• Fesses rouges et tabliers blancs, saison 2, épisode 14

     Un texte et des dessins de Ramina, que je remercie


     Chapitre 14: Du double usage du martinet

     

    Elle ordonne à Géraldine de venir se remettre en position, cette fois courbée en deux sous son bras, et au lieu de lui demander d'écarter les fesses, lui ordonne au contraire de bien les serrer pour mieux sentir le passage du manche. Ce qu'elle fait en semblant avoir oublié la présence de Gladys et Robin, ou peut être la trouve-t-elle sans importance à ce moment là. Dans tous les cas, trop contente d'échapper à la fessée au martinet, la perspective de s'en prendre une autre à la main avec le manche planté dans le derrière n'a pas l'air de lui déplaire. Elle est curieuse de découvrir l'excitante sensation de se faire enculer, comment se plaît a dire sa tante par provocation, et fesser en même temp
    – «Oui ma tante, la... la fessée, à la main, avec… avec... le martinet dans le derrière. C'est vrai, pardon, j'ai été insolente... Oui... encore une fessée… une bonne fessée je la mérite!»
    – «Avec plaisir ma chérie...»

    Astrid ne se fait pas prier, au contraire. Elle lui enfonce lentement, anneaux par anneaux les vingt centimètres de cuir dur, enduit de vaseline, dans le derrière et démarre une nouvelle fessée en redoublant les claques. Gladys, avec un sourire amusé, observe les trépidations du manche du martinet et les lanières oscillant au rythme des claques entre les fesses rebondies. Leur couleur, par endroit, vire à l'écarlate. Géraldine, entre larmes et gémissements, tortille du derrière en cadence.
    – «Oh ma tante… çà fait mal... çà... ça brûle... oh la la! çà cuit trop... et... et c’est dur ce... ce machin dans le derrière... Raaaah ... pas si fort s'il vous plaît, pas sur le manche ça l'enfonce encore plus!!!»

    Gladys constate avec satisfaction que les cannelures et le renflement du bout du manche maintiennent le martinet bien en place entre les deux hémisphères charnus. Il ne ressort pas, malgré la puissance des claquées qui secouent durement les fesses de la punie. Madame Delaniaires, en honnête commerçante, n'a pas exagéré sur les qualités de polyvalence de l'instrument de discipline.
    Au bout de cinq longues minutes d'un fesse droite, fesse gauche bien rythmé, la fessée se termine sur une dernière claquée, si forte que Géraldine manque d'en tomber par terre
    – «Tu restes en position, déculottée, les fesses en l'air bien déployées, lui ordonne sa tante. Il faut laisser le temps à nos clientes d'apprécier l'efficacité de nos instruments après trois belles fessées successives.»

    Géraldine, définitivement matée, obéit en pleurant et arrondit docilement son derrière, vers Gladys et Robin qui profite, lui aussi, de l'émoustillant spectacle. Les lanières bruissantes du martinet, solidement planté entre ses fesses écarlates, ressortent comme une queue de cheval en cuir noir qui se balance au rythme de ses sanglots.
    – «Alors?... Convaincue?» demande madame Delaniaires. «Et je vous garantie la qualité du cuir. Même en usage intense, vous n'êtes pas prête d'user les lanières!»
    – «Bien au delà de mes espérances...» répond Gladys avec un large sourire de satisfaction.

    Madame Delaniaires arbore l'attitude triomphante de celle qui vient de réussir une belle démonstration d'autorité. Le visage rayonnant, elle contemple la récompense de sa débauche d'énergie. La paire de fesses, flamboyantes, sévèrement corrigées, d'une demoiselle arrogante qui la provoquait quelques instants auparavant. Matée sous les fessées, et la honte de devoir s'exhiber avec le manche de son martinet enfoncé dans le derrière, l'insolente de tout à l'heure n'est plus qu'une petite fille en larmes, adoptant maintenant l'attitude de soumission propre à la repentance. Madame Delaniaires ne boude pas son plaisir.
    – «Et bien ma chère nièce, j'espère que cette correction va te servir de leçon. Une bonne leçon que tu vas retenir... pour quelques temps au moins... Jusqu'à la prochaine!»
    – «Oh oui, ma tante... Pour ça oui!» s'empresse de répondre la jeune femme entre deux sanglots.

    Toujours à genoux, déculottée, les lanières du martinet pendant entre ses fesses écarlates. elle s'adresse à sa tante par dessus son épaule. Elle n'ose pas se relever, attendant que sa Tante l'autorise à retirer ce maudit manche qui lui chauffe terriblement le trou de balle.
    – «Je vous ai mal parlé... J'ai été insolente... Par... pardon, je... je ne recommencerai plus... Vous m 'avez bien corrigée...le derrière bien fessé, bien claqué.»
    – «Oui en effet, je ne suis pas mécontente de ma prestation. Il faut reconnaître qu'un fessier aussi bien fourni que le tien facilite grandement les choses... Qu'en pensez vous Gladys?»
    – «Que ça serait dommage de s'en priver, effectivement! Et de toute évidence elle en a grandement besoin.»
    – «Tu vois», reprend Astrid, «Gladys partage mon avis et celui de ta mère. Les fessées c'est pour ton bien... Pareil pour Robin, vous ne comprenez qu'avec ça! Alors, on est là, pour vous en flanquer le plus souvent possible!»

    Robin, tout d'un coup concerné, fit semblant de ne pas avoir entendu. Il attendait que sa mère l'autorise à se reculotter et se décide à quitter cette boutique dont l'atmosphère commençait à s'alourdir d'une envahissante odeur de cuir et de fesses chaudes.

    Madame Delaniaires et Gladys ordonnent aux deux punis de se reculotter. Auparavant, Astrid a pris soin de retirer bien lentement, le manche cannelé du martinet des fesses cuisantes de sa nièce qui accompagne le retrait d'un long gémissement de honte entrecoupé de soupirs de soulagement ou de plaisir.
    – «Voilà... La prochaine fessée on essayera un manche un peu plus gros!» dit elle en riant. Elle lui claque les fesses. «Tu peux remonter ton slip maintenant... Et ajuste le, bien serré s'il te plaît!»

    Même consigne pour Robin. Sous l'oeil goguenard de leurs fesseuses respectives, les deux jeunes gens remontent leur slip sur des derrières en feu, gonflés de claques. Ce qui provoqua maints tortillements et gémissements douloureux... Au point que Robin osa demander à sa mère s'il pouvait rentrer avec seulement son pantalon. Ça ne traîna pas... Elle refusa évidemment et, devant une Astrid Delaniaires, ravie de voir jouer les prolongations, elle le reprend aussitôt sous son bras, le redéculotte et lui flanque une nouvelle fessée... brève mais intense.
    – «Voyez, il n'en a jamais assez»! dit elle en lui faisant sauter les fesses l'une après l'autre à grandes claques retentissantes. ll hurle.
    – «Ça, mon petit bonhomme, c'est pour t'apprendre à essayer de négocier mes ordres! Quand je t'ordonne de te reculotter, tu te reculottes, comme quand je te demande tes fesses, tu me les amène sans discuter! »

    Elle le reculotta elle même, sans ménagement, en s'appliquant à lui ajuster son slip, serré au maximum, sur le derrière en regain de cuisson.
    – «Voila ce que tu as gagné mon chéri! Qu'est ce qu'on dit à maman pour la remercier, maintenant que tu vas encore mieux sentir l'effet de tes fessées?»
    – «Oui maman... Oui mer... Merci... Je... Je les sens bien mes fessées...»

    Pour le coup, le rouge cramoisi, qui colorait maintenant ses fesses, transparaissait beaucoup plus nettement à travers le nylon de son slip, témoignant de l'efficacité de la main ferme de sa mère. Les deux fesseuses échangèrent un regard brillant qui en disait long sur leur niveau de satisfaction. Quant aux deux punis, l’expression de leur visage ruisselant de larmes, montrait clairement que la cuisson de leur fessier, suractivé par l’effet calorifugeant du Dolpic, n’était pas près de s’atténuer!

    Gladys, remercia chaleureusement madame Delaniaire pour sa disponibilité, sa compétence et sa magnifique démonstration. Elle ramassa son sac avec le tube de Dolpic et expédia Robin vers la sortie d'une nouvelle claque au derrière.
    – «Allez en route! Et je n'en ai pas fini avec tes fesses. Il y a encore une fessée qui t'attend ce soir pour fêter l'arrivée de ton nouveau martinet à la maison!»


    Géraldine, dont la journée au magasin s'était terminée par cette magistrale correction, fut invitée par sa tante à rentrer chez elle.
    – «Et tu as intérêt à montrer tes fesses à ta mère en arrivant et de lui dire combien de fessées je t'ai flanquées aujourd'hui en lui expliquant les raisons!»

     

    (à suivre)

     

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  • Commentaires

    1
    PeterP
    Jeudi 22 Septembre 2022 à 12:20

    Bonjour Ramina, 

    Wahooou ! Quelle rentrée des classes ! Et encore, ces deux redoutables Virago n'ont pas encore reçu le bulletin trimestriel de leurs deux tourtereaux !!! "... La fessée déclencha une averse de sanglots longs des oisillons de l'automne qui fit naitre dans leurs prunelles une idylle monot....". - Noooon, coupez !! M'enfin , Pit ! C'est pas ce qu'on te d'mande ! - Ah bon ? J'pensais qu'un peu de romantisme....ça aid... ah non ? Faut pas ? Bon. -  Coupeeeez ! On r'commence !  - Scheisse ! ". Mais, dites moi , cette entrée en matière ne va t-elle être éventée dans le quartier ?? Ah ce moment-là, la clochette tinta et la chevillette chèr....- Madame Lamalisse, quelle surprise ! Mais entrez ! Nous parlions chiffons avec Madame Tapefort.        - Excusez mon intrusion sans y être invitée, Mesdames mais... je tenais à venir vous  présenter mon grand garçon: Peter. Allez: mon petit poussin, dis "Bonjour à madame Tapefort et à Madame Delaniaire".(...) la présence de ces deux fortes femmes m'impressionnait beaucoup. Maman Louise me glissa à l'oreille : Allez, obéis moi, mon chéri ou bien tu recevras un belle fessée au martinet sur mes genoux quand on sera à la maison. -"B... bon... bonjour... Mes... mesdames ! " Balbutiais-je, la tête baissée, et rougissant jusqu'aux oreilles. Maman reprit aussi vite. "Oh, Mesdames, excusez mon p'tit Peter. il est si... si timide." -Vous êtes ravissante dans ce bel ensemble automnal en tartan d'Ecosse. Vous permettez ? " Curieuse, mam'e Delaniaires se pencha et tâta la lourde étoffe plissée de la jupe de Maman pour en évaluer la qualité. "De la pure flanelle 100% laine ! Et un plissage parfait qui flatte la silhouette et accompagne la marche avec élégance. Cet ensemble vous sied à merveille, Madame Louise."  -"C'est un cadeau  du père de Peter, " enchaina Maman . "Du temps où il me faisait la cour . Quelle époque !". Coupeeez. Peter.

    2
    Ramina
    Jeudi 22 Septembre 2022 à 15:45

    Bon, c'est pas compliqué, Peter on ne peut plus l'arrêter . On n'a jamais pu d'ailleurs... C'est top délire à tous les étages, le périphérique de l'écriture aux heures de pointe;  Tu lui proposes un chapitre, il réécrit tout Balzac, la comédie humaine , plus la légende des siècle., du Victor Hugo . Déjà qu'il est barré dans l'encyclopédie du cinéma, façon Diderot, d'Alembert... Il t'assèche un stylo bille et une rame de papier en une demi journée!! Un dialoguiste à quatre main qui vous ramène Madame Lamalisse chez les Delaniaires,, se met en scène dans la boutique de martinets et au passage nous fait la promotion de la jupe de sa mère en tartan d'Ecosse, alors que Gladys ne connait de ce pays que le Whisky pur malt. Kilo de cerises dans la bateau, on a quand même du pur flanelle 100% laine au plissage parfait. La dessus, arrive le Père Noël, en avance sur l'horaire, qui drague la mère Lamalisse, soudainement transformée en madame Louise enchaînée dans la cour par la fée Carabosse que personne n'a vu arriver ...Pfouuuuuf, la je suis en surchauffe!   Ramina

      • PeterP
        Jeudi 22 Septembre 2022 à 16:06

        Hello Ramina, 

        Ben dis donc ! J'ai accompli tous ces exploits sans bouger de mon clavier ! Piouuu ! quelle aventure  !  Autant remonter la Seine en pédalo  depuis le plateau de Langres !!! Wahou !! Je lis à l'instant une dépêche : Chez les 3 Redoutes... Ah oui, pour ceux que ça intéresserait : Promo de rentrée au rayon textile : 2 Euros le mètre de tissu en flanelle douce en tartan ! Et aussi : Pour les dingo de l'apéro : 10 Euros les deux Magnum de Loch Gladys en pur malt 45 °. Du coup, les Tapefort vont faire une commande de deux palettes pour passer l'hiver ! Quitte à faire rouler la Fiat Tippo avec, si pénurie d'essence il y a !!  J'allais oublier : la Mère Gladys devrait y aller mollo sur le Malt ! Robin s'est plaint à Peter qui l'a répété à sa bonne Maman Louise qu'elle a la main qui tremble, passé les trois verres secs !!! "Une fessée, ça va ! Trois fessées, bonjour les dégâts !  "Les femmes fortes boivent des boissons fortes ! Je sais. "Hi hi hi hi hi  ! Coupeez . 

        Peter.

      • PeterP
        Jeudi 22 Septembre 2022 à 16:18

        Rehello...

        "Pour la flanelle, j'y suis pour rien, M'dame ! C'est... c'est ma bonne Maman, qui était couturière, qui s'y connaissait en matières textiles. Moi, j'ai retenu quelques leçons au passage ! C'est tout. "Alors ? Qu'est-ce qu'on dit, mon poussin ? Merci-Ma-maaan ! ".  Sagesse éternelle des parents.

        Peter.

    3
    Ramina
    Vendredi 23 Septembre 2022 à 20:21

    hello Peter,

    L'homme qui ne dépasse jamais cinq verres,  .

    Damned  ! Gladys a décidément, beaucoup de talents!  Après avoir fait la promotion des slips à fessée,, du martinet double usage, de la fessée déculottée  à n'importe qu'elle heure de la journée, ne voila t-il pas qu'elle crée sa propre marque de Whisky le "Loch Gladys".Rien à voir avec le monstre du "Loohfesse". Maintenant, si elle a la main qui tremble comme Robin le fourbe en répand la rumeur, ça serait bien une manigance pour discréditer ses compétences à administrer des fessées.  Gladys ne devrait pas tarder a le prendre sur ses genoux pour lui montrer qu'elle a la main toujours aussi ferme et ce n'est pas demain la veille qu'elle va commencer à taper à côté. Même tarif pour Peter le cafteur... fessée double maturation, comme le Whisky ! Ramina

    4
    PeterP
    Vendredi 23 Septembre 2022 à 23:33

    Hello Ramina ! 

    Pas mal comme nom de marque, non ? Réclame, voix-off :  "Monsieur, pour vos soirées entre amis, pour  le départ d'un collègue de travail, pour fêter un évènement joyeux, pensez "Loch Gladys !". Whisky 100 % pur malt d'Ecosse, estampillé "Loch Gladys" et la vie devient délice ! Loch Gladys, dans tous les bons chais. Jean  Foulon, Publicité , 30 Champs-Elysées - Paris."  Qu'est ce qu'il va recevoir sur son pôv' popotin tout maig', le p'tit Peter avec la grooosse paluche de Maman Gladys !!! Et avec sa Maman Louise, alors !!! Maman Louise déteste les rapporteurs ! Plus encore s'il s'agit de son poussinet chéri ! Mamie Claudine va devoir encore une fois lui mettre des compresses d'eau froide après ça !! Ca va chauffeeeer ! Hum... Je crois que Maman Louise va rencontrer Maman Gladys d'ici peu. Je le sens...  Coupez.       Peter.



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