• En famille pendant le confinement Épisode 12 Confession et pénitence

    Un texte de votre servante, Marie-Souillon. J’ai attendu que le ciel redevienne bleu pour le publier.

     

    Épisode 12 Confession et pénitence

     

    Quatrième jour, fin d’après-midi

     

    Je suis resté environ une heure sur le canapé, à regarder la télévision, pendant que ma grand-mère cousait, ou faisait diverses autres choses avec sa machine à coudre perfectionnée, je pense, je n’osais pas me retourner ni dire quoi que ce soit, de peur de me faire remarquer. J’avais quand même, depuis le matin, été baisé par ma tante, j’avais léché la moule de ma grand-mère, j’avais vidé mes intestins de plusieurs jours de caca que j’avais dû nettoyer, j’avais été fessé au strap, deux fois, nourri des restes du repas de mes bourrelles assis cul nu sur un paillasson en étant pluggé, et fait du ménage. C’était quand même une dure journée pour un convalescent.

    J’avais envie de pisser, et je savais que mes punisseuses attendaient que je fasse dans ma couche. Mais ma grand-mère avait dit que j’avais droit au «pot» deux fois par jour. Je me retenais donc, dans l’attente du pot, en me disant que l’humiliation de devoir faire devant elles leur donnerait de l’amusement et entraînerait leur indulgence pour la suite.

    Ma grand-mère s’était mise à la cuisine pour le soir, et elle m’appela pour l’aider. J’obéis avec plaisir, l’aider à la cuisine était agréable et presque tendre, nous étions dans une relation plus normale, sauf que, bien sûr, j’étais habillé en femme. Mais elle me parlait gentiment, sans, cependant, oublier de placer le mot “cochonne“ dans chaque phrase.

     

    J’étais bien dans ce rôle servile et doux, quand ma tante passa la tête par la porte:

    - “Maman, tu as terminé mon dernier tablier?“

    - “A l’instant, Colette.“

    - “Merci maman chérie, alors veux-tu bien mette la cochonne dans sa blouse de contention, pendant que je m’habille pour la confession? Tu seras un amour!“

    La confession? Qu’allait-il m’arriver?

    Ma grand-mère interrompit sa cuisine, s’essuya les mains dans un torchon:

    - “Allez, cochonne, déshabille-toi, tu sais le faire, quand même, non?“

    J’enlevai ma robe et mon tablier blanc, que je pliais et posais sur la table.

    - “Enlève ton fichu aussi, mais garde ta culotte et ta couche…“

    J’en profitait pour poser la question qui me tourmentai depuis un bon moment.

    - “Mamie, est-ce que je peux faire pipi, s’il te plait?“

    - “Bien sûr, cochonne, dans ta couche.“

    - “Je voulais dire sur le pot, Mamie“, osai-je.

    - “Et puis quoi encore, la cochonne se prend pour qui? Tu as droit au pot deux fois par jour, tu le sais, tu seras punie pour l’avoir oublié.“

     

    Elle prit la blouse de contention et me l’enfila, je sentis le coton épais et rêche sur ma peau, je dus enfiler les bras dans les manches, elle me boutonna dans le dos, j’avais le gros cul avec les couches, mais la blouse avait été taillée en prévision de ça, j’étais boudinée et ridicule avec mon gros derrière et mes cuisses écartées par l’épaisseur du tissu. Elle me mit aussi le petit bonnet rose spécial, qui me donnait l’air si ridicule. A peine avait-elle fini de m’habiller que ma tante arriva, vêtue en Sœur Sévices.

    Elle s’assit sur une chaise solide, et me fit signe de venir devant elle.

    - “A genoux, cochonne, je vais t’entendre en confession. Es-tu prêt?“

    Que pouvais-je faire? Je m’agenouillais et répondis:

    - “Oui ma Sœur.“

    - “Va me cherche le tablier de confession, et rapportes-le moi. Et quand tu t’agenouilles, retrousse ta blouse de contention, ne la salis pas à t’agenouillant dessus.“

    Le tablier de confession? Qu’est-ce que ça pouvait bien être? Je me levais et me tournais vers ma grand-mère, qui me désigna un tablier à bavette blanc qu’elle venait de finir et qui était posé, plié, sur sa machine à coudre. J’allais le chercher, je le rapportais à ma tante en lui présentant après m’être agenouillé, genoux nus sur le sol, comme elle me l’avait dit.

    Elle se leva, c’était impressionnant de la voir debout devant moi à genoux. Elle se retourna, me montrant son large fessier, pour enfiler le tablier, qui avait des bretelles croisées dans le dos.

    - “Fais-moi le nœud, cochonne, et n’en profite pas pour me toucher les fesses.“

    Je nouais la ceinture du tablier en un joli nœud, et il est vrai que j’avais une folle envie de mettre un baiser sur son gros cul. Mais elle se retourna, s’assit sur la chaise, et je pus voir que le tablier était muni de deux grandes poches, et qu’il était brodés d’inscriptions. De toute évidence, c’était la machine perfectionnée de ma grand-mère qui faisait automatiquement les textes brodés. Il y avait sur le devantier deux colonnes, une en français, une en allemand, en bleu foncé, le bleu de sa robe, qui se détachait bien sur le fond blanc.

    - “Lis pour toi, cochonne“, dit Sœur Sévices.

    La colonne en français avait trois parties:

    Confessez-moi, ma Sœur, parce que j’ai péché.

    Une ligne vide, et puis

    Ma Sœur, j’ai un très grand regret de vous avoir offensée, parce que vous êtes très perverse, très sévère, et que mes péchés vous excitent. Je prends la ferme résolution, avec le secours de votre main ferme, de ne plus vous offenser et de faire pénitence. Ainsi-soit-elle.

    Puis, un peu plus bas:

    De tous ces péchés, j’en demande humblement pardon, ma Sœur, et je vous supplie de m’infliger les pénitences que je mérite. Infligez-moi aussi toutes les pénitences que votre perversité vous plaira de choisir, pour que mon humiliation et ma souffrance vous fassent jouir.

    L’autre colonne portait le même texte en allemand, que je comprenais parfaitement aussi.

     

    Ma grand-mère avait pris une chaise et s’était assise à côté de moi, pour profiter du spectacle.

    Ma tante montra du doigt la première phrase, que je dus lire à haute voix, enfin, en essayant de prendre le ton le plus humble possible.

    - “Confessez-moi, ma Sœur, parce que j’ai péché“, dis-je, avec une délicieuse honte qui, déjà, me fit rougir.

    - “Je vais te confesser, mon enfant, mets-toi en prière…“

    Je joignis les mains devant moi. Les manches de la blouse de contention, qui faisait office de camisole de force, avaient des liens cousus. Ma tante s’en servit pour m’attacher ensemble les avant-bras, des poignets aux coudes. Puis elle sortit de la poche du tablier une sangle de toile, de la même matière que ce dernier. Elle était brodée, aussi, en allemand d’un côté, en français de l’autre, avec les mots: “péché“, “humilité“, “confession“, “repentir“, “pénitence“, “pardon“. Elle me passa la sangle autour du cou, devant, un anneau et un mousqueton permettaient de la refermer sans serrer. Il lui suffisait de tirer sur les bouts pour faire approcher mon visage, le lever ou le baisser à sa guise. Elle tira un peu, je m’avançais, sur les genoux, autant que possible, pour arriver près d’elle entre ses genoux qu’elle avait écartés autant que la robe lui permettait.

    - “Dis ton acte de contrition.“

    Il était brodé sur le tablier, je le récitai donc avec ferveur.

    - “Ma Sœur, j’ai un très grand regret de vous avoir offensée, parce que vous êtes très perverse, très sévère, et que mes péchés vous excitent. Je prends la ferme résolution, avec le secours de votre main ferme, de ne plus vous offenser et de faire pénitence. Ainsi-soit-elle.“

    - “Je vais donc te confesser, mon enfant“, dit Sœur Sévices, “mais il faut d’abord détourner ton regard du péché.“

    Elle rabattit la partie de mon bonnet qui était prévue à cet effet, noua le petit lien derrière, me bandant ainsi les yeux. J’étais agenouillée, bras liés devant, les yeux bandés, ma tête s’inclinant aussi bas que le voulais ma confesseuse.

     

    - “En quoi as-tu péché, mon enfant?“

    - “J’ai certainement péché, ma Sœur, mais je ne sais pas en quoi.“

    - “Nous allons examiner cela, mon enfant, et passer en revue les différents péchés. Il y a le péché de chair, le péché d’orgueil, le péché de mensonge, le péché de paresse, le péché de gourmandise, le péché d’incontinence…“

    - “Oui ma Sœur.“

    - “Commençons par le péché de la chair, tu as commis le péché de la chair, mon enfant, aujourd’hui?“
    - “Euh, oui ma Sœur, enfin, je ne sais pas, je n’ai rien fait, j’étais attaché, j’ai été violé…“

    - “Par qui, mon enfant? Peu importe les détails, tu as pénétré une femme?“

    - “Je l’avoue, ma Sœur, j’ai pénétré ma tante, mais c’est elle qui s’est assise sur moi, j’étais attachée, je ne pouvais rien faire.“

    - “Mais tu as fait, donc, tu as péché. Tu as fait d’autres péchés de luxure, mon enfant?“

    - “Euh, je ne sais pas, ma Sœur, mais ma grand-mère m’a donné sa moule à lécher en s’asseyant sur moi.“

    - “Ah, deuxième péché, donc. Tu as pris plaisir à tout ça?“

    Je ne répondis pas. Heureusement que j’avais les yeux bandés, je n’aurais pas pu supporter son regard. Je sentis soudain une paire de gifles, pas très fortes…

    - “Alors, mon enfant, réponds, tu as pris du plaisir?“

    - “Oui ma Sœur, je l’avoue, j’ai pris du plaisir.“

    - “Prendre du plaisir à te faire baiser par ta tante, attaché, et à gougnotter ta grand-mère, c’est un plaisir malsain, un plaisir coupable, non?“

    - “Oui ma Sœur, je le reconnais, c’est un plaisir malsain, j’en ai eu honte d’ailleurs, en y repensant.“

    - “Oui, tu as eu honte, mais tu y as repensé avec plaisir encore, ensuite? En espérant que ça recommence?“

    - “Oui ma Sœur, je le reconnais.“

    - “C’est bien de le reconnaître, mais ça ne répare pas. Bon, péché de la chair, en action et en pensée. Tu le reconnais et tu t’en repens?“

    - “Oui ma Sœur, je le reconnais et je vous en demande pardon.“

    - “Le péché d’orgueil maintenant, as-tu commis le péché d’orgueil, mon enfant?“

    - “Je ne sais pas, ma Sœur, je ne pense pas, j’ai toujours été bien humble devant mes maîtresses.“

    - “Ah, tu étais simplement bien humble, ou entièrement humble?“

    - “J’essayais le plus souvent d’être la plus humble possible, ma Sœur.“

    - “Donc, péché d’orgueil chaque fois que tu ne touchais pas le fond de l’humilité. Mais dis-moi, mon enfant, quand tu étais vraiment la plus humble possible, quel effet ça te faisait? Tu étais contente?“

    - “Oui ma Sœur, j’étais bien contente d’avoir réussi à m’humilier.“

    - “Donc, tu étais fière de ça, péché d’orgueil, donc. Je vois que tu as de difficulté à bien dire ce qui se passe, nous allons passer au péché de mensonge. L’as-tu commis?“

    - “Oh, non, ma Sœur, je ne crois pas!“

    - “Chaque fois que tu dis que tu aimes la grand-mère et ta tante, tu le penses vraiment?“

    - “Oui ma Sœur, je les aime.“

    - “Et tu aimes ce qu’elles te font?“

    - “Ça dépend, ma Sœur, je le reconnais.“

    - “Quand tu es fessé, tu aimes ça?»

    - “Oui ma Sœur, j’aime recevoir la fessée.“

    - “Alors, pourquoi quand tu es fessée tu cries, tu pleures, tu supplie d’arrêter?“

    - “Parce que j’ai mal, ma Sœur.“

    - “Allons allons, tu as mal et tu aimes ça? Tu es un menteur, et tu commets le péché de mensonge. Passons au suivant, le péché de paresse. Quand tu travailles dans la maison, quand tu as lavé les torchons, frotté par terre, est-ce que tu l’as fait de tout ton cœur?“

    - “Je crois, ma Sœur, je ne sais pas…“

    - “Est-ce que tu préférerais ne rien faire? Est-ce que tu aimerais que le travail dure moins longtemps, est-ce que tu voudrais avoir vite fini?“

    - “Oui ma Sœur, bien sûr.“

    - “Péché de paresse alors. Bon, le péché de gourmandise, nous allons vite le voir. Tu as aimé ton bon petit déjeuner ce matin?“

    - “Oui ma Sœur.“

    - “Et à midi, les restes tous mélangés ensemble et passés au hachoir, les restes du repas de ta mamie et de ta tatie, tu as tout mangé?“

    - “Oui ma Sœur.“

    - “Pourtant, c’était moins bon, c’était cochon et sale et tu as mangé quand même?“

    - “Oui ma Sœur.“

    - “Eh bien voilà pour le péché de gourmandise. Pour le péché d’incontinence, pas la peine de t’interroger, tu as fait pipi hier quand tu étais suspendu, et caca ce matin dans tes langes, et là, je suis sûre que tu vas encore faire pipi.“

    - “Non ma Sœur, je jure que non.“

    - “Ne mens pas!“

    Elle attira ma tête vers elle, se pencha vers moi, et me fis “Psss, Psss, Psss“ à l’oreille, pendant que ma grand-mère, qui était restée à côté de moi tout le temps, faisait pareil dans l’autre. Devant cette double attaque, je perdis tout contrôle, et j’inondai mes langes, toujours agenouillé devant ma confesseuse.

     

    Elle lâcha la sangle qui me tenait le cou et m’enleva la partie du bonnet qui me bandait les yeux. Je la regardai humblement, elle avait un sourire triomphant, vicieux et satisfait. Elle pointa le doigt sur ce qui était brodé sur le tablier de confession, et je m’exécutai en disant, de la voix la plus contrite possible:

    - “De tous ces péchés, j’en demande humblement pardon, ma Sœur, et je vous supplie de m’infliger les pénitences que je mérite. Infligez-moi aussi toutes les pénitences que votre perversité vous plaira de choisir, pour que mon humiliation et ma souffrance vous fassent jouir.“

     

    Sœur Sévices se leva, me laissant à genoux, et posa devant moi, par terre, deux cuillères en bois à manches ronds que ma grand-mère lui avait tendus.

    - “Avance, agenouilles-toi dessus!“

    Ma grand-mère releva le bas de ma blouse, pour que je puisse m’agenouiller sur les manches des cuillères en bois. Ça faisait beaucoup plus mal que le carrelage de la cuisine. Elle passa le bas de la blouse dans la ceinture, pour que mes genoux soient toujours visibles.

    - “Bien“, dit ma tante, “ça fait mal, n’est-ce pas?“

    - “Oui ma Sœur, ça fait mal.“

    - “Eh bien, tu vas rester comme ça, à genoux, en pénitence, le temps de lire trois fois ce que je pose là. Et bien sûr, à haute voix, que nous entendions bien tout.“

    Et elle posa, sur la chaise, devant moi, deux feuilles de papier collées sur du carton. Je dus donc lire le texte qui portait le titre “Les litanies des bonne sœurs“.

     

    Bonne sœur Agate, faites que Mamie me fasse bouffer sa chatte

    Bonne sœur Alice, faites que Mamie me salisse

    Bonne sœur Béatrice, faites que Mamie me touche la saucisse

    Bonne sœur Benoite, faites que Mamie me doigte

    Bonne sœur Bérangère, faites que Mamie me fesse à la cuillère

    Bonne sœur Bertille, faites que Mamie me traite comme une fille

    Bonne sœur Besse, faites que Mamie me fesse

    Bonne sœur Bonne, faites que Mamie soit bien cochonne

    Bonne sœur Brigitte, faites que Mamie me branle la bite

    Bonne sœur Charlotte, faites que Mamie me fasse lécher sa crotte

    Bonne sœur Clarisse, faites que Mamie me laisse tremper dans ma pisse

    Bonne sœur Clémence, faites que Mamie me laisse sans défense

    Bonne sœur Constante, faites que Mamie me lavemente

    Bonne sœur Cunégonde, faites que Mamie me gronde

    Bonne sœur Denise, faites que Mamie me martyrise

    Bonne sœur Dévote, faites que Mamie me tripote

    Bonne sœur Edwige, faites que Mamie me fustige

    Bonne sœur Emmanuelle, faites que Mamie me donne sa morvelle

    Bonne sœur Estelle, faites que Mamie me flagelle

    Bonne sœur Eulalie, faites que Mamie m’humilie

    Bonne sœur Fanchon, faites que Mamie me fesse au torchon

    Bonne sœur Félicité, faites que Mamie me donne la tétée

    Bonne sœur Fleur, faites que Mamie me mette le cul en chou-fleur

    Bonne sœur Gauburge, faites que Mamie me donne une purge

    Bonne sœur Geneviève, faites que Mamie me traite comme une mauvaise élève

    Bonne sœur Georgette, faites que Mamie me fouette

    Bonne sœur Germaine, faites que Mamie me traite comme une vilaine

    Bonne sœur Gertrude, faites que Mamie soit bien rude

    Bonne sœur Grâce, faites que Mamie soit bien salace

    Bonne sœur Gracieuse, faites que Mamie soit bien vicieuse

    Bonne sœur Gudule, faites que Mamie me fesse à la spatule

    Bonne sœur Hélène, faites que Mamie me morigène

    Bonne sœur Irène, faites que Mamie me malmène

    Bonne sœur Isabelle, faites que Mamie me pète la rondelle

    Bonne sœur Jacinthe, faites que Mamie m’arrache des plaintes

    Bonne sœur Jacqueline, faites que Mamie me câline

    Bonne sœur Jeanne, faites que Mamie me donne la canne

    Bonne sœur Julie, faites que Mamie vienne dans mon lit

    Bonne sœur Ketty, faites que Mamie me frotte aux orties

    Bonne sœur Landrade, faites que Mamie me fasse des brimades

    Bonne sœur Larissa, faites que Mamie me passe la bouche à l’harissa

    Bonne sœur Laure, faites que Mamie me déshonore

    Bonne sœur Léonie, faites que qu’avec Mamie je sois toujours punie

    Bonne sœur Lise, faites que Mamie me ridiculise

    Bonne sœur Louise, faites que Mamie me tyrannise

    Bonne sœur Luce, faites que Mamie me suce

    Bonne sœur Lucette, faites que Mamie me fasse une branlette

    Bonne sœur Lydie, faites que Mamie me punisse avec perfidie

    Bonne sœur Madeleine, faites que Mamie m’invente de nouvelles peines

    Bonne sœur Marcelle, faites que Mamie soit bien cruelle

    Bonne sœur Marthe, faites que Mamie me donne des tartes

    Bonne sœur Michelle, faites que Mamie soit maternelle

    Bonne sœur Monika, faites que Mamie me laisse dans mon caca

    Bonne sœur Monique, faites que Mamie me fornique

    Bonne sœur Nadège, faites que Mamie me donne des bains de siège

    Bonne sœur Natacha, faites que Mamie me donne ses crachats

    Bonne sœur Odile, faites que Mamie m’enfile

    Bonne sœur Opportune, faites que Mamie me rougisse la lune

    Bonne sœur Oranne, faites que Mamie me tanne

    Bonne sœur Pénélope, faites que Mamie soit bien salope

    Bonne sœur Pétronille, faites que Mamie soit bien gentille

    Bonne sœur Raymonde, faites que Mamie me fasse des choses immondes

    Bonne sœur Rebecca, faites que Mamie me donne son caca

    Bonne sœur Renée, faites que Mamie me donne le martinet

    Bonne sœur Réparate, faites que Mamie me tâte

    Bonne sœur Restitute, faites que Mamie me traite comme une pute

    Bonne sœur Rita, faites que Mamie me touche la chipolata

    Bonne sœur Rose, faites que Mamie m’arrose

    Bonne sœur Simone, faites que Mamie me ramone

    Bonne sœur Solange, faites que Mamie me lange

    Bonne sœur Sylvie, faites que Mamie aie de sales envies

    Bonne sœur Thérèse, faites que Mamie me baise

    Bonne sœur Ursule faites que Mamie m’encule

    Bonne sœur Yolande, faites que Mamie me commande

    Bonne sœur Yvonne, faites que Mamie me bâillonne

     

    Mes tourmenteuses vaquaient à leurs occupations, mais, de temps en temps, passaient voir si j’étais toujours bien à genoux sur les cuillères de bois. La position était une vraie torture, je ne pouvais pas bouger, j’avais les mains en prière devant, le bois s’enfonçait dans mes genoux. De temps en temps, une de mes bourrelles me demandait de parler plus fort, ou d’articuler. Ma couche était lourde de pisse, que j’avais lâchée pendant ma confession. Les larmes de douleur et de honte me coulaient sur les joues. Pour une pénitence, c’était bien une pénitence, ah oui.

     

    Il me fallut, je crois une demi-heure pour lire trois fois ces ridicules litanies, donc chacune me faisait honte et m’enfonçait dans l’humiliation, mais qui, en même temps, me faisait bander et désirer que ma prière se réalise.

     

    Quand j’eus fini, ma tante et ma grand-mère me prirent chacune sous un bras et me relevèrent, et me prirent dans leurs bras:

    - “Tu es pardonnée, cochonne“, dit ma grand-mère.

    - “Pour aujourd’hui“, rajouta ma tante…

     

    à suivre…

     

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  • Commentaires

    1
    ginette
    Samedi 30 Octobre 2021 à 14:52

    premier commentaire  surprenant! car le texte est passionnant pour un dressage cest super et la confession une bonne idée.une bonniche devrait se con fesser chaque soir etre punie selon ce qu'elle merite cette histoire un bel exemple et les lltanies bien motivante a force de reptition elles seront recitées par coeur je pense parle la soumis e  a bient tot la suite 



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