• Merci à "Miss Alexa" pour ce texte.



    J'étais encore jeune, et c'était une bonne, Solange, qui me gardait pendant que ma mére allait travailler.

     

    Un matin Solange dit à ma mère qu'elle ne m'avait pas vu aller à la selle depuis plusieurs jours. Ma mère me demanda si c'etait vrai. Ne sachant pas ce qui allait m'arriver j'opinais de la tete! Ma mère me palpa le ventre et dit à Solange de me mettre un suppositoire et de faire chauffer de l'eau au cas où cela ne ferait pas d'effet. Elle ajouta que si je n'avais rien fait à midi elle me donnerait un lavement.

     

    Je ne me souvenais pas en avoir déja recu mais le mot me procura une sensation trés bizarre, mélée de peur et de désir.

     

    Une fois ma mère parti Solange vint dans la chambre pour me mettre le suppositoire. Elle avait mis un tablier en caoutchouc beige. Bien que n'aimant pas cela je m'allongeais sur ces genoux et aprés m'avoir descendu ma petite culotte, elle m'enfonca fermement le petit cône gélatineux. En serrant les fesses je sentis l'ascension de celui qui devait mettre fin à mes tracas. Ensuite elle me rhabilla et me dit qu'elle allait mettre l'eau à chauffer au cas où !

     

    J'étais inquiet de ce qui se préparait quand vers dix heures je ressentis une envie.

    Je criais "Solange caca, caca".

    Je vis Solange arriver avec un pot de chambre car ma mère lui avait demandé de regarder  ce que je faisais!

     

    Je m'accroupis sur ce pot que je n'avais plus vu depuis plusieurs mois et sentis une petite expulsion, accompagnée d'un bruit qui attira le regard de Solange.

    Au fond du pot gisait le suppositoire un peu sali par le voyage qu'il venait de faire.

     

    Solange se tourna vers moi et me dit avec un sourire un peu moqueur que je pouvais me préparer à recevoir un bon lavement.

     

    La fin de la matinée fut angoissante je voyais cette grande casserole rouge pleine d'eau qui refroidissait sur la cuisinière mais je pensais encore que c'était pour me faire peur et que ma mère trouverait sans doute un autre moyen pour régler mon problème.

    Un peu avant midi j'entendis les clefs de ma mere dans la serrure.

    Tout de suite elle vint dans ma chambre et demanda à Solange comment s'était passé la matinéee. J'espérais qu'elle allait mentir, qu'elle allait dire que j'avais fait quelque chose avec le suppositoire. Au lieu de cela encore un sourire, un hochement de tete négatif et ce terme nouveau pour moi "Je pense qu'il a un vrai bouchon".

     

    En quelques minutes les choses allaient s'accélérer. Ma mère me remettait sur le pot pour un ultime essai, puis faisait un aller retour à la cuisine pour revenir avec le bock à lavement et une aléze blanche. De son coté, Solange avait remis son tablier en caoutchouc et arrivait dans la chambre portant la fameuse casserole rouge dans une main et une plaquette de beurre dans l'autre.

     

    Assis sur mon pot je pouvais voir avec effroi tous les préparatifs: remplissage du bock avec la casserole, déroulement d'un long tuyeau en caoutchouc beige, graissage de la longue canule noire avec le beurre ,enfin ouverture du robinet et  jaillissement de l'eau sur la main de ma mére qui lui fit dire: "C'est parfait, on peut y aller!"

    Pour la forme elle me demanda si j'avais enfin fait quelque chose. Bien sûr je n'avais rien fait, mais je dis que je sentais que cela venait dans l'espoir d'arrêter ce qui était en train de se préparer.

     

    Comme seule réponse elle tendit le bock et la canule à Solange, sassit sur le lit et déplia l'aléze en caoutchouc sur ses genoux. Elle m'ordonna de quitter le pot et de venir m'allonger à plat ventre sur ses genoux.

     

    Je faisais signe que je ne voulais pas et commencais à pleurer!

    Elle me dit que si dans dix secondes je n'étais pas sur ses genoux elle envoyait Solange chercher le docteur qui me donnerait non seulement le lavement mais aussi un piqure!

    Pris de peur je me levais du pot et les jambes entravées par ma culotte et mon slip je me dirigeais vers les genoux de ma mère.

    En m'allongeant je sentais immédiatement sous mon ventre la froideur du caoutchouc mais aussi la main ferme de ma mère qui me plaquait sur ses genoux.J e vis alors Solange s'approcher du lit tenant le bock de la main droite et tendant avec sa main gauche la canule à ma mère. Sentant le point de non retour imminant j'agitais mes jambes, pleurais avec force et serrais mes fesses pour contrarier l'arrivée de la canule; mais la petite culotte que j'avais gardée sur mes chevilles contrariait mes mouvements et la canule bien beurrée touvait son chemin assez facilement.

     

    En même temps qu'elle ouvrait le robinet ma mère demanda à Solange de lever le bock et immédiatement je sentis le flot tiède envahir mon petit ventre. J'essayai une derniere tentative pour arreter le processus en gémissant que c'était trop chaud, mais ma mère me coupa séchement que c'était parfait et qu'il n'y avait plus de temps à perdre car  Solange devait préparer le déjeuner.

    Je comprenai que cela ne servait plus à rien de se débattre tout en respirant l'odeur du caoutchouc de l'alèze qui m'apparaissait soudain agréable. Solange levait progressivement et doucement le bock qui se vidait lentement. Elle échangeait ,en meme temps,avec ma mère  quelques phrases sur ma docilité retrouvée et, avec un petit rire, sur le beau "cadeau" que j'allais surement leur faire.

     

    Pendant ce temps je sentais le lavement prendre sa place dans mon ventre provoquant des petits gargouillis qui finissaient par s'écraser sur le caoutchouc. En retournant légeremment ma tête je voyais Solange incliner consciencieusement le bock pour qu'il se vide en totalité avec le maudit tuyau qui hoquetait au passage des dernieres gouttes d'eau.

    Quand tout fut passé elle prévint ma mère qui retira la canule avec précaution et la tendit à Solange qui d'un geste brusque la remit dans le bock.

    A ce moment je sentais l'eau qui voulait ressortir, mais ma mère me serra fermement les fesses pendant quelques secondes en me disant que si je ne gardais pas ce lavement elle m'en redonnerait un autre, devant toute la famille et avec en prime une bonne fessée. Me sentant déja honteux et humilié devant Solange qui venait d'assister à ce lavement, je quittai l'alèze, me relevai et remontai mon slip et ma culotte comme pour signifier que j'acceptai d'essayer de le garder le plus longtemps possible.


    Je croyais le pire passé.

    En fait ce n'était pas la cas. Pendant que je recevais le lavement le reste de la famille était arrivé et en particulier une petite cousine un peu plus âgée que moi, avec qui je jouais habituellement. Encore tout à mes émotions je m'assois en face d'elle.

    Le service commence fait par Solange,jusqu'a ce que ma mère lui ordonne de ne me donner qu'un peu de bouillon ajoutant à haute voie "avec ce qu'il a dans le ventre c'est plus prudent!"

     

    Bien sûr des questions s'en sont suivis et ma mère de raconter avec force détails qu'elle venait de me donner  avec Solange un bon lavement. Bien sûr j'étais rouge de honte et les petits sourires de ma cousine à  Solange ne faisait qu'exacerber cette situation. Surtout je sentais le lavement faire son travail et j'avais peur de devoir quitter la table précipitemment devant les sourires compatissants de toute l'assistance.

     

    Heureusement et à ma grande surprise le lavement se fit oublier jusqu'au départ des invités et de ma mère.

     

    Vers 14h je me retrouvais donc seul avec Solange et mon lavement qui semblait se plaire dans mon ventre. Quand même ,au bout de quelques minutes il se signala brutalement et me voila courant dans l'appartement criant "Solange caca caca".

     

    Cette fois je sentais qu'il y avait urgence. Rien à voir avec le petit suppositoire du matin.

     

    Je la vis arriver avec de nouveau son tablier en caoutchouc, portant le pot dans ses mains. A peine avais  je descendu ma culotte et m'etais assis sur le pot qu'une pâte chaude, verte et d'odeur assez forte remplissait plus de la moitié du pot. Pendant ce temps, Solange s'était assise à coté de moi et posant ma tête sur son tablier disait en souriant "C'est bien, c'est bien ca va faire plaisir à maman. Embrasse moi et dis moi merci pour ce bon lavement". Je me suis éxecuté, mais un peu à contre coeur


    Inutile d'ajouter que depuis ce jour la je n'ai plus jamais dit  que j'étais constipé. En revanche j'éprouve une sensation troublante à la vue d'une alèze ou d'un tablier en latex!


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