare ses fesses et en grand garçon obéissant, on vient me les présenter et se mettre en position pour recevoir sa première fessée!»

    Rouge de honte et de confusion Gilbert Paluchaud, résigné, s’exécuta en silence sous le regard goguenard de son épouse et de sa secrétaire. Il le fit assez lentement, même s’il savait qu’il était inutile de tergiverser. Il délaça et ôta ses chaussures, puis dégrafa son pantalon, le baissa sur ses genoux et jusqu’aux chevilles, avant de l’enjamber et de l’ôter. Il allait se positionner sur les cuisses de sa fesseuse lorsque Victoria intervint.
    -- «Attendez Gladys, je me dis qu’il serait amusant de le fesser dans la même tenue que votre mari, en tablier de soubrette avec de la lingerie féminine. Ça mettrait davantage de piment!»
    -- «Mais bien sûr!» s’exclame Gladys, qui suspend son geste de faire basculer sa victime en travers de ses genoux, «c’est une excellente idée! Comment n’y ai je pas pensé, alors que les grosses fesses rouges d’Edouard s’étalent sous nos yeux, bien mises en évidence dans l’ouverture de son tablier et l’arrondi de ses jarretelles.»

    Véronique en fait trembler d’enthousiasme son envahissante poitrine, en tentative de débordement de son indécent décolleté.
    -- «Oh oui, oh oui!!! Je veux voir ça! Macho Man, féminisé, fessé en tablier de servante, porte jarretelles, bas nylon et hauts talons… je veux, je veux!! La fessée en tablier, la fessée en tablier!!»
    -- «Oh, non, quand même pas!» proteste Paluchaud sans conviction.
    Sa capacité de résistance s’amenuise progressivement devant le chantage et la détermination de ses tourmenteuses.
    -- «Je vais être ridicule là-dedans...»
    -- «Pas du tout mon cher«, assure la maîtresse de maison, «regardez Edouard, il n’est pas mignon comme ça, sexy, excitant, prêt à fesser!… Vous serez parfaitement séduisant, les jambes en valeur, gainées de nylon! Vous allez voir comme c’est agréable à porter.»
    -- «Ouiii, sexy le directeur», ironise Véronique. «Dommage qu’il a autant de poils aux pattes!»

    Victoria, la mine réjouie:
    -- «Une petite séance d’épilation à la maison et il sera parfait.»
    -- «Épilation intégrale, jusque dans la raie de fesses! Plus un poil au trou de balle!» ajoute vicieusement la secrétaire revancharde, qui se lâche de plus en plus. Elle compense les petites humiliations qu’elle subit quotidiennement au bureau.

    Gladys interpelle son époux, à moitié hilare dans son coin à l’idée de voir le Gilbert recevoir sa fessée dans la même aguichante tenue que lui.
    -- «Edouard tu vas nous chercher un de tes plus aguichant ensembles de lingerie et ta blouse rose boutonnée par derrière. Celle qui dégage bien les fesses pour l’administration des fessées. Vous faites à peu près la même taille tous les deux.»
    -- «Gilbert a quand même de plus grosses fesses que celles d’Edouard», rectifie Victoria, presque fière de la dimension du postérieur de son mari. «Oui, enfin... un peu seulement... Mais quand bien même, elles seraient un peu serrées dans un slip trop petit, c’est très excitant quand elles débordent des élastiques…»

    Véronique enchaîne aussitôt le plus naturellement du monde.
    -- «Moi je fais porter à mon mari des slips à fessée en nylon transparent, une taille en dessous. Ça lui fait une paire de fesses parfaitement provocante, qu’on a tout de suite envie de claquer.»
    -- «J’ai toujours estimé que Gilbert avait une paire de fesses faite pour la fessée», enchaîne Victoria songeuse. «Mais jamais passée à l’acte. Je me demande encore comment j’ai pu ne pas en profiter jusqu’ici. Maintenant ça va changer!»

     Gladys, impatiente de commencer, met fin à la conversation sur le sujet.
    -- «Je suis sûre que vous allez très vite rattraper le temps perdu, après cette soirée.»
    Elle tance Edouard qui n’a toujours pas bougé.
    -- «Et bien Edouard, qu’est ce que je tu attends pour aller chercher ce que je t’ai demandé? Si c’est une autre fessée qu’il te faut pour obéir, c’est la main de Véronique que tu vas sentir claquer sur tes fesses quand j’en aurai terminé avec celles de ton ami Gilbert. N’est ce pas Véronique?»
    -- «Avec plaisir Gladys! Je me ferai volontiers la main, pour préparer la correction que j’ai annoncée à mon mari dès mon retour à la maison. J’adore lui annoncer ses fessées à l’avance. Ça m’amuse de savoir qu’il va serrer les fesses toute la journée au fond de son slip, en pensant à la cuisante fessée qui l’attend à la maison. Et il a intérêt à ne pas traîner pour rentrer, sinon le tarif, ce n’est pas une, mais deux fessées, l’une après l’autre!»
    -- «Vous avez raison, excellente méthode», approuve Gladys. «Une fessée c’est bien, une tournée de fessées, c’est encore mieux. Il ne faut pas hésiter si on veut se faire respecter de nos chers maris.»
    Elle se tourne alors vers le sien, planté au milieu du salon comme un manche de martinet dans le derrière d’un puni.
    -- «Et bien, Edouard, qu’est ce que tu attends? Allez, allez, bouge tes grosses fesses avant que je m’en occupe à nouveau» tonne-t-elle, en tapant dans ses mains. «Blouse, porte jarretelles, slip, bas nylon, talons aiguille… On attend! Et tu vas aider Gilbert à enfiler tout ça et dès qu’il est prêt, la fessée sur mes genoux!! Aller dépêche toi... file!»
    -- «Oui, oui chérie, j’y vais , je m’en occupe!»
    -- «Tu as intérêt, sinon gare à tes fesses toi aussi, la soirée ne fait que commencer.»

    Dix minutes plus tard, c’est un Gilbert Paluchaud transformé, penaud, qui doit s’exhiber devant ces dames, en tenue de mignonne soubrette, à son tour. La démarche hésitante, vacillant sur ses talons aiguille, il se présente de face, dans une jolie blouse en nylon, rose vichy qui amincit quelque peu sa silhouette, grâce à la guêpière qu’il porte en dessous. Mais c’est surtout par derrière que le spectacle est intéressant.
    -- «Tourne-toi lentement et présente nous tes fesses», lui ordonne Victoria. «C’est surtout ça qui nous intéresse.»

    Gilbert muet comme la tombe d’une carpe, c’est dire son émotion, s’exécute et pivote maladroitement sur lui même en équilibre instable sur ses hauts talons. C’est une magnifique paire de fesses sanglée dans un étroit slip de dentelles qui apparaît dans l’ouverture de la blouse déboutonnée à dessein, à partir de la taille.
    -- «Penchez-vous en avant, pour bien déployer vos fesses!» ordonne Véronique, en pleine montée de pulsion disciplinaire. Comme une irrésistible envie d’humilier et corriger son petit tyran de patron qu’elle sent maintenant à sa merci.

    Il n’a pas le choix et obéit, vacillant sur ses hauts talons qui accentuent la cambrure de ses reins et le rebondi de son derrière. Il exhibe sous les yeux brillant d’excitation des trois femmes, les rondeurs de son plantureux un fessier. Il qui semble encore plus volumineux, dans l’encerclement des jarretelles d’une aguichante guêpière et du renfort noir des bas nylon.

    Un ange passe, en petite culotte, avec la tête de Gilbert Paluchaud. C’est alors que Gladys, décide de passer à l’action et sort tout le monde d’un état trop contemplatif à son goût.
    -- «C’est agréable de profiter de ce croustillant spectacle mesdames, mais je pense qu’il est grand temps de commencer une séance de fessées que je vais avoir le plaisir d’inaugurer.»
    Elle se tourne vers l’homme soubrette, qui attend, mortifié et ironise en prenant le ton solennel d’une annonce importante:
    -- «Les grosses fesses de Gilbert Paluchaud sont expressément attendues sur mes genoux pour une démonstration de fessée déculottée!!»
    -- «Ah mais non», s’exclame Victoria faussement indignée. «Il était convenu que c’est moi qui le déculotterai pour la fessée suivante!»
    -- «Oui, bien sûr où avais- je la tête… Vous avez raison!» répond Gladys avec un clin d’œil complice, comme s’il s’agissait de prolonger l’angoissante attente de la fessée. «Qu’à cela ne tienne, je vous le reculotterai avant de vous le renvoyer!»

    Pendant toute cette conversation où il n’était question que de l’avenir immédiat de ses fesses, Gilbert, pratiquement résigné à son sort, était resté sagement debout près de la maîtresse femme. Elle le saisit, brusquement, par le poignet et l'allongea à plat-ventre sur ses genoux après avoir repris place sur la chaise à fessée. Elle lui appuya sur la tête pour l’obliger à relever le derrière.
    -- «On pousse fort sur les fesses pour me présenter un derrière bien rebondi, tendu au maximum, et parfaitement retentissant.»

    Il tenta bien de se redresser, mais il n'avait pas de point d'appui pour lutter contre le bras robuste de la forte femme qui, pesant sur son dos, le maintenait bien en place. Lorsqu'il sentit qu’elle saisissait l'élastique de son slip, il porta sa main à ses fesses pour empêcher le déculottage. Sûre de sa force, elle le maîtrisa sans difficulté, lui replia le bras dans son dos et avec un sourire satisfait n’eut plus qu'à le déculotter tranquillement d‘une seule main.
    -- «J’adore déculotter un derrière encore rouge d’une précédente fessée», dit-elle en faisant claquer l’élastique sur ses cuisses. «Surtout pour lui en flanquer une autre par dessus... C’est encore plus excitant! Ce qui n’est pas le cas ici…»
    -- «Mais ça ne saurait tarder à partir de maintenant», dit Victoria les yeux brillant de sévérité. «A partir de maintenant je vais m’en occuper régulièrement de ses grosses fesses!»
    -- «Voilà encore une excellente résolution, la fessée il n’y a rien de meilleur pour dresser un mari insolent et irrespectueux!» confirme Gladys.

    Elle descendit son petit slip en dentelle juste sous les fesses, pour bien en faire ressortir les volumineuses rondeurs, écarta davantage les pans du tablier pour dégager entièrement la surface à corriger entre les jarretelles. Elle et leva la main bien haut au dessus de l’appétissant fessier pour prendre un maximum d’élan.
    -- «C’est parti pour une première fessée bien claquante!» Claironne joyeusement Véronique en se calant dans le canapé.
    -- «Oui, pour commencer!» ajoute Victoria d’un ton sévère. «Et ça va lui faire le plus grand bien… enfin!»

    Gladys, à son affaire, commença par une formidable volée de claques retentissantes qui rougirent tout de suite les fesses de Gilbert. Il ouvrit la bouche, mais, dans un premier temps, sans émettre le moindre son. Bien décidée à lui flanquer une fessée magistrale, Gladys, rompue à l’exercice, pris naturellement son rythme de croisière, ajustant les claquées avec une redoutable précision, en allers et retours alternativement sur chaque fesse. Fruit d’une pratique régulière, il sautait aux yeux qu’elle avait l’habitude de claquer des derrières. Elle fessait bien. Cuisant, claquant, sec et serré avec l’aisance que procure une longue expérience de la fessée. Sa réputation dans ce domaine n’était plus à faire. Les cuisantes fessées déculottées de tante Gladys étaient redoutées pour leur implacable sévérité par tous derrières masculins passées sous sa main et même ceux à venir.

    Elle fessa dur pendant dix bonnes minutes et suspendit la fessée, la main brûlante au dessus du fessier en pleine cuisson, prête à renvoyer une nouvelle tournée. Gilbert, le souffle coupé, ondulait de douleur en gémissant sur ses cuisses. Pour la première fessée de sa vie d’adulte, elle était sacrément douloureuse.
    -- «Oooooh… pourquoi vous tapez aussi fort, ça fait mal… c’est épouvantable comme ça cuit!»
    -- «Mais c’est normal mon ami. Avec moi les fessées ça doit claquer fort! Très fort! il faut que ça chauffe! Une vraie une bonne fessée doit cuire les fesses. Et elles n’ont pas fini de vous cuire parce que ce n’est que le début de votre correction!»
    -- «Pour ça oui, c’est loin d’être terminé!» clament en chœur Véronique et Victoria qui attendent patiemment leur tour en se régalant du spectacle.
    Gladys poursuit la leçon.
    -- «Et ensuite lorsque vous serez au coin, vous savourerez la cuisson de vos fesses en silence. In … ter … dic … tion … de … par … ler!»

    Elle avait ponctué chaque syllabe par une claque puissante bien appuyée d’une fesse sur l’autre. Gilbert réagit par autant de cris.
    -- «Est-ce bien compris Monsieur Gilbert Paluchaud?»
    Elle ne lui laissa même pas le temps de reprendre son souffle pour répondre, qu’elle reprenait déjà la fessée avec son concert de cris de plus en plus désespérés.
    -- «Est-ce bien compris?»
    -- «Oui, j'ai compris!»
    -- «Oui qui?»
    Et ça repart aussi sec pour une nouvelle volée de claques rythmée par les hurlements du malheureux.
    -- «Oui madame! Oui madame! Ouiiiiiiiii Madame! Ouiiii Maaadame! Raaah la fessée!! Ar… arrêtez!!»
    -- «Voyez comme s’applique mieux quand on commence à avoir les fesses bien rouges! Vous allez obéir?»
    -- «Mais… comment çà... o… obéir… je...?» 

    La phrase avait à peine commencé que la fessée recommence à claquer et de plus en plus fort. Imperturbable, Gladys s’applique à tenir la bonne cadence pour maîtriser les tressautements de la belle paire de fesses qui se tortillait sur ses jarretelles au rythme infernal de la fessée. Elle insiste à la faire durer tout le temps qu’il faut pour obtenir en récompense, les premiers sanglots d’un misérable Paluchaud réduit à l’impuissance.

     De nouveau elle suspend la fessée, le bras en l’air, la main chauffée à blanc, en préparation de la fessée suivante.
    -- «Alors c’est fini de jouer le macho arrogant et de peloter ses secrétaires?»
    -- «Oui, Madame, ouiiii!»
    -- «Je n’ai pas bien entendu!»

    Et ça repart immédiatement en claquantes rafales sur les fesses déculottées et maintenant écarlates d’un Gilbert hurlant, pleurant, bavant de douleur. Sous l’impulsion de l’impitoyable fesseuse la belle paire de fesses se remet en mouvement sur ses cuisses suivant le rythme trépident des claquées qu’elle lui allonge à pleine main. Ça fesse dur, ça claque sec en rafales retentissantes, ça crépite, ça cuit en profondeur jusque dans la raie des fesses. Encore une bonne cinquantaine d’allers et retours, sur chaque fesse et la fessée cessa enfin. Gladys ne relâche pas sa prise pour autant. Elle maintient les fesses de l’infortuné mari à disposition de sa main.
    -- «Nous allons voir cela tout de suite. Dès que je vous le dirai, vous allez vous relever et aller voir votre épouse qui va maintenant vous flanquer la fessée suivante que vous avez méritée pour votre comportement inadmissible.»
    Elle distribua encore une bonne tournée de claques sur les fesses enluminées de son puni.
    -- «Avez vous bien compris Monsieur Paluchaud?»
    Gilbert, dompté commençait à comprendre. Il répondit immédiatement.
    -- «Oui, Madame, j'ai compris!»
    -- «Allez vous le faire?»

    Il eu tort d’hésiter. Elle n’entendait pas lui lâcher le derrière avant d’avoir obtenu satisfaction.

    Nouvelle fessée. Ça recommence à claquer sur ses fesses. Droite! Gauche! Au milieu, sur la raie! Ça claque dur sur toute la surface enluminée d’un magnifique rouge de plus en plus foncé.

    Nouvelle suspension de séance. Le fessier frémissant parcouru de spasmes douloureux se resserre et se desserre sur la raie brûlante.

    Impitoyable Gladys revient à la charge, sous le regard gourmand de Véronique et attentif de Victoria.
    -- «Alors?… je vous écoute Gilbert. Préparez vos fesses et ce que vous allez dire. Vous allez demander à votre femme de vous flanquer une fessée, oui ou non?»
    Les conséquences d'un refus ne faisaient pas de doute ses fesses allaient encore en prendre.
    -- «Oui, Madame!»
    -- «Faites attention Gilbert! Je peux vous remettre en position quand je le veux pour une fessée supplémentaire. Je vous déculotterai et vous flanquerai autant de fessées qu’il le faudra pour obtenir que vous obéissiez!»

    Elle desserra sa prise sur le bras et les jambes du pauvre mari en larmes. Il resta pantelant plié en deux sur ses cuisses et, pour son plus grand malheur, ne pu s’empêcher de porter ses mains à ses fesses qui lui cuisaient terriblement après une telle séance. La réaction fut fulgurante. Gladys le remit debout en même temps qu’elle posa son talon aiguille sur la chaise, et le remit aussitôt en position fesses en l’air sur sa cuisse relevée à l’horizontale.
    -- «Puisque monsieur se rebelle encore, je crois qu’une nouvelle fessée plus sévère s’impose pour calmer ses velléités de ne pas respecter les consignes!»

    Le pauvre homme émit une longue plainte, mais il se laissa faire. Réajustant un peu plus bas son slip sur ses cuisses pour bien dégager son fessier et l’avoir parfaitement disposé à sa main, elle lui administra une nouvelle fessée d’une centaine de claques sur chaque fesse. Gilbert Paluchaud recommença aussitôt à sangloter, mais vaincu et soumis, il ne tenta pas de se soustraire à la sévère déculottée. Gladys mis sa passivité à profit pour amplifier l’intensité de la correction d’une longue rafale de claques retentissantes, fesse droite, fesses gauche suivie d’une cuisante remontée le long de la raie. La totalité de son postérieur était entièrement cuit, du bas des reins jusqu’au dessous des fesses. Après cet éclatant final, elle le laissa descendre lentement de sa cuisse jusqu’à ce que ses pieds touchent le sol. Son ventre et son pénis tendu, glissant douloureusement sur le nylon de son bas et sa jarretelle, Méconnaissable le Paluchaud, son visage congestionné, dégoulinant de larmes, était presque aussi rouge que ses fesses, virant au cramoisi.

    Mais la séance de fessées était loin d’être terminée. Véronique et Victoria n’avaient pas l’intention de passer leur tour. Edouard, méfiant, s’était fait tout petit dans son coin pour se faire oublier. Connaissant son épouse, il savait que, selon son humeur, son postérieur encore sensible, n’était pas à l’abri d’un claquant retour de fessée dont elle était coutumière…

    ( à suivre)

    « Fessée devant la cheminéeLes belles cueilleuses »

    Tags Tags : , , ,
  • Commentaires

    1
    PeterPan
    Lundi 19 Juin 2023 à 14:47

    Bonjour Ramina, 

    L'heure de la vengeance a sonné !! Les Amazones frappent vite et bien, comme les éclairs de la foudre . "Thunder Glad' : Gladys-la-Foudre frappe la première, vite et fort !!  Les jumelles des "Tam-Azones", si  chères au dessinateur Stanton ( cf. "Une bonne fessée "). Ses rafales de claques meurtrissent le postérieur cramoisi de Gigi-La-Main Chaude !!! Le rodéo en bas résilles prend des airs de défilé de mode et ces dames admirent les toutes dernières créations portées par ces messieurs. "Et pour achever en beauté ce chatoyant défilé, voici, Mesdames, nos deux derniers modèles : "Naughty maid", et "Lazy Maid " qui comme leurs noms l'indiquent, raviront, je l'espère, tous les couples coquins". Crépuscule de Printemps, 105 Avenue Paul Poiret. Champs Elysées - Paris ! ".

    Peter.

    2
    ramina
    Lundi 19 Juin 2023 à 17:10

    Eh oui, cher Peter et amis lecteurs...  l'heure de la vengeance est comme le facteur qui sonne toujours deux fois,  avant l'heure du crime des douze coups de minuit. Toc toc toc, qui qu'est là , qui c'est qui frappe à ma porte ? C'est Gladys la tantine qui vient baisser la culotte... de Gilbert . Avec Edouard, ces deux là font la paire (de fesses) et n'ont pas fini de se faire monter le derrière à la température d'un four à chaleur tournante . La tournante c'est celle de leur postérieur exposés chacun leur tour ou en même temps pour le final, ( chapitre 11), sur les genoux des trois irréductibles fesseuses.

    Gilbert, le macho de service, n'échappe pas à la féminisation, transformé par ces dames d'humeur taquine, pas en citrouille, non,  mais en soubrette, toute mignonne, malgré ses poils aux pattes ! Lui qui a si peu de considération  pour les femmes, prend sa fessée, comme une grande, en porte jarretelles et bas nylon, blouse ouverte sur les fesses . La vengeance de Véronique est un plat, fromages et dessert qui se dégustent chaud sur le derrière, jusqu'au feu d'artifice final ...   Ramina

    .

      • clodinette
        Lundi 19 Juin 2023 à 18:48

        he bien nous y voilà ! il fallait que ça arrive et Maitre Ramina, après avoir bien amené le denouement et bien entretenu le susoens ,  une fois deplus nous régale par son style percutant et vif .  les dialogues sont tellement bien tournés que l'on pourrait les mettre en scène et demander à notre chère Tatie de realiser un spectacle avec cette histoire soit en  recherchant de vrais acteurs et surtout actrices pouvant jouer ces roles soit avec la magie d'internet des personnages fictifs ou virtuels , je ne sais pas quel est le bon mot ? ou enfin que Ramina se mette cette fois à sa table à dessin et nous réalise une bande d'essiné des "aventures de Gilbert Paluchaud  ....

        triple  bravo   Ramina

        tu peux faire ça  Tatie chérie ?

        Clodinette 

    3
    blousebleuecoté
    Mardi 20 Juin 2023 à 11:04

    Bravo  très beau récit  et la fessée en blouse bouton dos rose de fille en public très humiliant 

    4
    ramina
    Mardi 20 Juin 2023 à 14:00

    Merci, Blousebleuecoté. (amusant pseudo! )

    Humiliant et bien excitant , si on se représente cette virile paire de fesses, encerclée de jarretelles, émergeant des pans écartés d'une jolie blouse de fille vichy rose, déboutonnée à partir du bas du dos... n'est -il pas ?  Ce n'est pas Clodinet qui dira le contraire ... Ramina

      • blousebleuecoté
        Mardi 20 Juin 2023 à 15:24

        Ha ha Clodinet porte  la blouse bouton dos et prend la fessée déculottée et blouse déboutonné  et épinglé de chaque coté  fesses bien exposé

        Oui j'ai porté blouse de ma soeur boutonné coté et fessée devant toute la classe

         



    Ajouter un commentaire

    Nom / Pseudo :

    E-mail (facultatif) :

    Site Web (facultatif) :

    Commentaire :