• Une petite fille modèle

    Ceci est un texte original de votre servante Marie-Souillon.



    Le retour de maîtresse


    Ma maîtresse rentre à la maison après avoir fait les commissions. Je l'attends bien sagement, à genoux face au mur. J'ai mis une de ses culottes sales, une blouse rose, et par dessus un tablier blanc, avec une bavette. J'ai des socques aux pieds, et un torchon noué sur la tête. Notre grande cuisine est prête pour la soirée qui nous attend. J'ai fermé les volets, allumé le chauffage. J'ai mis sur le carrelage, près du radiateur, un matelas de mousse, recouvert de toile cirée; j'ai aussi apporté la grande glace sur pied, pour nous voir. J'ai sorti du réfrigérateur la nourriture de ce soir, étalé nos tabliers sur un meuble, et maintenant je tremble d'impatience.

    Je l'entends qui pose les paquets sur la table, mais je ne me retourne pas. Elle va se laver les mains; j'entends le robinet de l'évier. Puis, un bruit de tissu m'indique qu'elle est en train de se changer.

    Elle revient et m'appelle près d'elle; sans me lever, je me retourne. Elle a mis une robe-tablier vichy rose, et un tablier rouge par dessus. Elle a une coiffe sur la tête, mais elle a gardé au pieds ses chaussures. Je comprends ce qu'elle désire, et je vais vite chercher ses socques. Je m'agenouille à ses pieds, et la déchausse. Je pose son pied droit sur un torchon propre, et je pose mes lèvres sur l'autre. Il sent la sueur, il est mouillé… Je l'embrasse, puis je le lèche, en respirant cette bonne odeur de pieds. Je passe la langue entre les doigts, là où c'est bien humide. Je fais pareil avec l'autre pied, je me couche par terre sur le dos pour bien lécher les plantes des pieds. Ma maîtresse me les pose sur le visage, me caresse avec, me les promène sur le corps. Toujours avec le pied, elle soulève mon tablier et ma blouse, baisse ma culotte sur mes cuisses. Elle prend ma saucisse entre les pieds et la frotte, la caresse, la branlote, me mettant ainsi au comble de l'excitation.

    Puis elle me donne l'ordre de défaire les paquets. Elle a acheté du roquefort très fait, qui sent, des mètres de boudin noir et de saucisse de Toulouse, et d'autres choses à manger. Je pose le tout sur des torchons étalés sur la table, pendant qu'elle me tripote le cul et me soulève la blouse. Puis elle me dit :

    - "Ça suffit maintenant, Charlotte, passons aux choses sérieuses! D'abord, je vais t'entraver."

    Elle prend un lien en toile, et m'attache les pieds ensemble, en me laissant du mou pour marcher à petits pas. Pendant qu'elle est accroupie à côté de moi, j'en profite pour lui caresser les nichons sous la robe. Ils sont gros, un peu tombants, si doux et si chauds. Je les enveloppe dans mes mains, passe les doigts dessous, caresse les tétons. Elle se laisse faire un moment, puis se fâche, se lève et me donne une torgnole.

    - "Salope, dit-elle, je vais te fesser !"

    Elle s'asseoit sur une chaise; je me mets à côté d'elle, et je me couche en travers de ses genoux, les mains dans le dos. Elle les attache avec les liens de mon tablier, puis retrousse lentement ma blouse. Une claque, puis d'autres, tombent sur mon cul. Couchée, attachée, renversée, je tortille un petit peu les miches, et lui demande pardon. Mais mon humilité l'excite : elle baisse ma culotte, me palpe les fesses, glisse la main entre mes cuisses et me caresse un peu le boudin, et recommence à me fesser, en cadence. Un coup sur une fesse, un coup sur une autre, en laissant reposer un peu la main à chaque fois. Ça me cuit un peu, c'est chaud. Elle frappe plus fort, je gémis et je pleurniche.

    - "Pardon maîtresse, s'il te plaît, je ne le ferais plus."

    Ma prière semble la satisfaire; la cadence des coups ralentit peu à peu. Puis elle laisse sa main sur mon cul, caresse les miches, remonte ma culotte.

    - "A genoux, bonniche !"

    Je me mets à genoux devant elle, les mains toujours attachées dans le dos. J'embrasse sa main et son tablier. Elle me montre le mur. Toujours à genoux, je vais au piquet. J'y resterai jusqu'à ce qu'elle ait besoin de moi…

     

    Ma maîtresse me fait manger

    - "Souillon, apporte-moi le tablier-taille en toile bleue, connasse!"

    Je me lève et je vais le chercher, en marchant à petits pas ridicules à cause des entraves. Je le prends avec la bouche (j'ai les mains liées) et lui présente à genoux. Elle me fait embrasser le tablier et le met, en nouant le lien par devant. Je sais, quand elle met ce genre de tablier, qu'elle va me faire des cochonneries. Elle m'enlève mon petit tablier de soubrette pour me mettre un tablier chasuble bleu à pois blancs, en me laissant les mains attachées. Puis elle s'assoit, prend un torchon sale et, après m'avoir fait agenouiller devant elle, me le noue autour du cou comme un bavoir. Dans un saladier, elle m'a fait de la bouillie avec du fromage blanc, de la crème de marron, je ne sais quoi encore. Elle crache dedans, y met bien de la bave, et le remue avec une cuillère en bois. Puis elle met le saladier sur ses genoux et me fait manger avec la cuillère, comme un bébé. Elle prend du plaisir à me le fourrer dans la bouche, à le faire couler sur mon bavoir, à m'en mettre un peu sur le nez. Moi-même, je fais le vilain bébé, je détourne la tête ou je refuse d'ouvrir la bouche quand elle me présente la cuillère, et la bouillie tombe souvent sur mon bavoir.

    - "Cochonne, tu ne mérites pas que je te fasse manger !"

    Elle vide le saladier dans un torchon, le met sur ses genoux, et je dois manger en léchant dans le torchon. Sa main appuie sur ma nuque et me plonge la figure dedans. La bouillie me rentre dans le nez; ma maîtresse a passé son autre main sous le torchon, et elle le remue pour bien l'appliquer sur tout mon visage. Je continue à lécher humblement. Elle mets le torchon par terre; je dois me coucher à plat ventre pour continuer à laper, pendant qu'elle mets les pieds dedans, et me fait manger sur eux, entre les doigts, partout.

     

    Ma maîtresse me pisse dessus

    - "Tu es sale, attends, je vais te nettoyer".

    Elle détache mes mains pour les rattacher devant, me retourne sur le dos, le torchon reste collé sur mon visage, je ne vois rien. Elle en profite pour relever mes jambes en l'air et me donner quelques claques sur les fesses. Quelques secondes après je la sens glisser un plat peu profond sous ma tête. Elle m'enlève le torchon de la figure, et s'accroupit sur moi. Je vois sa pachole poilue et rose, son petit trou du cul entre ses grosses fesses. Elle commence à pisser. Le jet chaud m'arrose le visage, la pisse me coule dans les narines, j'ouvre la bouche pour la boire, le reste me coule dessus, heureusement le plat est là pour la recueillir. C'est chaud, salé, c'est délicieux… Quand elle a fini, elle se lève, enlève le plat de sous ma nuque, y trempe un torchon et, avec, m'essuie le reste de manger sur mon visage. Elle est assise sur mon ventre, ses gestes sont doux et maternels, elle me sourit. Quand je suis propre, elle presse le torchon dans ma bouche pour me faire boire la pisse dont il est imprégné, et me bâillonne avec. Elle soulève son cul, retrousse mon tablier, baisse ma culotte, assoit sa mounine humide sur ma saucisse, et se tortille dessus, en m'écrasant de son poids délicieux. Elle écarte sa robe-tablier et sort ses nichons, qu’elle prend dans ses mains pour les caresser. Elle se lève et s’asseoit sur mon boudin, de plus en plus vite. Elle me gifle, et nous jouissons en même temps.

     

    Ma maîtresse me fesse à genoux

    Après un long moment qu'elle a passé couchée sur moi, ma maîtresse enlève mon bâillon et pose son cul sur mon visage; je commence à lécher sa pachole dégoulinante. Elle lâche un petit pet, qui embaume dans l'air confiné sous son tablier. Je continue à lécher, à sucer, jusqu'à ce qu'elle jouisse à nouveau, pendant que ses miches se tortillent sur moi. Elle se lève alors, et me détache les mains.

    - "Déshabille-toi, et va te mettre à genoux face à la glace ! "

    J'obéis, et m'agenouille sur une règle en plastique qu'elle a posée par terre; ça fait mal, et je dois souvent remuer un peu. Elle me fait mettre les mains sur la tête, et revient avec les saucisses et le boudin qu'elle a acheté. Elle m'entoure le cou d'un boudin dont elle met le bout dans ma bouche; elle baisse le haut de mon tablier et m'enroule la saucisse autour du corps. Je me vois dans la glace; comme je suis ridicule ! Je rougis de honte. Elle se tient derrière moi, le martinet à la main, et commence à m'en cingler les fesses et les cuisses. Je la vois dans le miroir, comme elle est belle dans son tablier ! Elle ne me fait pas très mal, mais quelle humiliation ! Toujours sous les coups de martinet, je dois me mettre à quatre pattes, me prosterner, me remettre à genoux, à la cadence des cinglades. Les saucisses et le boudin dont je suis décorée ballottent. A genoux, à quatre pattes, prosternée le cul en l'air, et toujours les genoux sur la règle, et les mains sur la tête quand je ne suis pas appuyée dessus. De temps en temps, ma fesseuse arrête de frapper. Elle me fait embrasser sa main, son tablier, son cul, ou se frotte contre ma figure, puis recommence à fesser. Enfin, elle arrête la punition et m'enlève la charcuterie qu'elle pose dans un torchon. Avec un torchon, elle me bande les yeux, et je reste comme ça.

     

    Ma maîtresse me donne un lavement

    Je reste agenouillée, pendant que ma punisseuse s'active. Quand elle a fini, elle enlève mon bandeau et me fait un signe; je me lève et masse mes genoux endoloris. Ma maîtresse me fait déshabiller et mettre une robe-tablier et un tablier bavette par dessus. Je la suis devant l'évier, où elle a fait une casserole de bouillon gras.

    - "Allez, idiote, nous allons nous en servir. Mets le là-dedans !"

    Elle me montre le broc à lavements, et j'y verse le bouillon. Puis, sur son ordre, je lève ma culotte et je vais me coucher sur la toile cirée. Elle m'attache les mains par devant, et retrousse mes tabliers. Elle s'assoit à côté de moi, m'écarte largement les cuisses, pose un coussin sous mes reins pour me relever le cul. Puis elle prend une grosse canule à lavement, et l'enduit de beurre avec le doigt. Elle me beurre également le trou du cul, et y met son index. Il est bien gras, elle le fait tourner dans mon cul, je le sens qui tripote la merde dedans. Elle le ressort, se l'essuie sur mon nez, puis me rentre doucement, tendrement, la canule dans le cul. Elle la branche sur le broc, et je sens le bouillon gras qui lentement me remplit les tripes. Il est tiède, c'est délicieux de le sentir entrer en moi. Pendant ce temps, elle me tripote la saucisse, me caresse, me branlote.

    - "Ça te plaît, hein, salope ?"

    - "Oui, maîtresse, j'aime tout ce que tu me fais."

    Quand le lavement est rentré, elle sort doucement la canule, et je dois serrer le trou du cul pour empêcher le bouillon de sortir. Ma maîtresse me retourne comme une crêpe, et commence à me fesser. Les claques pleuvent sur mes jambons, que je dois serrer pour garder le bouillon à l'intérieur. D'un coup, elle me retourne sur le dos, me soulève les cuisses et commence à me langer avec des vieux torchons. Elle les place comme une couche, et me met par dessus une culotte en plastique. Ainsi enveloppée, je dois me lever et, une fois les mains détachées, continuer mon service. J'ai une démarche ridicule, avec mon gros cul sous les tabliers, et mes petits pas, freinés par l'entrave et par mes fesses serrées. Le bouillon gras a envie de s'échapper, et je force pour le retenir. Ma maîtresse me fait aller et venir, chercher ceci, faire cela, pimente ses ordres de quelques cinglades au martinet sur mes mollets. Je ne tiendrai pas longtemps…

     

    Ma maîtresse cuisine

    Ma maîtresse me garde à la cuisine, où je vais l'aider à préparer le repas du soir. Je lui sers d'ordinaire de fille de cuisine, et quand elle doit s'essuyer les mains, je m'agenouille et elle les essuie sur ma figure, puis je les lèche. Pendant qu'elle cuisine, son martinet est passé à la ceinture de son tablier, prompt à me rappeler, d'un léger coup sur le cul, à l'obéissance.

    Ce soir, elle fait une tarte à l'oignon, et je dois les éplucher. Je les mets au fur et à mesure dans un torchon sur la table, et bientôt les yeux me piquent et je commence à pleurer. Ma cruelle maîtresse prend plaisir à me voir comme ça; elle m'essuie de temps en temps les yeux avec un torchon mouillé d'eau fraîche, mais je dois aller jusqu'au bout. Puis elle me fait allonger sur la table de la cuisine, sur le dos, la robe et le tablier retroussés jusqu'à la poitrine. Mes mains et mes pieds sont attachés aux pieds de la table avec des torchons. Elle verse un peu de farine sur mon ventre, et commence à y pétrir la pâte. Qu'elle est belle, les mains dans la farine. Elle m'écrase avec le rouleau à pâtisserie, me renverse les coquilles d'œufs vides sur le visage, et finit par me donner un petit reste de pâte à manger.

     

    Ma maîtresse me torche

    Mais le lavement fait son effet, et je sens mon trou du cul qui se dilate.

    - "Maîtresse, caca, s'il te plaît."

    Pour toute réponse, elle m'attire près d'elle et sort ses gros nichons de sa robe, en écartant son tablier. Elle me serre contre elle et me les donne à téter, ce que je fais goulûment. Pendant ce temps, le lavement coule dans ma culotte, entraînant tout ce que j'ai dans le ventre. Je sens les torchons s'imprégner de merde, je ne peux plus me retenir, je pousse pour me soulager, je me chie dessus complètement. Ma maîtresse s'en aperçoit, et me retire ses nichons :

    - "Charlotte, tu sens bien mauvais ! Que fais-tu, grosse sale ? Tu t'es chiée dessus, hein; et bien mijote un peu dedans, cochonne !"

    Elle m'assène quelques coups de martinet sur les cuisses, me fait mettre à genoux devant elle, et me laisse en pénitence un moment comme ça, pendant qu'elle rentre ses loloches dans sa robe. Puis elle me fait me coucher sur le dos, sur une toile cirée, retrousse mes tabliers, enlève ma culotte, la mets de côté ainsi que les torchons pleins de merde, me retourne à plat ventre et me torche les fesses gentiment.

    - "Tu sais ce qu'on fait aux petites filles qui se font dessus ? On leur met le nez dedans, pour leur apprendre. A genoux ! "

    Je me relève sur les genoux. Ma charcutière me met sous le nez un torchon trempé de lavement, dans lequel reposent, écrasés, mes estrons. Je dois les renifler; ma maîtresse repose le torchon par terre. Elle me fait mettre à quatre pattes, pose sa main sur ma nuque. Je plie les coudes et me prosterne, et elle me plaque le visage dans ma merde chaude et puante. Je me couche alors à plat ventre, et elle commence à me fesser à la main, lentement, me faisant quelquefois relever la tête pour voir ma figure barbouillée de marron, puis la replongeant dans le torchon. Mes fesses cuisent, l'odeur de la merde embaume mes narines, ma maîtresse me retourne sur le dos, en maintenant le torchon sur ma figure. Avec un autre torchon sali, elle prend ma saucisse dans la main et commence à me branler. Très vite, j'éjacule dans ma merde grasse, comme un petit bébé. 

     

     

    « Tout en latexÇa c'est du tape-tapis »

    Tags Tags : , , ,
  • Commentaires

    Aucun commentaire pour le moment



    Ajouter un commentaire

    Nom / Pseudo :

    E-mail (facultatif) :

    Site Web (facultatif) :

    Commentaire :