• Fesses rouges et tabliers blancs, saison 2, épisode 36

    Un texte et des dessins de Ramina, que je remercie


    Chapitre 36: Soirée fessée entre amies (Partie 4)

      

    Devant une assistance sérieusement excitée par le spectacle des précédentes déculottées, la troisième fessée  de la soirée éclate bruyamment entre les murs du salon et résonne agréablement aux oreilles des invitées. Pour corriger régulièrement son fils, Béatrice connaît par cœur la capacité d'endurance de ses fesses et le niveau de sévérité à atteindre pour obtenir un résultat satisfaisant. Elle est en terrain conquis, sur sa surface favorite et ne met pas longtemps à prendre la mesure du volumineux derrière. La courbure de sa paume s'adapte si naturellement à la rondeur charnue des deux fesses que la différence de sonorité, plus claire, plus éclatante, se fait entendre immédiatement. Béatrice  maîtrise son sujet avec brio et corrige son grand fils, avec une rigoureuse sévérité, démontrant ainsi, si cela était encore nécessaire, le plaisir particulier qu’elle ressent à lui administrer des fessées devant un public inconditionnel de la déculottée. La fessée est superbe, claquante et cuisante, implacable. Thérez et Louise apprécient la maîtrise de leur hôtesse à faire claquer et rebondir le gros derrière rougissant au rythme atrocement régulier de ses furieuses claquées. Plutôt stimulée par ce public de connaisseuses, cette dernière ne faiblit pas et maintient la cadence en ironisant sur le déroulement de la correction.
    – «Alors mon chéri... On la trouve comment sa fessée … Hein? Tu la sens bien ma main claquer sur tes fesses! En tout cas elles claquent bien et chauffent encore mieux!»

    – «Aaaah pour... Pour ça oui!.. je la sens ta maiiiiiin! Tu fais maaaaal maman!! Tu fesses déjà troooop fort!!! S'il te plaît!»

    Béatrice, comme toujours, est  totalement indifférente aux supplications de son fils qui sollicite pourtant à chaque fois une clémence qu’elle ne lui accorde jamais et qui, bien, au contraire, l’incite à taper encore plus fort. 
    – «Continue à brailler comme ça Maxime... et je te fais mettre une deuxième fessée par notre amie Louise que tu viens de voir à l’œuvre!»

    – «Ooooh non maman! Non!... Pitié , ça suffit! Pas d'autre fessée, s'il te plaît!»

    Maman s' amuse avec son fils. Tout en continuant à lui claquer les fesses au même rythme, elle lance un clin d'oeil complice à Louise qui le lui rend avec un grand sourire.
    – «Mais voyons Maxime, bien sûr que si! Il va falloir désormais que tu t'habitues aux fessées de madame Lamalisse mon chéri. Elle fait partie de notre cercle de fesseusew maintenant. Et c'est bon pour tes grosses fesses de sentir une autre main que la mienne.»

    – «Aaaah maman, c'est trop! Pas encore la fessée... Celle là n'est même pas finie... et pas Madame lamalisse… s’il te plaît!»
    – «Oh que si ! Elle va se faire un plaisir de te mettre la suivante tout de suite après celle que je suis en train de te claquer au derrière. Elles sont bonnes ses fessées... aussi sévères et cuisantes que les miennes.»

    Louise, s'en réjouit ouvertement en opinant d’un signe de tête significatif.
    – «Ah c'est certain qu’avec une paire de fesses comme celle là, il ne va pas être déçu du voyage sur mes genoux le grand garçon!»

    Le malheureux s'avoue vaincu et s'abandonne sous la main de sa mère qui continue à lui claquer les fesses en allers et retours de plus en plus retentissants. Dix minutes de cuisante fessée ont suffi à faire monter à l'écarlate la surface toute entière de son solide postérieur, pourtant habitué à en recevoir des longues et des sévères. Maman est très généreuse sur les déculottages et les distributions de fessées qui vont avec. C'est un peu son sport favori...

    La soirée se déroule, conformément aux attentes, dans une ambiance chaleureuse. Très chaude même. Robin et Gérôme cuvent leur fessée au coin, le corps encore secoué de quelques sanglots spasmodiques. Maxime, haletant, en larmes, sur les cuisses de sa mère, ne se fait aucune illusion sur les perspectives d'avenir de ses fesses.

     

    Madame Bellebourge déguste son thé tranquillement, en suivant avec intérêt les tressautements frénétiques du derrière de Maxime, rougissant sous les belles claques cuisantes de la fessée administrée par sa mère. Elle est agréablement surprise par la vigueur de la correction et, la tasse et le petit doigt en l'air au dessus de la soucoupe, se penche délicatement vers Louise assise à côté d'elle.
    – «Et bien dites donc... Moi qui pense être parfois trop sévère avec mon Gérôme, quand je vois la fessée qu'administre madame Klakerspank à son fils depuis dix minutes, je me dis que je pourrais taper encore plus fort!»

    – «Oui Béatrice fesse bien, elle fesse fort . Et il faut ça, quand on a des maris ou des garçons aussi indisciplinés avec des paires de fesses aussi solides. On ne va tout de même pas se priver si on veut être efficaces.»

    Thérez sans perdre de vue le fessier enluminé et tressautant de Maxime, se penche vers madame Lamalisse avec un sourire engageant.
    – «Les fessées ça a l'air de claquer sec aussi chez vous! Et question postérieur, vous avez de quoi faire avec Peter, il en a un bien fourni aussi! Et il sonne bien! On vient d'entendre ça tout à l'heure!»

    – «C'est vrai, je n'ai pas à me plaindre! Et si vous saviez le nombre de fois qu'il mérite la fessée.… Heureusement sa sœur, ses tantes et se cousines, me relayent sur ses fesses sinon je n'y arriverais pas avec lui.»
    – «Ils sont tous pareils... Ils ne marchent qu'à la fessée. Et c'est pour ça qu'on organise ces soirées. Quand ils repartent avec cinq à six déculottées aux fesses, ils se tiennent tranquilles pendant un moment. Ça leur fait du bien et à nous aussi! Mais ça ne les empêche pas de recommencer leurs pitreries. On ne dirait pas que ce sont de jeunes adultes.»
    – «Je veux bien le croire», répond Louise Lamalisse avec un petit sourire en coin. Et si j'ai bien compris, tel que c'est parti les derrières ne vont pas chômer!»

    L'attention de ces dames est  brusquement ramenée sur les fesses en feu de Maxime qui trépident sous une retentissante accélération. Il transpire sa souffrance sous la fessée que continue à lui administrer sa mère. Quand ce n'est pas le frottement de ses bas nylon sur ses joues coincées entre ses cuisses pendant les fessées au martinet, c'est son ventre et son sexe qui s'irritent sur ses  jarretelles au rythme des claquées qu'elle lui allonge en travers de ses genoux. Dans les deux cas, ça chauffe dur aux endroits concernés. Il ne peut retenir longtemps ses cris de douleur et se lâche complètement, impuissant à éviter l'humiliation de la défaite devant ces dames qui n'attendent que ça.

    Encore quelques rafales bien ajustées et Béatrice met fin à son calvaire d'un superbe doublé au milieu que chaque fesse. Elles rebondissent lourdement une dernière fois, resplendissantes d'un rouge écarlate parfaitement réparti sur toute la surface. Pas une marque, pas une trace de doigt, la fessée parfaite comme sait les administrer l'expérimentée maman.
    – «Alors mon chéri, tu as senti comme elle a bien claqué celle-là?» s'exclame-t-elle triomphante en lui tapotant le derrière en pleine cuisson. «J'espère que tu as apprécié cette excellente fessée! En tous cas tes fesses en sont rouges de bonheur!»  

    Maxime ne réagit pas. Effondré, sur les cuisses de sa mère, bras ballant vers le sol, il laisse échapper de faibles gémissements entrecoupés de sanglots.
    – «Oooh maman... co... comment tu... tu fais pour taper si fort... Tu es trop sévère… J'ai l'impression que mes fesses ont doublé de volume...»

    – «Mais ce n'est pas qu'une impression mon chéri, Elles ont bien gonflé sous les claques... Elles sont magnifiques... je dirais même en pleines formes... Avec un ''S''... N'est ce pas Mesdames?»

    Elle rit, en pivotant sur elle même pour orienter le gros fessier flamboyant en direction de ses amies visiblement comblées. Elle croise les jambes pour lui donner de la hauteur et bien en déployer les appétissantes rondeurs charnues. Béatrice à un sens de l'esthétique prononcé.
    – «Et voilà le résultat! Profitez en mesdames... Les grosses fesses de Maxime, rouges et cuisantes après une bonne fessée de maman!» 

    Ma’am Thérez s'est levée pour mieux contempler le derrière écarlate.
    – «Bravo ma chère, voila un derrière bien claqué, bien fessé, un modèle du genre!»

    Louise s’approche aussi.
    – «Ah oui, belles fesses, bien corrigées.»

    Elle les fait rebondir dans sa main pour en apprécier la chaleur. Elles sont cuites à point, elle enfonce ses doigts entre les deux, jusqu'au fond de la raie.
    – «On les sens chauffer d'ici...» dit madame Bellebourges, placée juste en face. «Il ne manque plus que notre chère Patricia pour y aller de son petit  commentaire sarcastique sur l’odeur de fesses chaudes. C'est vrai, je l’entend d’ici dire " Ça sent bon la fessée quoi!"»

    Eclat de rire général. Béatrice décroise les jambes pour faire redescendre le postérieur enluminé. L'exposition est terminée.
    – «Et bien mon chéri, ton derrière remporte un vif succès auprès de ces dames. Je sens qu'il va faire un triomphe à la prochaine fessée! En attendant, vas te mettre au coin à côté de tes petits camarades... Et... attention... pas un mot!» 

     

    C’est en ce début de soirée que Béatrice et Louise avaient prévu de convoquer leur époux respectif pour leur faire profiter de ce règlement de comptes, après s’être fait la main sur les fesses de leurs garçons. Ils étaient entrés discrètement dans le salon, pour ne pas perturber le déroulement des fessées en cours et s’étaient mis un peu à l’écart en attendant docilement leur tour. Stanislas, conjoint soumis de la maitresse de maison, allait prendre sa correction à domicile, ce qui ne le changeait pas de l’ordinaire, alors que Conrad, mari de Louise, allait découvrir l’humiliation de se faire claquer le derrière chez la nouvelle amie de sa femme. C’était d’ailleurs une excellente occasion de faire connaissance avec leurs voisins et de s’intégrer aux habitantes du quartier qui partageaient le même engouement pour une stricte disicpline domestique. La pratique régulière de la fessée conjugale constituait en quelque sorte un merveilleux facteur d’intégration.

    Louise Lamalisse  s'est levée de son siège et lisse sa jupe sur ses fesses en prenant soin d'éliminer les faux plis. Elle l'étire jusqu'au renfort noir de ses bas nylon. Trop courte pour descendre en dessous des jarretelles.
    – «Bien après cette délicieuse entrée en matière, il est peut être temps de s'occuper un peu de nos maris. Le mien en ce moment est infernal, il a un besoin urgent de fessées et j'ai bien l'intention de profiter de la soirée pour lui refaire le plein! Une bonne séance de fessées déculottées lui feraient le plus grand bien... Et je vais même commencer tout de suite! Si vous n’y voyez pas d’inconvénient!»
    – «Bien sûr que non!» s’exclame la maîtresse de maison. «Bien au contraire ma chère, nous avons  hâte de voir les fesses de votre mari se tortiller sous les claques d’une sévère déculottée.»

    Ma’ am Thérez n’est pas en reste et en remet une couche avant que l’autre soit sèche.
    – «C’est toujours très excitant de découvrir les réactions d’une nouvelle paire de fesses, en pleine action, sous l’effet d’une bonne fessée!» 

    Louise Lamalisse ravie de cette entrée en matière, se plante au milieu du salon, les mains sur les hanches, son imposante poitrine en avant, et interpelle son époux d'une voix forte pour que tout le monde en profite. Il se dégage de la plantureuse femme, une impression de force et d'autorité qui inspire naturellement le respect. Pas besoin d'y regarder à deux fois pour comprendre que le mari est fermement tenu en main. Discipliné à la fessée, il a appris à lui obéir et à filer droit. Se déculotter à la demande et venir chercher se sfeséses sans discuter.
    – «Tu as entendu Conrad? C'est ton tour... Amène tes grosses fesses par ici! Tu vas montrer à ces dames comment tu prends bien tes fessées!»

    – «Oh Louise chérie, non, je t'en prie, tu ne vas pas... pas ici devant tout le monde.»
    – «Ne commence pas à faire l'innocent Conrad... Tu savais très bien ce qui t’attendait en venant chez madame Klackerspank. C'est la fessée mon ami, la fessée... devant tout le monde! Comme si tu n'étais pas habitué à ce que je te corrige en public!»
    – «Raaaaah s’il te plaît! Pas ici, pitié!»
    – «Mon pauvre ami, cesse donc de pleurnicher comme un gamin. Tu ne vois pas à quel point tu te rends ridicule. Ce n’est pourtant pas la première fois que tu vas tortiller du derrière devant des dames sous une bonne déculottée! Et qu'est ce que c'est que ces manières de négocier ses fessées, hein?»

    Elle se tourne vers ses amies en souriant.
    – «Voyez, il faut sans cesse le reprendre. Il a pourtant eu sa fessée avant de partir tout à l'heure! Et je vous garantis que je lui en ai mis une sévère! Ah, ça lui chauffait dur dans le slip pendant le trajet jusqu’ici. N’est ce pas mon trésor?»

    – «Non, non... Ce n'est pas ce...»
    – «Tais toi et viens ici...immédiatement! Et tu te déculottes avant, pour montrer comment je t'ai dressé à venir chercher tes fessées le pantalon sur les chevilles comme un gentil garçon obéissant! Dépêches-toi, tu as dix secondes, sinon c'est double tarif...deux fessées au lieu d'une!»  

     

    (A suivre)

     

     Fesses rouges et tabliers blancs, saison 2, épisode 36

     

     

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  • Commentaires

    1
    PeterPan
    Jeudi 2 Mars 2023 à 18:31

    Bonsoir Ramina, 

    Soirée Tupperware : "On the rock" ! Les "Trois Grâces" ont frappé ! Tandis que Pit et Gégé mijotent au coin, Maxou passe à la casserole sous le feu croisé de Maman Béa'. Les maris deviennent aussi invisibles que possible. Comme au jeu des sept fessées, après les fils, on demande... les maris ! -Pioche ! -Ouais ! Dit Béa. -Bonne pioche : deux pour le prix d'un ! Stanislas (Lefort ? Rires) Seb' Séverin - 52 ans - 1,68 m - Commercial en... en quoi, au fait ?  Bref. Et : Conrad - Clément- Crépin - 54 ans - 1,70 m - Libraire : Mari de Louise, qui recadre son attitude :"- Mon mari est éternel gamin boutonneux, Béatrice. Je le surprend souvent à feuilleter des revues "olé-olé"  dans le cellier ! Il ne peut pas s'en empêcher encore à son âge ! Pire que mon p'tit Peter ! ". Ah quelles familles ! 

    Peter.

      • clodinet
        Vendredi 3 Mars 2023 à 20:46

        non pas fayot le Petit Peter en bermuda à bretelle...mais un peu dissimulateur...car je le soupconne, plutot que de craindre les sévices de MAD AME....de secrètement, au contraire, m'envier d'avoir une si bonne Maitresse ! j'aimerai bien partager avec toi avec plaisir ses bienfaits cher ami...mais  Elle esxclusve et ne te permet que rèver ! 

         

        bisous Clodinet

    2
    ramina
    Vendredi 3 Mars 2023 à 16:02

    Bonjour Peter,

     Après le jeu des sept familles... le Spanking Monopoly. Nouvelle règle édictée par tante Gladys , quand on passe par la case départ, on ne reçoit  plus 20.000 francs, surtout qu'on est en euros, mais une fessée déculottées qui vous envoie direct en tôle !!! la totale. Ceci  dit, lecteur assidu et perspicace, le Peter ne perd jamais le fil d'Ariane d'une histoire. Il lit tout, note tout, entend tout et voit presque tout, comme Dieu, (s'il existe, faut vérifier ) !)    Il a bien remarqué ( pas Dieu hein... Peter bien sûr ) l'apparition discrète  de deux autres personnages. Stanislas et Conrad, parce que,  et oui Béatrice et Louise ont aussi un conjoint qui est juste là pour se faire claquer le derrière pour agrémenter la soirée fessées !  Elles ne fessent pas que leur rejeton ! Point d'originalité, marqué dans le temps , chez notre ami commentateur, on ne feuillette plus les magazine espagnols ( olé, olé! ) sur le trône aux toilettes, le matériel à portée de man , mais dans le cellier... ça existe encore ça ? Ah c'est bien les citadins qui connaissent pas la campagne, ça ... bien sûr que ça existe les celliers, y en a partout des celliers ! Pour se palucher tranquille devant des vieux catalogues lingerie des trois Redoutes et des anciens annuaires téléphonique...S'il y avait pas des celliers,  ouesqu'on qu'on mettrait les bouteilles de cidre, de pinard, les outils de jardin, les cadavres dans les armoires ? hein !  Ignorant de la ruralité ! Tiens, c'est comme les ministres de l'agriculture qui n'ont jamais mis les pieds dans une ferme ! Vont quand même pas salir leur  pompe à mille balles dans  le fumier ...Quoi Madame , qu'est ce que j'en sais ...oui ? que je raconte encore n'importe quoi ... ... Moi ??? Je m'énerve madame ! .... Raaaah mais noooon pas du tout !!!  , je m'énerve pas !! ... je m'indigne... Comment ça c'est pas le sujet...mais si madame, il y a des fessées qui se perdent ! Quoi , pour moi aussi!! Pour que je me calme ? Raaaah mais je ne suis pas énervé !!!  Si j'avais su j'aurai, pas revenu !!  Ramina

    3
    clodinet
    Vendredi 3 Mars 2023 à 18:35

    Ha Tante Gladys ....j'avoue que vous me faites bander ! mais surtout faut pas le dire à ma Maîtresse ... presqu'au début le début, mon fifi ( c'est comme ça qu'on l’appelle dans l'intimité commence à s'émouvoir... mais c'est quand le récit évoque les moments délicieux : «  Quand ce n'est pas le frottement de ses bas nylon sur ses joues coincées entre ses cuisses pendant les fessées au martinet, c'est son ventre et son sexe qui s'irritent sur ses  jarretelles au rythme des claquées qu'elle lui allonge en travers de ses genoux. Dans les deux cas, ça chauffe dur aux endroits concernés. Il ne peut retenir longtemps ses cris de douleur et se lâche complètement, impuissant à éviter l'humiliation de la défaite devant ces dames qui n'attendent que ça. »

    que le coquin s'érige tel un mat de misaine !!! car il m'évoque des souvenirs de reelles fessées dans les mêmes conditions : et je me dis que finalement ce serait pas plus mal ! que Maîtresse me surprenne en lisant cela pour me faire pareil : hi hi hi !

    Clodinet

     

      • PeterPan
        Vendredi 3 Mars 2023 à 18:57

        Bonsoir Clodinet le bon 

        Je vous imagine en poète déclamant des vers tout en étant fessé avec délicatesse sur les doux genoux ennylonnés de Dame Mad', votre bienveillante Comtesse de la Claquaufesses. Mais je reparle doucement, passque si elle m'entend , je risque de chanter le God save... en vieux Gallois, sur ses g'noux !! "Ah le p'tit garnement en culotte courte à bretelle, encore lui ! " Me dirait-elle. Hommages respectueux ! (Quel fayot, je fais !)

        Peter.

      • PeterPan
        Vendredi 3 Mars 2023 à 19:15

        Re-bonsoir...

        "Oui, oui, oui, c'est la grooosse tante Gladys/ qui a du poil sur les cuisses / Horreur ! Malheur !  Oui, oui, oui, elle fesse avec malice / C'est la meilleure des complices : Horreur ! Malheur ! / La tata Gladys, elle punit toujours avec délice/ Horreur ! Malheur !  Et tante Glagla , c'est la plus jolie  /Car c'est sa fête aujourd'hui !!!/   Salsa des tatas... ". Coupez !

        Peter.

    4
    PeterPan
    Vendredi 3 Mars 2023 à 23:46

    Bonsoir Clodinet le Bon, 

    Sapristi de pristi !  Ich bin demasked ! Enfer et damnation ! Oui, j'avoue ! Mea Maxima Culpa ! Merci pour cette marque de confiance qui me touche beaucoup. Mais Dame Mad, comme chaque créature du Beau Sexe, est un joyau qui ne souffre d'aucun partage ! Imaginer est parfois plus émouvant que dévoiler... Alors, rêvons ! Hommages respectueux.

    Bon WE. Peter, le bermuda à bretelles malicieux. 

    5
    PeterPan
    Samedi 4 Mars 2023 à 08:44

    Bonjour Ramina et Clodinet, 

    Je viens de m'apercevoir (il est temps ! direz-vous) avec ma super loupe que la belle créature toute en rondeurs tentantes à droite du dessin n'est autre que... madame Lamalisse! Ach ! Ich bin horrified ! Damgast !!  Ben dis donc ! Elle décoiffe, la mère Louise ! Aux orties, le look "Arsenic et vieux martinets" !  Quelle transformation !!! Elle a surement consulté la marraine de Cendrillon pour qu'elle lui concocte un élixir de jeunesse !!! Ou bien elle a embrassé une grenouille ! Au choix (quelle horreur ! Pauvre batracien ! ) 

    Peter.



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