• En métal

     Encore du matériel bien excitant… Je n'aime pas du tout le métal, comme matière dans les jeux, mais il y en a qui aiment…

    Une belle collection en tôle émaillée, des pichets qui peuvent servir à recueillir la pisse, des entonnoirs pour la verser dans la bouche du soumis, un seau pour faire pipi et caca dedans, un urinal, et toutes sortes de récipient bien pratiques.

      

    En tôle TAM

    Et en acier, le lit médical, avec le sommier en métal et le matériel de bondage.

    « Fesses rouges et tabliers blancs, saison 2, épisode 9Souvenir d'un puni aux orties »
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  • Commentaires

    1
    PeterP
    Vendredi 19 Août 2022 à 18:34

    Hello à tous...

    Ben, les promos de rentrée aux 3 Déroutes, ça décoiffe sec, cette année !!  Entre l'assortiment tout métal  de campagne  et le lit grillagé  et autres renforts de cuir pour attacher un Yéti (pauvre bête ! )... Moi, ça me fout les jetons !!!  Sil y a des amateurs, tant mieux pour eux. C'est le clou de la visite chez la Famille Adams ? (rires)                 Peter.

      • PeterP
        Samedi 20 Août 2022 à 14:46

        Rebonjour...

        En effet, on pourrait discuter indéfiniment des souvenirs personnels des bons et des moins bons... Saluons malgré tout le choix éclectique du maitre de ces lieux. Peter.

    2
    Samedi 20 Août 2022 à 11:28

    Bonjour Peter,

    Ça ne me laisse pas de bons souvenirs, non plus, toutes ces gamelles en métal émaillé, ça me rappelle douloureusement les vaccinations ou cutis collectives que nous subissions, autrefois, à l'école où les infirmières faisaient brûler de l'alcool (à brûler) dans ces plus grosses gamelles pour tenter de réchauffer l'air de la salle des fêtes où on nous imposait cela.

    Bonne fin de matinée.

    Paul.

      • PeterP
        Samedi 20 Août 2022 à 11:46

        Bonjour Paul, 

        Je me doute bien que ce genre d'argenterie ne rappelle pas de bon souvenirs. Ca rappelle les pensionnats d'antan, avec l'infirmerie. Ca peut rappeler les visites médicales avec la doctoresse scolaire qui scrutait les carnet de santé et tutti quanti.  Ca se passait en hiver souvent mais dans une pièce chauffée au radiateur. Mais dans les années 1970, pour moi. Peter.

      • Samedi 20 Août 2022 à 12:02

        Bonjour Peter,

        On voit la progression du confort, Monsieur avait le droit à une salle chauffée par des radiateurs, le grand luxe LOL, nous c'était une salle des fêtes pas chauffée, d'où l'alcool à brûler qui essayait péniblement de couper l'air froid, dans les années 60, le réchauffement climatique n'existait pas et dans les Ardennes, il gelait souvent à -20 pratiquement tous les hivers.

        Bon après-midi.

        Paul.

      • PeterP
        Samedi 20 Août 2022 à 12:39

        Rebonjour Paul...

        Je me doute bien du ressenti. L'époque des Beatniks avait quant même du bon. Rires. Mes cousins en Alsace ont eux aussi un climat équivalent aux Ardennes. Plus d'une fois, en hiver, par grand froid, l'eau des toilettes avait gelé !! L'année 56 a été une des plus froides du 20è. siècle. Les loups sont descendus des Alpes vers les villes. D'ailleurs , le dernier spécimen a été éradiqué cette année-là, dit-on.   Peter.

      • Samedi 20 Août 2022 à 13:04

        Bonjour Peter,

        Oui, je sais, je suis né le 3 janvier 1956, mes parents ont eu juste le temps de me promener, les premières semaines après ma naissance, car fin janvier, il faisait tellement froid que l'on passait la Meuse à pied sec car elle était complètement gelée. Forcément que l'eau était gelée dans les toilettes, encore une fois Monsieur vivait dans le luxe, mais nous, pauvres ardennais, nous ne le voyons pas car c'était dans une cabane en bois à claire-voie, la tinette au fond du jardin qu'il fallait vider, une fois par mois sur le fumier, pas de chauffage central à cet époque, c'était le poêle à bois ou à charbon issus des dommages de guerre chez ma grand-mère, pas d'eau courante, l’eau, on allait la chercher dans la rue avec des seaux et quand une idiote (c'était souvent le travail des femmes ou des gamines) avait fermé le robinet et qu'il était gelé, il fallait prendre une casserole d'eau chaude pour tenter de dégivrer tant bien que mal ce robinet, des fois les carreaux ne dégelaient jamais, on ne voyais dehors que par le centre du carreau qui n’avait pas gelé car il gelait, non seulement la nuit, mais aussi toute la journée, je m'amusais, gamin, à gratter la glace et me faisait engueuler car je risquais de casser le carreau. Mais nous avons profité des trente glorieuses, une époque où tout semblait possible.

        Bon après-midi.

        Paul.

      • PeterP
        Samedi 20 Août 2022 à 14:24

        Rebonjour Paul, 

        Je vois d'ici Marie-Souillon nous interpelait : "Dites donc, les deux compères, au fond, c'est pas la rubrique météo d'Albert Simon, ici ! Non mais. " (rires). Perso, j'ai le souvenir de fin d'année glaciale (1971/1980). En Bretagne sud où j'ai passé ma jeunesse, les hivers étaient assez rarement glaciaux , en raison du climat iodé qui adoucit les températures. Sauf exception. En décembre 1980, la Loire avait charrié des glaçons vers Orléans, d'après la météo de l'époque.  Le confort minimum est installé dans les maisons à partir des années fin 60/début 1970. Et tout cela avait un coût.  Peter.

      • Samedi 20 Août 2022 à 14:34

        Re-Bonjour Peter,

        Marie n'a qu'à pas nous mettre des trucs vintages qui nous rappellent de mauvais souvenirs, pour moi 1969 a été l'année du confort.

        Bon après-midi.

        Paul.

    3
    Samedi 20 Août 2022 à 14:53

    Re-Bonjour Peter,

    non, je ne critique pas, c'était juste une boutade, avec Marie, on se connaît sur les forums et les chats depuis 20 ans, et quand je peux lui faire plaisir en portant des blouses et des tabliers coton, je n'hésite pas, pour en revenir à 1969, c'est aussi l'année ou mon fétichisme pour les blouses nylon de femme a commencé.

    Bon après-midi.

    Paul.

      • PeterP
        Samedi 20 Août 2022 à 15:35

        Re-re bonjour Paul, 

        Non, tu n'as pas à t'excuser. On discute tranquillement. On a chacun de nous vécu des choses différentes. La vie, c'est la vie. C'est comme ça. On essaie d'en tirer le meilleur parti dès qu'on en a l'occasion. Avec plus ou moins de bonheur. 

        Bon Samedi. Peter. 

      • PeterP
        Samedi 20 Août 2022 à 15:56

        Re-hello...

        C'est incroyable, non, comment une simple discussion au départ autour d'accessoires du quotidien peut par rebonds nous amener à dévoiler un peu de notre vécu personnel, des bribes de notre existence. Magie du bavardage...    Peter.

      • PeterP
        Samedi 20 Août 2022 à 16:04

        Hello Rami'...

        J'aime bien la présentation du commentaire : "ces messieurs de la famille". Comédie avec Francis Blanche, Lino Ventura et  et... là je pêche. Mea culpa ! Maxi mea culpa !  Dialogues d'Audiard. Dans la même veine des "Tontons Flingueurs" . Ah ah ah ! Toujours le bon mot Nous faisons tous les deux d'incorrigibles cinéphiles, des maniaques de la bobine, des félés du 16/9... Souvenirs... Peter.

    4
    Ramina
    Samedi 20 Août 2022 à 15:20

    Saluté, ces messieurs de la famille !

    Et bien on peut dire quand même que les trente glorieuses ne commençaient pas de la même façon pour tout le monde. . Gloire à la cuisinière à charbon que ma mère allumait tous les matins. Elle chauffait la petite cuisine de notre trois pièces au 3è étage, réchauffait un peu la salle à manger contiguë , mais n'allait pas jusqu'à la seule chambre du modeste appartement où on dormaient à quatre, dans une chaleur essentiellement humaine . Un seau au milieu de la chambre pour faire pipi, les WC qu'on  partageaient avec les voisins d'en face étaient à mi-palier. Autant dire que tu n'y traînais pas en hiver. Quand les vitres commençaient à geler ma soeur et moi allions nous coucher avec une brique enveloppée dans du papier journal, restée toute la journée dans le four de la cuisinière.  Fallait remonter le charbon dans un seau, de la cave quatre étages en dessous . Pas de lumière dans l'escalier, quand j'ai eu l'âge de le faire et que mon père m'y envoyait, je   descendais avec une lampe de poche entre les dents et je remontais aussi vite que je pouvais malgré le poids du seau. J'avais la trouille dans le noir de la cave emplie de toiles d’araignées partout.  Quand ça descendait trop en dessous de zéro, ma mère nous découpait des semelles dans plusieurs épaisseurs de papier journal qu'elle glissaient dans nos galoches pour qu'on ait moins froid aux pieds . On ne savait pas qu'un jour on nous bassinerait avec un réchauffement climatique, n'empêche, ça nous aurait bien rendu service .

    On allaient à l'école tout seuls à pieds et on en revenaient  pareils sans que nos parents se prennent la tête avec des histoire de sécurité à la con. On faisaient  gaffe, c'est tout . Pas de télé anxiogène, la radio sur le buffet en bois de la cuisine . L'horizon de notre petite société c'était le trottoir de notre quartier. On y jouaient en bas dans la rue , aux billes quand on en avaient sinon avec des capsules de soda qu'il fallait envoyer dans un trou. On jouaient ''au trou''. On avaient droit à un petit coup de martinet, pas méchant, sur les mollets quand on oubliaient l'heure et qu'on remontaient trop tard. Limite si on en rigolaient pas en douce avec ma frangine.

    C'était après guerre en Bretagne entre Rennes et St Malo, dans les années cinquante. Il faisait beau en été, froid en hiver  et certainement ailleurs en France mais on ne savaient pas parce qu'on n'y allaient jamais... On n'étaient pas malheureux, on n'avaient pas d'élément de comparaison avec d'autre milieu que celui  des gens modestes ...  C'est plus tard qu'on s'en est rendu compte, mais sans jamais oublier d'où on venaient .... Ramina

      • PeterP
        Samedi 20 Août 2022 à 15:50

        Hello Ramina, 

        Tout est résumé, Rien à ajouter. "... sans jamais oublier d'où on venait...". L'école de la vie. Simple, Rude, Humaine. Ma famille a vécu la même chose, et hors de métropole. Mais ça ne changeait rien à l'affaire. J'étais le benjamin d'une fratrie de trois enfants et pour moi , un vécu bousculé par la vie. Bref. Mais une jeunesse surprotégée. "Petit poisson deviendra grand...etc".  



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