• En famille pendant le confinement Épisode 11 Règle et discipline

    Un texte de votre servante, Marie-Souillon. J’ai attendu que le ciel redevienne bleu pour le publier.

     

    Épisode 11 Règle et discipline

     

     

    Quatrième jour, fin de matinée et début d’après-midi

     

    Une servante… Il ne manquait plus que ça, après un bébé…

     

    Ma tante m’enleva le tablier et le harnais, me fit enfiler une culotte de plastique rose avec un torchon usé plié dedans, me remit la robe vichy rose du matin, et me fit remettre par-dessus un tablier-taille de coton blanc, qui descendait aux genoux et revenait un peu derrière. Elle me laissa le torchon noué sur les cheveux, comme une bonniche. Décidément, j’étais leur poupée.

    Elles s’assirent toutes les deux sur des chaises, me laissant devant elles, debout. Pour me donner une contenance, je mis les mains dans le dos, ce qui leur plut, je crois.

    - “Nous avons mis au point, ta tante et moi“, dit ma grand-mère, “quelques règles de vie en commun, puisque nous sommes confinées ici. Tu as intérêt à t’en souvenir et à les respecter, compris?“

    - “Oui, mamie chérie, j’ai compris.“

     

    Et elles m’exposèrent les règles qu’elles avaient écrites sur un tableau noir, le genre qui sert aux menus de restaurants, il était, d’ailleurs, décoré d’une accorte serveuse en tablier. Elles l’avaient posé sur une troisième chaise, et je dus le lire devant elles.

    - “La cochonne doit parler d’elle au féminin. Elle n’a pas le droit de parler la première, elle appelle sa grand-mère “Mamie chérie“ et sa tante “Tatie chérie“ ou “Ma Sœur“, selon le cas. Si elle veut parler, elle embrasse la blouse de Mamie ou Tatie pour y être autorisée.

    - “La cochonne est habillée selon la fantaisie de Mamie et Tatie, comme une poupée. Elle est toujours langée en culotte de plastique ou de caoutchouc. Elle est bâillonnée ou attachée selon la fantaisie de Mamie et Tatie.

    - “La cochonne va sur le pot, une fois le matin et une fois le soir, pour un quart d’heure. Si elle ne fait pas ses besoins et salit sa couche, elle est punie.

    - “La cochonne dort attachée dans le lit de la cuisine. Dans la journée, elle aide Mamie et Tatie aux travaux ménagers.

    - “La cochonne est fessée régulièrement matin, midi et soir, et chaque fois qu’elle le mérite ou que Mamie et Tatie en ont envie. Elle subit toutes les punitions et pénitences que Mamie et Tatie décident.

    - “La cochonne mange aux heures des repas, mais selon la fantaisie de Mamie et Tatie, ce qu’elles désirent et comme elles le désirent.

    - “La cochonne se confesse à Sœur Sévices tous les soirs et fait pénitence de ses péchés.“

     

    Pendant que ma tante allait accrocher le tableau au mur, ma grand-mère me dit:

    - “Bien sûr, ce n’est qu’un début. Ta tante et moi avons écrit tout ça sur l’ordinateur, nous pourrons toujours compléter et écrire autre chose sur le tableau. Tu nous obéiras toujours, de toute façon.“

    - “Oui Mamie“, dis-je humblement.“

    - “Nous allons considérer que tu as déjà reçu ta fessée du matin, tu vas nous aider à préparer le repas, ça va être l’heure de manger…“

    Ma tante avait enlevé sa tenue de Sœur Sévices pour mettre une simple blouse comme celle de ma grand-mère. Je comprenais que cette tenue était destinée aux fessées. J’aidais les deux femmes, comme une troisième ménagère, mais leurs tenues étaient strictes, blouses bleues simplement, torchon noué en fichu, et la mienne ridicule, robe, torchon sur les cheveux et tablier blanc. Elles cuisinèrent et je dus mettre le couvert pour deux simplement. Comment allai-je manger? Je reprenais des forces, et l’appétit me revenait.

    Elles s’assirent à table, et je dus les servir, debout, attendant, mains derrière le dos, entre le service. Elles m’avaient mis un bâillon-boule avec une sangle de caoutchouc, qui ne me faisait pas mal, mais m’infligeait une humiliante gène. Je leur servis le plat, une daube avec des pâtes, dans leurs assiettes, largement, sur leur demande, et de l’eau gazeuse dans les verres. Je les regardais manger, elles bavardaient de tout et de rien, en français, en regardant de loin la télévision allemande, commentant parfois, en allemand, ce qu’il s’y disait. Elles ne finirent pas leurs assiettes, et je servis le fromage dans des petites assiettes, avec du pain grillé, puis le dessert, une compote de pommes. J’avais faim.

     

    Après le dessert, elles ne me demandèrent pas de desservir ni de faire la vaisselle, seulement de leur servir le café.

    - “Va chercher la chaise de punition, cochonne, et viens la mettre là“, dit ma grand-mère.

    J’obéis, j’allais cherche la chaise, toujours recouverte du paillasson de plastique, avec le godemichet gonflable.

    - “Trousse ta robe, enlève ta culotte, cochonne, met un peu de vaseline et assieds-toi.“

    Elle me tendit le tube de vaseline qu’elle avait dans la poche de sa blouse. Je dus trousser ma robe et mon tablier, enlever ma culotte et le torchon qui la garnissait, les poser sur la table, laisser retomber ma robe, et je m’agenouillais devant la chaise pour enduire de vaseline le godemichet rose. Puis, toujours à genoux, je rendis le tube à ma grand-mère. Pendant ce temps, ma tante et elle avaient enfilé sur la blouse leur grand tablier de caoutchouc.

    - “Tu as entendu Mamie“, dit ma tante, “allez, retrousse-toi et encule-toi, cochonne!“

    Elles prenaient soin, à chaque phrase, d’y mettre le mot “cochonne“, pour me rabaisser. Je me troussais et je m’assis sur le godemichet, qui me rentra doucement dans la rondelle, sans me faire mal, puis je posais mes fesses, encore un peu douloureuses, sur le paillasson. Je sentis tout de suite les poils de plastique titiller ma peau sensible; il fallait que je fasse attention de ne pas bouger.

    Une fois assis, la robe tassée, derrière, contre le dossier et baissée, devant sur mes cuisses et mes jambes, le tablier par-dessus, ma tante m’attacha chevilles et poignets, comme la veille, avec des torchons. Puis, elle gonfla le godemichet, et je sentis mon rectum se remplir, me procurant, en même temps que de la gêne, un début de plaisir infâme.

     

    Pendant ce temps, ma grand-mère revenait vers la grande table de cuisine. Elle portait un grand hachoir de ménage, à main, qu’elle fixa sur le bord de la table avec une sorte de serre-joint. Il devait être en acier ou en aluminium, avec un grand entonnoir sur le dessus, et une manivelle à poignée de bois. Je le voyais de profil. Elle posa sous la grille du hachoir une grande assiette creuse.

    - “Tu vois, cochonne, tu as accepté de manger selon la fantaisie de Mamie et Tatie, ce que nous voulons et comme nous le voulons. Aujourd’hui nous sommes gentilles, tes intestins sont libérés, pas besoin de te donner de la bouillie de légume, tu vas manger après-nous, mais comme nous.“

    - “Mais“, continua ma tante, en riant, “tu vas le manger en désordre.“

    Ma grand-mère prit son assiette, qui contenait ce que je lui avais servi et qu’elle avait laissé et, avec une cuillère en bois, elle le versa dans l’entonnoir. Elle y mit ensuite le reste de son fromage, puis y fit couler de la compote de pomme. Elle recommença avec les assiettes de ma tante.“

    - “Et maintenant, cochonne“, dit-elle, “je vais tout bien hacher pour que tu n’aies même pas à mâcher.“

    Et, elle tourna la manivelle. Je voyais sortir une pâtée informe qui tombait dans l’assiette, et ma grand-mère, avec une cuillère en bois, l’empêchait de tomber à côté. Et il allait falloir que je mange ça!

    Pendant que ma grand-mère mélangeait soigneusement les restes de leurs repas, ma tante revenait avec un drôle de récipient, une sorte de broc en plastique rose, orné d’une tête de vache, avec une large poignée derrière et, devant, en bas, une sorte de tube horizontal, plus gros qu’un doigt.

    - “Ah, cochonne, tu te demandes ce que c’est?“ dit ma grand-mère. “J’ai trouvé ça sur le catalogue d’outils agricoles où j’achète les choses pour mon jardin. C’est un seau à tétine pour nourrir les veaux. Tu vois, on l’accroche, on peut mettre plusieurs litres dedans, le veau tête comme si c’était sa mère.“

    Pendant qu’elle m’expliquait ça, ma tante me faisait la démonstration, puis elle versa dedans le contenu d’une grande bouteille d’eau gazéifiée faite maison.

     

    Elle tenait le seau à tétine à deux mains, devant moi, et me le présenta devant la bouche pendant que ma grand-mère m’enlevait le bâillon.

    - “Tu vas tout boire, cochonne“, dit ma grand-mère, “je veux que tu boives beaucoup, et cette eau gazeuse va te ballonner et te faire roter, ce sera très bien.“

    Ma tante me mit la tétine en bouche, et je dus téter l’eau gazeuse, comme un biberon, mais plus gros et plus humiliant, dans ce seau rose. J’arrivais assez facilement à téter, de toute façon, j’aimais leur obéir. Ma tante surveillait le niveau de la boisson, elle me retira la tétine et s’assit à côté de moi. Ma grand-mère, pendant ce temps, était allé prendre sur le séchoir deux des torchons que j’avais lavé le matin, et qui étaient encore humides.

    - “Ce sont tes torchons, cochonne“, me dit-elle, “ils sont encore humides et un peu sales parce que tu les as mal lavés, mais ce n’est pas grave.“

    Elle m’en noua un comme un bavoir, posa l’autre sur mes genoux, pris l’assiette de pâtée dans laquelle elle avait rajoutée une deuxième cuillère en bois.

    Attaché sur la chaise, le cul rempli par le godemichet, le paillasson de plastique torturant mes fesses, je dus manger la pâtée que mes bourrelles me mettaient dans la bouche, comme un bébé, avec des mots humiliants. “Une cuillerée pour Mamie, cochonne“, “Allez, cochonne, une cuillerée pour tatie». La pâtée n’était pas mauvaise, ma grand-mère ne cuisinait que de bonnes choses, mais le tout mélangé… Le pire était l’humiliation de devoir manger leurs restes, sous forme de cette bouillie que, de plus, ma grand-mère avait haché devant moi, pour que je vois bien ce que j’allai manger.

    De temps en temps, ma grand-mère arrêtait de me mettre la cuillère de bois dans la bouche, et ma tante me tendait le seau à tétine:

    - “Suce bien, cochonne, tête comme un petit veau, il faut que tu te remplisses bien.“

    Et je dus tout boire et tout manger, le cul sur le paillasson et pénétré par le godemichet gonflé dans mon rectum.

    - “Voilà“, dit ma grand-mère, “tu vois bien que manger nos restes c’est bien bon pour une cochonne. Peut-être la prochaine fois, je te laisserai les hacher toi-même“.

    Puis ma grand-mère m’essuya la bouche avec le torchon bavoir

     

    Ma tante, pendant ce temps, remettait sa tenue de religieuse, sans se gêner, enlevant sa blouse, sans ostentation, mais sans pudeur, me montrant son corps grand et lourd, mais encore attirant, sans culotte ni soutien-gorge. Elle mit sa robe bleu foncé, sa grande coiffe, le tablier de caoutchouc par-dessus. Sœur Sévices était prête.

    Ma grand-mère m’avait passée le harnais par-dessus ma robe, et ma tante vint me détacher de la chaise, et je puis me relever, délicatement, le plug avait été dégonflé, mais je le sentais sortir au passage, comme je sentais la sensation du paillasson sur mes fesses, douloureuse quand j’étais assis, douloureuse aussi, différemment, quand je me relevais.

    Comme le matin, elle m’attacha par le harnais au crochet du palan, me mit les mains au-dessus de la tête et, avec la commande, me hissa jusqu’au plafond. Une fois mes chevilles assez hautes, elle leur fixa la barre d’écartement, avec les sangles de caoutchouc, m’écartant d’environ trente centimètres. Elle me redescendit, s’assura que ma robe, bien troussée, lui offrait toute la surface libre pour la correction, puis elle retroussa mon tablier-taille, le faisant tenir dans le harnais, pour quelle voie toujours bien ma quéquette. J’avais l’impression d’être une carcasse de viande. Enfin, elle me souleva au-dessus du sol, prit le strap du matin, et commença à me frapper avec.

    Je commençais à m’habituer, enfin, non , pas à m’habituer, mais à connaître la douleur. Elle frappait les fesses, les cuisses et les mollets, qui, bien écartés, pouvaient être enveloppés, presque, par le strap. Elle prenait bien garde, par contre, plus haut, à ne pas m’atteindre devant. Elle était sévère et vicieuse, mais elle ne voulait pas me torturer vraiment; surtout que, par moment, je bandais un peu, puis sous la douleur je débandais, puis je rebandais encore, de honte et de plaisir infâme. Comme je n’étais pas bâillonné, je pouvais crier et gémir, pleurnicher, et cela l’amusait beaucoup. Et ça ne gênait pas ma grand-mère, qui avait repris sa couture, et regardait distraitement.

    Comme un coup m’avait fait me balancer, le jeu lui plut. De la main, elle me poussait, me faisait balancer dans un sens ou dans l’autre, et le strap me cueillait à l’aller ou au retour. Elle frappait avec une cadence lente, deux ou trois coups par minute, prenait son temps, variait l’emplacement et la force, comme si elle s’entraînait, répétait un numéro, enrichissait sa technique.

     

    Je ne sais pas combien cela a duré, mais j’étais en larmes, rouge de honte plus que de douleur, je veux dire que je devais avoir le visage aussi rouge que les fesses.

    Elle me remonta pour détacher la barre, me descendit, et je m’affalais sur le sol, mais elle me remonta juste pour que je me mette à genoux, et me détacha. Ma ridicule robe vichy rose retomba sur mes fesses, elle m’enleva le harnais, et mon tablier blanc reprit sa place.

    - “Voilà, la cochonne a reçu sa fessée de l’après-midi“, dit ma tante. “Je vais vous laisser pour aller travailler un peu, appelle-moi si la cochonne n’est pas gentille.“

    - “Colette, elle sera gentille, j’en suis sûre, elle va se rendre utile, elle va faire un peu de ménage“.

    De cochonne fessée, je revenais à servante. J’allais me relever pour obéir, avec la servilité qui me servait de règle de comportement, mais ma grand-mère me dit:

    - “Pas la peine de te relever, cochonne.“

    Ma grand-mère remplit une cuvette d’eau chaude et de savon noir dans laquelle trempait une wassingue.

    - “Tu vas frotter à genoux, tout le carrelage de la cuisine. Si tu as mal aux genoux, tu as le droit de te mettre à quatre pattes. Commence par le coin!“

    Elle me jeta une paire de gants de ménage roses, que j’enfilais. Je dus pousser la cuvette dans le coin, et commencer à frotter, à reculons. Ma grand-mère avait rempli une autre cuvette pour le rinçage, et donc je frottais le sol, déplaçant les deux cuvettes, trempant la wassingue, frottant, rinçant la wassingue, retrempant, re-frottant. Tout ça, bien sûr, à genoux ou à quatre pattes. Sans qu’il soit besoin de me le demander, quand je me penchais, ou que je me mettais à quatre pattes, je tortillais du cul pour amuser mes bourrelles et gagner un peu de gentillesse de leur part. Mais ma tante était partie je ne sais où, et je restais seule avec ma grand-mère, ce qui était un soulagement, elle était moins sévère que ma tante.

    Je fis la pièce sans me presser, parfois une ou l’autre marchait là où j’avais déjà nettoyé, par vice ou par obligation, je ne disais rien, je recommençais. Déjà, je n’étais pas fessée, je n’avais pas de bâillon, c’était presque le bonheur.

    - “Finis à quatre pattes“, dit ma grand-mère.

    Je m’exécutais, et elle souleva ma robe pour mettre mon cul à l’air. Le tissu ne frottait plus dessus, j’étais déjà mieux. Est-ce qu’elle allait en profiter pour me frapper encore? Mais non, elle se contenta de me caresser, ce qui me fit frissonner, mais ce n’était pas désagréable.

    Au bout d’une demi-heure de travail, j’avais fini. Mais je ne me relevais pas, je pense qu’elle attendait cette faute. Je restais agenouillé, retenant ma robe, de mes mains, sur mon cul nu. Cette attitude dut lui plaire. Ma grand-mère me dit avec un grand sourire:

    - “C’est bien, cochonne, tu peux relever, tout rincer dans l’évier, et aller t’asseoir sur le canapé.“

    J’obéis, je rinçais les cuvettes, la wassingue, que j’essorai et mit à sécher. Après avoir fini, je revins vers ma grand-mère et, après m’être agenouillé, je lui embrassais la main.

    - “Relève-toi, cochonne; je vais te langer, j’ai assez vu ton cu-cul pour aujourd’hui.“

    Elle me prit dans ses bras, me fit un câlin, m’embrassa dans le cou, et me prit par la main pour me mener vers mon lit. Là, je dus me coucher, relever mes jambes, et attendre, dans cette position humiliante, qu’elle revienne avec les torchons que j’avais lavés et une grande culotte de caoutchouc, rouge cette fois, et sans les ridicules volants de la rose que j’avais déjà porté. Après avoir mis ma quéquette bien droite sur mon ventre, elle me langea dans les torchons encore humides, et m’enferma dans la culotte de lourd caoutchouc.

    Puis, avec un dernier bisou, elle m’envoya m’asseoir sur le canapé moelleux qui était doux à mes fesses meurtries.

     

    à suivre…

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  • Commentaires

    1
    ginette
    Samedi 23 Octobre 2021 à 10:32

    bonne discipline et apprendrer a servir en tablier blanc devenir la servante de ces Dames est un privilége que va  apprecier j espere la soumise



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