Bonsoir, 

Les mamans sont les reines inconditionnelles de la fessée, quelque soit le lieu. Et comme dirait une certains tante Gladys, bien connue, les surfaces carrelées amplifient le claquement des fessées et les rendent plus impressionnante ! Hi hi hi hi !! Et en photo 2, la très célèbre Barbara O'toole  qui excelle dans la fessée féminine et intra-familia. La fessées domestique serait-elle exclusivement l'affaire des femmes ? Ben... Vous avez trois heures : thèse, anti-thèse et conclusion ! 

Peter.

Bonjour Peter,

Tu as raison, mon père n'a jamais porté la main sur nous, par contre ma mère l'a fait pour deux, peut-être que mon fétichisme vient de là, car, elle était toujours en blouse nylon.

Bon après-midi.

Paul.

• • PeterPan

    Vendredi 24 Mars 2023 à 15:50

    Bonjour Paul, 

    Nous avons presque  le même "point commun" fétichiste. J'étais jeune ado, au Collège, et ma mère, ce mercredi-là, après le repassage, entra dans ma chambre pour me donner mes affaires et elle me surprit en train de feuilleter les pages lingerie de ces catalogues de VPC bien connus du grand public style Le Redoute et alt. Et là, elle me gronda sévèrement et me fessa courbé sous son bras une bonne dizaine de fois ! Le point commun est que ma mère portait à ce moment-là précisément sa jupe plissée écossaise bleu et blanche et sa veste en laine et aussi ses lunettes car elle souffrait de presbytie, à l'époque. Et ces détails vestimentaires, anodins au départ, influença ensuite ma vision de la fessée autoritaire donnée par des femmes sévères. D'où leurs présences dans certaines de mes saynètes, présentées ici (merci Marie).Oui, les fétichismes prennent la plupart du temps racine dans cette période charnière dans notre existence qu'est l'adolescence qui construit notre future vie d'homme. Je voulais le préciser.

    Peter.

  • Paul Lyamide

    Vendredi 24 Mars 2023 à 16:21
    

    Bonjour Peter,

    Les petits derniers étaient souvent chouchoutés et on leur passait tout alors que les aînés devaient montrer l'exemple, j'ai, j'ai eu la chance, alors que je suis l'aîné, d'être en partie élevé par une tante et une grand-mère qui n'ont jamais levé la main sur moi, après, j'avais  13 ans et ma mère n'a pas pu me reprendre en main, au contraire, c'est moi qui ai dévergondé mes frères et sœurs.

    Bon après-midi.

    Paul.

Moi la fessée je l’ai souvent reçue. Il faut dire que j’étais un gamin insupportable et insolent. A la maison le martinet était suspendu dans l’entrée et il servait. 

Pascal 

• • PeterPan

    Vendredi 24 Mars 2023 à 14:27

    Bonjour Pascal, 

    Visiblement, nous faisons tous partie de cette génération qui a grandi à l'ombre, non pas des "jeunes filles en fleurs", mais du martinet ! Dernier d'une fratrie de trois, avec une soeur ainée, j'ai échappé au martinet, au contraire de mon frère qui    l'a reçu, sans excès, je précise, car très turbulent comme on disait il y a 50 ans en arrière. Il restait pendu derrière la porte vitrée de la cuisine, entre le tablier de cuisine de ma mère et l'Almanach des Postes et faisait une sortie remarquée selon la colère de Maman. .

    Peter

  • Paul Lyamide

    Vendredi 24 Mars 2023 à 16:10
    

    Bonjour Peter,

    Oui, ce que l'on a subi pendant notre enfance a influencé grandement notre vie actuelle, l'être humain, naissant vierge de toutes connaissances, il enregistre au fur et à mesure, d'où certains qui ont eu une enfance malheureuse et qui sont devenus des sérial killers. Heureusement, on a échappé à cela, mais ceux qui aiment le martinet ou les fessées sur ce site ont sans doute été influencés par cela, d'où l'interdiction des châtiments corporels pour les enfants maintenant et peut-être même le non-port de la blouse à l'école pour éviter les fétichismes.

    Bon après-midi.

    Paul.

  • Pascal

    Vendredi 24 Mars 2023 à 16:13

    Oui la fessée récompensait mes écarts et mes nombreuses bêtises . Elle sanctionnait aussi un carnet de notes faisant état de paresse ou de mauvaise conduite. Je m’en souvenait mais mon naturel reprenait vite le dessus. Ces fessées étaient toujours méritées. Ensuite je suis devenu fétichiste de la fessée et du martinet. 

Rebonjour Paul, 

en tant que "petit dernier", j'étais un garçon, très calme, plutôt rêveur dans mon coin, assez bon en classe malgré mes longues absences dans l'année,  et donc assez rarement fessé par Maman. Sauf ce jour-là précisément. Mais sa "colère" était motivé non par le fait d'avoir "bravé cet interdit maternel" (?), mais plutôt en raison de mes problèmes respiratoires chroniques  en cas de "plaisir solitaires" excessifs ! Comme je l'appris plus tard. Donc, je comprends son geste de maman hyper-protectrice et terriblement angoissée. Une maman reste toujours une maman.

Peter. 

Rebonjour Paul, 

Tu a été au final, un grand coquin, si je puis dire, avec respect. Décidément, nos mamans restent nos "influences" pour reprendre un terme actuel. Elles marquent durablement notre existence. en est-il de même pour nos soeurs ? Mystère... Pour tout dire, mon intérêt pour la fessée et austres mamans sévères a démarré dès l'époque du Collège vers fin années 1970/début 1980. Peut-être même un peu avant, avec les albums des Katzenjammer kids. L'âme humaine est si complexe...

Peter.  

• • Paul Lyamide

    Vendredi 24 Mars 2023 à 23:19
    

    Bonsoir Peter,

    Bizarrement, je suis devenu fétichiste des blouses à partir du moment ou je n'ai plus été obligé d'en porter.

    Bonne nuit.

    Paul.