• Pension Tapefort - Le thé de 17 heures... épisode 18

    Un texte de mon ami Peter Pan, que je remercie encore.


    Pension Tapefort - Le thé de 17 heures... épisode 18

     

    Ma sœur Nathalie leva le doigt comme en classe et s'adressa à tante Gladys.
    - «Ma'me Gladys, puis-je moi aussi fesser le fiancé de Patricia?»
    Surprise, Patricia fit une petite moue puis, après réflexion, accepta l'idée.
    - «Ma foi, ce serait amusant de comparer nos façons de faire.»
    Arnold qui était à peine remis de sa tournée des popotes émit une objection.
    - «What? Oune hard spanking? No, no, no... please, Patricia darling! Finish' the spanking!! Pleeeeease!! Ma... Madame Gladys, no spanking!!!»

    Patricia le mit au pied du mur et il dut se plier à son impérieuse injonction non négociable. De joie, Nathalie fit une petite bise furtive sur la châtoune de Patricia. Puis elle se redressa et elle vint prendre la place de Maman. Le pauvre garçon s'échappa vers la cuisine pour se passer une poche de glaçons sur ces fesses rouges et sur ses bourses gonflées!! Il grogna dans sa langue.
    - «Oh, my God! These damned French women! My poor balls and my scarlett bottom!»

    Maman se dirigea à la salle de bain pour se rafraichir les mains et réajusta sa jupe plissée écossaise tandis que Tante Gladys dégustait un cognac entre deux bouffées d'eucalyptus. Robin et moi débutions une partie de Puissance 4. Patricia, de son côté, était partie aux toilettes passer un coup de fil à ses amies. On l'entendait rire. Puis, Arnold, cul nu, profita de ce moment pour monter en catimini vers la chambre de Patricia pour s'y enfermer. Mais Gladys, toujours un œil sur son petit monde, l'interpella.
    - «Dis donc, Arnie, c'est ça qu'on appelle chez vous "filer à l'anglaise"? Hum? Redescends ici! Et presto!!»

    A ce moment-là, la redoutable Patricia, en brassière et mini-jupe plissée écossaise revint vers le salon.
    - «What, Madame? Euh... yes... euh... no.... no, of course! No!»

    Elle attrapa l'insolent par une oreille et l'amena vers Nathalie, ma frangine. Maman dodelina de la tête, car irritée par son audace et lui fit signe de le fesser avec sa main. Ma sœur Nathalie posa son pied sur le centre du pouf et retendit son bas nylon puis resserra la ceinture en cuir tressé de son mini-kilt rouge. Toisant, avec ses poings sur les hanches, son élève Arnold,  toujours cul nu, qui était apeuré, elle lui lança, furieuse:
    - «Over my knee, young man!».
    Le pauvre garçon, paniqué, regarda toutes ces  belles femmes autour de lui, cherchant leur compassion. Un peu vicieuse, ma sœur lui claqua les fesses. Vaincu, il vint se placer de lui-même plié en deux sur sa jambe ennylonnée.
    - «Oooooh, please... please... Miss Nathalie! Not very hard, the spanking, Miss!! My poor bottoooom!!! Ho!!Please!Please!!! My God!! These Frenchgirls!».

    Patricia, ironique, haussa les épaules, ce qui fit vibrer sa grooosse paire de seins et partit se servir un double scotch au bar et ensuite elle s'installa sur le sofa  comme si elle était au spectacle. Comme pour augmenter le stress de son fiancé déjà sous pression, elle croisa et décroisa ses belles jambes ennylonnées en le fixant du regard, en lui laissant deviner la couleur de sa culotte en satin. Nathalie caressa les fesses d'Arnold. Et elle le complimenta sur sa belle musculature fessière.
    - «Ooh yes! A very splendid bottom!! Marvellous! I love good obedient boys!»

    Patricia se pencha et  regarda par dessous dans quel état se trouvait l'intimité de son fiancé. Elle pouffa de rire et fit un geste très explicite à ma sœur concernant Arnold. Puis, Nathalie, avec le sourire aux lèvres, passa deux doigts dans l'élastique du slip d'Arnold et le baissa jusqu'aux genoux.
    - «J'fais toujours la même chose avec les mecs», lui annonça t-elle. «Every bad pupil deserve a very hard spanking!»

    Robin me glissa alors à l'oreille:
    - «Dis, Pit, elle lui a dit quoi, ta frangine?»
    - «Ben, que chaque mauvais élève mérite une très sévère fessée!»

    Le pauvre garçon avait l'air d'un pantin plié en deux sur la jambe de ma sœur. Maman discutait avec tante Gladys, tout en dégustant son thé aromatisé à la camomille. Je les regardais et elles me donnaient l'impression de se connaître depuis toujours comme deux vieilles amies d'enfance. Le contraste vestimentaire ajoutait à cette dichotomie. Le style très "Mère conservatrice" de notre Maman tranchait franchement avec le style résolument glamour de tante Gladys qui s'amusait aussi de ce côté quelque peu provocateur. Puis Gladys s'approcha d'Arnold et lui saisit ses deux fesses à pleines mains.
    - «Vois-tu, Nathalie chérie, j'adore toujours tâter plusieurs fois la marchandise avant d'acheter. Et avec les hommes, c'est la même chose.  C'est tellement grisant! N'est-ce pas, Pat chérie?»
    Arnold gémissait d'inconfort.
    - «Pleeeease, miss Nathalie! Please!»

    Nathalie avait pris soin de retrousser son mini-kilt rouge juste ce qu'il fallait pour que le bas-ventre du puni frotte sur le haut de son bas-nylon.
    - «Hoo mais je sens que son oiseau s'agite, tante Gladys!»
    Puis avec discrétion, elle passa sa longue main manucurée, par en dessous et, le rouge aux joues, lui déclara:
    - «Ho, oui, là, il-est-à- point, ma chérie! Et au bord de... de l'éruption! Je confirme!!»

    Et forte de ce détail croustillant, sans prévenir, elle fit alors pleuvoir une averse de claques avec une force qu'on ne soupçonnerait pas chez une jeune femme:
    - «I love to spank the big bottom of a very naughty young man!»
    Sa longue chevelure noire parfaitement lisse bougeait au rythme de sa colère.
    - «J'aurais du peut-être me faire un chignon, Patricia? Paraît que les mecs soumis adorent les grandes filles autoritaires qui attachent leur longue chevelure en chignon serré! Ca les excite encore plus pendant la fessée! Hihihi!!»

    Grisée par cette forme de pouvoir exercée sur les jeunes hommes, ma vicieuse de frangine rayonnait. Son bassin musclé de grande fille sportive bougeait au rythme des fessées qu'elle donnait à Arnold. Et il éclata en sanglots en tendant les bras vers Maman, restée aux côtés de Nathalie, complètement déchainée.
    - «Aaie, my booo... boo... bottom! Pleaaase, Miss! Please! Stop the... spanking! Pleeaase!»

    Peine perdue! Nat, ma frangine s'en moquait de sa douleur et elle accéléra alors la cadence. Elle s'acharnait sur ses deux fesses qui s'apparentaient à présent à deux gaufres à la fraise!
    - «Tous pareils, ces mecs! Tous des maricons!! Aucune dignité! Ça chiale comme des mômes au bout de trois claques!! Des p'tites natures!»
    Arnold n'en pouvait plus.
    - «Ho, miss Nathalie, I... I am go... going to.. to ejac...aaaaaaaïe... over your lo... lovely... pleated mi... mini skiiiiirt!! It's too... toooo... tooo strong!!»
    Et il se soulagea tout en s'agitant, sur la jambe de Nat', furieuse!!
    - «Espèce de petit cochon!! Goujat! Foutriquet! Paltoquet!! Tu m'en a mis plein le bas! Et un bas foutu!! C'est tous des cochons, ces mecs!!»
    Patricia, de son côté, riait sous cape et jubilait de jouer les professeuzes ès-fessées.
    - «Dis donc,  Arnie, darling, il paraît que t'as reluqué les lovely bottoms des filles dans l'Eurostar? Et devant ma copine Pat, en plus? Tu manques pas d'air, mon cochon! Elles avaient un gros popotin ou des fessounettes  toutes plates?»
    Patricia bondit alors du canapé et lui tira une oreille. Arnie grimaça.
    - «C'est vrai ça ou bien tu nous racontes des craques? Alors, réponds? J'attends!»

    Rouge de honte et aussi de douleur, l'étudiant au-pair bafouilla en répondant dans un galimatias mâtiné de français et d'anglois,
    - «C'est pas... mon... mon faute! No! Please, Pat' darling!! Heu... yes.... euh.... no... no, Pat' darling!! God Gracious!! Tu es mon... love, da... darling! Of course!! oui, Patriciaa! My God! I love tous les Frenchgirls!! Vive la France!! Vive le tour Eiffel!! Vive le champagne!!»

    Toujours un peu vicieuse dans son genre, Patricia se leva et, claquant ses hauts talons sur les tomettes rouges du salon, vint se pencher devant Arnold, pour lui exhiber son opulente et arrogante poitrine.
    - «Hooo, le p'tit Arnie a un very gros bobo à son vilain bottom? Elle lui fait un gros panpan la maitresse à son vilain petit Arnold! Oh, le vilain  insolent qui regarde les gros seins de sa schoolmistress  adorée in the classroom! Hooo, c'est pas beau, ça!!!»

    Déchainées, Pat'et Nath', en duettistes de la fessée, s'amusaient à tourmenter les hormones en révolution de leur pauvre victime... Et puis, soudain, Patricia entra dans la course. Puis, ce fut ensuite une double fessée qu'Arnold reçut de la main ferme et douce de ces deux redoutables Amazones en mini-jupe!!!
    Maman faisait le tour du propriétaire et inspectait chaque parcelle de peau du postérieur de l'infortuné fiancé, Et elle se proposa même de lui bloquer les jambes. Gladys écrasa sa Calyp'Export et posa sa tasse de thé sur le bar.
    - «Eh bien, les filles, on s'amuse sans moi?».

    Et ce fut la fiesta pour le pauvre étudiant au-pair...e de fesses rouges comme les tomates un jour de marché!! Chacune y allait de sa claque perso, à tour de rôle! Cinq fois... dix fois... trente fois! Arnold en faisait des bonds plié en deux sur la cuisse bronzée de ma frangine.
    - «Attention à mon bas-nylon, Arnold! Retiens toi ou ce sera le martinet de Maman Gladys! Compris??»

    Robin et moi observions cette touchante scène. On en était presque jaloux d'Arnold.
    - «Tu te rends compte, Pit, quel veinard! Quatre filles pour s'occuper de lui?»
    - «C'est pas les "Quatre filles du docteur March"!»
    - «Et en plus, j'imagine, Roby, que... si tu vois ce que je veux dire...»
    - «C'est clair!!»

    « Il y a d'autres choses intéressantesFessée mouillée »

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  • Commentaires

    1
    ramina
    Dimanche 25 Février à 13:44

    Hello, les afficionados de la Klakofesses ! Oyez bonnes gens !

    Bon, les gars les filles, ou les deux en même temps, les tout le monde, ça se voit comme le nez au milieu du genoux ... à moins que ça soit au milieu de la figure ... si ça se trouve. Achtung , cuidado, l'ami Peter se lâche de plus en plus ! Fini les allusions, les tournures de phrase,  les euphémismes,  les mots périphériques, les péripatéticiennes... les fausses pudeur ! Tonton Pet' tape direct dans le tas, avec un épisode épique, lyrique, échevelé, livide au milieu des tempêtes !  Ce chapitre 18 est un vrai carnage pour Arnold, livré , fesses en l'air, plié en deux sur une cuisse, entre les mains de Pat'et Nath', les deux furieuses de la déculottée. Fessées à quatre mains même , chacune sa fesse et en avant la musique, duo de percussion ! Tout ça en famille sous le contrôle de Louise mama  blues et tante Gladys la pétroleuse, qui comptent les claques en surveillant la couleur et la cuisson du fessier du fiancé de fifille.  Patricia, dite la douce aux mains lestes,  premier rôle dans le chef d'oeuvre oscarisé plusieurs fois : ''Autant en emporte le vent de la fessée " L'auteur déchaîné, nous livre le mystère du dessous des jupes des filles, de plus en plus courtes ( les jupes, pas les filles )  petites culotte en satin blanc, porte jarretelles et bas nylon... Évidement ça ne calme pas Arnold aux fesses rouges, qui a du mal a maitriser les réaction érectiles de son engin, raide comme un passe lacet .. On se régale. Dommage que l'écrivain fou, persiste à écrire à moitié en anglais  alors que, perso , je  comprends que l'autre moitié,  sauf deux ou trois trucs, qu'on comprend bien, quand même que cette histoire a un rapport avec la Spanking ...   Ramina

      • Peter Pan
        Dimanche 25 Février à 19:49

        Bonsoir les amigos !! 

        Ha ha ha !! Personne n' imaginait Pit capable d'écrire une version aussi "olé olé" !! Et ben, c'est arrivé ! Pit s'est pinté à la camomille mentholée pour trouver l'inspiration. Quelle aventure !! Les deux sirènes du Mississippi s'adonnent à une danse de la fessée déculottée !! Les deux viragos en mini jupe se sont chauffées les sangs avant de chauffer les fesses d'Arnold, le gentil étudiant Au-pair, amoureux transi... de peur de la belle Pat' Calamity, première gach.. euh... première fesseuse du petit  Conservatoire régional de la Fessée. Alors vous avez apprécié ? Si vous êtes bien sage, l'auteur vous offrira une seconde tournée. Hi hi hi !! 

        Peter. 

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