• Ma nouvelle vie de soubrette Récit


    Jeudi 21 Janvier 2021 à 06:41
    Alin74

    Je suis depuis toujours un  soumis fétichiste des blouses et tabliers de femme en nylon ainsi que plus généralement de tous les vêtements féminins en satin, soie, nylon et polyamide satiné. J’adore voir les femmes les porter, mais j’aime aussi les revêtir. Il y a quelque chose de très érotique et d’envoutant dans cette matière qui à mes yeux transforme une simple femme en déesse que l’on vénère. Aussi, c’est naturellement que j’éprouve un grand intérêt pour exécuter les tâches ménagères : le ménage, la cuisine, le nettoyage des dessous, de la lingerie et le repassage… Porter une blouse de femme en nylon est une féminisation qui est l’expression d’une domination féminine à laquelle on se soumet. 

         Aussi, j’ai toujours été attiré par les femmes qui portent des blouses et tabliers en nylon. Devoir porter une blouse, être au service d’autrui, devoir faire des tâches ingrates… Mon rêve le plus fou ? Être forcée à devenir femme de ménage ou bonne à tout faire au service d’une Femme Maîtresse et être à son service et pour son plaisir, à sa disposition 24 heures sur 24. 

         Un jour il m’est venu une idée folle : passer une annonce en me faisant passer pour une femme de ménage. Il est temps pour moi de vivre ma première expérience de soumission en blouse de nylon. Pour gagner la confiance de ma future patronne et prouver ma volonté de soumis j’ai proposé un premier ménage à l’essai. En utilisant un prénom mixte (Andréa) pour me faire passer pour une femme.

         Arrivée chez Mademoiselle Marina 

         Ainsi, je reçois rapidement une réponse d’une jeune femme, Mademoiselle Marina, qui va devenir, par la suite, ma première Maîtresse. Elle me donne RDV le lendemain chez elle pour un premier ménage. Je réalise alors qu’il ne s’agit pas d’un simple fantasme et que les choses sont sérieuses. 

         Le jour dit, je me mets en route vers le domicile de ma future Maîtresse. Ma tenue ne laisse aucun doute sur mon gout pour le nylon et la féminisation. Dessous : petite culotte et soutien-gorge en satin noir, porte-jarretelles et bas opaque noirs en nylon. Dessus : robe de soubrette en satin noir mi longue, manches longues resserrées aux poignets par un ruban en satin blanc, assortie d’un tablier blanc en nylon. Je chausse des bottines noires en cuir avec talons compensés, je suis coiffée d’une perruque brune mi longue, et par-dessus ma robe, j’ai enfilé pour sortir une longue doudoune en nylon matelassé, qui descend jusqu’aux chevilles, fermée sur le devant par une longue glissière. Je suis habillée avec des vêtements qui me procurent un grand plaisir, car ils sont féminins, soyeux et doux au toucher. J’emporte aussi dans un sac ma blouse de femme de ménage en nylon bleu ciel à manches longues et boutonnage latéral très pratique pour les tâches les plus salissantes.

          J’arrive chez Mademoiselle Marina, et en parcourant les derniers mètres qui mènent au perron, le doute s’installe en moi. Pourquoi est-ce que je prends du temps pour venir gratuitement faire le ménage dans cette tenue ? J’ai honte de ma condition d’homme travesti mais j’ai aussi un grand plaisir intérieur à transgresser mon identité sexuelle. Il n’est encore pas trop tard pour rebrousser chemin. Mais rapidement je ressens cette force qui m’attire vers la porte. Je réalise alors que toute résistance est inutile et que ma seule issue est de me soumettre à celle qui se trouve derrière cette porte. C’est là mon destin, d’homme soumis fétichiste, être une femme de ménage soumise et ouverte à tous les caprices d’une Maîtresse Femme.

    Dimanche 14 Mars 2021 à 23:31
    Souillon

    Début prometteur, j'aimerais avoir la suite pour la publier

    Vendredi 19 Mars 2021 à 10:36
    Alin74

    Une bouffée de plaisir me fait tourner la tête. Je sonne. Mon cœur bat très fort d’excitation. Une silhouette se dessine derrière la porte vitrée qui s’ouvre. Il m’apparait alors une superbe jeune femme d’une trentaine d’années, Elle est magnifique, des cheveux noirs noués en un chignon strict sur le haut du crâne, des formes aguicheuses sous une longue robe noire en cuir, chaussée de cuissardes vernies noires à talons aiguilles ; elle me scrute lentement de haut en bas et elle plonge ses yeux verts dans les miens, ce qui m’oblige à baisser les yeux, et j’ai tout de suite l’impression d’être une proie à proximité d’un prédateur. « C’est pour quoi ? » me dit-elle

         Elle me dévisage et je lis dans son regard l’étonnement de trouver non pas une femme comme elle l’attend. Je me présente respectueusement en expliquant que je suis bien la personne annoncée, Andréa, qui vient faire son ménage. Ce petit malentendu dissipé, elle m’invite à rentrer. Je m’exécute. Sans plus attendre, Mademoiselle Marina souhaite faire le tour des tâches que j’aurai à effectuer. Je viens de retirer ma doudoune en nylon, que j’accroche au porte-manteaux dans le placard de l’entrée et je lui apparais déjà en tenue de travail, avec ma robe de soubrette et mon tablier de satin blanc. Je retire mes gants en cuir et je prends dans mon sac à main une petite coiffe en satin, que je place dans mes cheveux.

         Après le traditionnel « Bonjour Madame » je me comporte en vraie professionnelle. Je sais qu’il faut d’abord savoir si le travail se limite aux parties ordinaires de la maison ou s’il s’étend aussi aux parties privatives, c’est à dire à la partie privée de l’appartement de la Maîtresse. Et là, on rentre dans son intimité. Elle dit que la femme de ménage qu’elle recherche doit s’occuper de toutes les tâches et services attendus. Alors, je demande à visiter les lieux. Nous commençons le tour des pièces en commençant par la cuisine et elle me décrit la liste des tâches à effectuer. “Bien Madame” lui dis-je à chacun de ses ordres en signe de respect, les mains croisées dans le dos et la tête baissée. Je demande à voir les placards pour voir comment est rangée la vaisselle, où sont rangés les produits d’entretien, quels sont les produits qu’elle utilise.

         La visite continue par la salle à manger, le salon, la salle de bains, les sanitaires, puis elle m’indique un endroit au fond du couloir, accessible par une porte dérobée, qui débouche sur un escalier qui amène à l’étage dans un espace qu’elle appelle le donjon, mais qu’elle ne me fait pas visiter dans l’immédiat, car elle me dit que ce n’est pas prévu dans la période d’essai ?




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