• Ma bonniche

    Ceci est un texte original de votre servante Marie-Souillon. 


     

    Sophie


    J'avais embauché, comme bonne à tout faire, pour quelques heures par jour, une femme comme je les aime : robuste, bien en chair, la poitrine opulente et tout le reste aussi. Sa situation était difficile, aussi Sophie accepta mes conditions. Celles-ci n'étaient pas mauvaises sur le plan matériel, mais je la prévins que j'étais exigeant sur le plan du service.
    J'exigeais d'elle qu'elle porte la tenue que je lui avais choisie, ou plutôt une des tenues, car je lui en fournis plusieurs. Celle-ci se compose d'une blouse, par dessus laquelle je lui fait mettre un grand tablier, et une grande coiffe sur la tête. De plus, je la faisais marcher pied nus dans des socques en bois.
    Ainsi habillée, je la regardais faire le ménage, la vaisselle, un peu de cuisine pour moi. J'étais toujours là quand elle travaillait; en effet, mon grand plaisir consistait à la voir faire ces humbles besognes. J'aimais la déranger en l'appelant quand elle était dans la cuisine. Elle venait alors, en essuyant ses mains dans un torchon, puis les frottait d'un geste machinal sur son tablier. Je lui demandais de m'apporter quelque chose, et je lorgnais, quand elle s'en retournait, son gros cul sous la blouse, avec les liens du tablier qui se balançaient dessus au rythme de ses pas.
     

    Premières fessées


    Très vite, j'ai commencé à lui mettre la main aux fesses, sans qu'elle proteste, puis à la peloter pendant son travail. Elle acceptait tout cela sans se révolter. Je décidais alors d'aller plus loin.
     - "Sophie, vous ne faites pas du bon travail, ça ne va pas du tout."
     - "Pardonnez-moi, je suis désolée, Monsieur."
     - "Il ne suffit pas d'être désolée, chaque faute appelle sa punition."
    Debout devant moi, ses mains triturant machinalement un torchon, elle me regardait, inquiète. Je lui fit signe d'approcher, et je posai ma main sur son cul, où je mis quelques petites tapes appuyées. Elle secoua la tête, l'air étonné.
     - "Mais oui, allez, penche-toi en avant !"
     - "Vous allez me fesser ?"
     - "C'est ça ou la porte, choisis."
    Elle se courba, obéissante, en travers de mes genoux. Je passais mon bras gauche autour de sa taille, puis, sans relever sa blouse, je lui donnais une bonne claque, puis une seconde. Elle tortilla un peu son cul qui tendait le tissu de la blouse à carreaux. La fessée continua pendant quelques minutes, et je sentais ma saucisse se gonfler sous son poids. Quand elle commença à gémir un peu, j'arrêtais la punition.
     - "Relève-toi ! Dis-moi merci !"
    Elle se redressa et je vis son visage un peu rouge, les yeux brillants, les lèvres mouillées.
     - "Merci monsieur."
    Je la renvoyais à son travail, docile, soumise. Le pli était pris.

    Elle revint le lendemain. Je lui fit remettre les mêmes tabliers, et je l'envoyais faire la vaisselle. Alors qu'elle avait les mains dans l'eau chaude et grasse, je commençais à lui tripoter le cul. Elle voulut ôter mes mains de son corps.
     - "Continue à laver; tu te crois où ?"
    Elle se pencha sagement sur l'évier. Je retroussais lentement la blouse sur ses fesses, et passais la main sous sa culotte. J'explorai ses fesses et son con, pendant qu'elle lavait, puis essuyait la vaisselle. Je la laissais tranquille le temps de la ranger, mais en ayant pris la précaution de passer le pan arrière de sa blouse dans la ceinture du tablier, pour qu'elle ait la culotte découverte. Quand elle eût fini, je lui pris les torchons mouillés avec lesquels elle avait essuyé.
     - "Mets-toi face à l'évier !"
     - "Qu'allez-vous me faire ?" Sa voix est inquiète, mais soumise.
     - "Tu verras, ou plutôt tu sentiras. Mais je ne t'ai pas demandé de parler : tu ne vas plus pouvoir le faire."
    Avec un torchon, je lui attachais les mains au robinet, et je la bâillonnais avec l'autre, tout ça sans trop serrer. Puis je baissais sa culotte, et je la fouettais avec le troisième torchon, le plus mouillé. Le tissu alourdi claquait sur ses grosses fesses, sans lui faire trop mal, mais avec un joli bruit sourd. Elle remuait son bassin de temps en temps, ce qui m'excitait encore plus. Quand son cul nu fut bien rouge, je remontais sa culotte et je la détachais. Une fois les mains libres, elle voulut détacher son bâillon.
     - "Garde-le, tu es très bien comme ça."
    Elle fit "oui" avec la tête, et je la renvoyais à ses occupations, bâillonnée et la blouse relevée.
     

    La sucette


    - "Sophie, viens ici !"
    Elle arriva, toujours bâillonnée, avec ce geste machinal des mains sur son tablier. Je lui donnais l'ordre d'aller à la cuisine enlever son soutien-gorge. Quand elle revint, j'ouvrais sa blouse pour faire sortir ses deux grosses tétasses, qui étaient un peu tombantes, blanches et grasses.
     - "A genoux ! Et enlève ton bâillon."
    Elle obéit, s'agenouille et me tends le torchon qu'elle a ôté de sa bouche. Je le lui passe autour du cou, et je l'attire vers moi, pendant que je recule pour m'asseoir dans un fauteuil. Elle est maintenant agenouillée entre mes jambes.
     - "Déboutonne-moi !"
    Elle défait ma ceinture, ouvre ma braguette, baisse mon pantalon et mon slip, qui est déjà tendu par ma saucisse. Tirant sur les deux bouts du torchon passé derrière son cou, je l'attire contre moi. Elle comprend vite, et mets ma saucisse entre ses deux grosses tétasses. Elle la branle comme ça entre ses nichons, les pressant entre ses mains, les caressant, malaxant mon boudin entre ses deux brioches de chair fraîche.
     - "Suce, maintenant, salope !", dis-je en tirant sur le torchon pour lui plaquer le visage sur moi.
    Elle ouvre les lèvres, les mouille de la langue, et me lèche le boudin. Il frémit et se dresse, si tant est qu'il puisse encore le faire. Puis elle l'engloutit dans sa bouche; elle est chaude, humide, incroyablement douce. Elle me suce longuement, les yeux brillants, les joues rouges. En même temps, elle me caresse les couilles et l'intérieur des cuisses. J'éjacule dans sa bouche, puis elle me nettoie le gland à petits coups de langue.
     

    L'aide-chiotte


    Le lendemain, elle revint et mit sa tenue de la veille, puis commença son travail, comme si de rien n'était. Tout au plus était-elle un peu appuyée dans ses mouvements de hanches, un peu coquine dans le regard. Elle travailla plus vite que d'habitude. Aurait-elle peur d'être punie pour sa nonchalance ? Non, car je vis que, volontairement, elle commettait quelques négligences. Ainsi, elle recherchait une sanction de ma part. Ces manquements dans le ménage devaient lui être pénibles, car elle avait beaucoup de conscience professionnelle. Je décidais de mettre fin à ce dilemme.
     - "Sophie !  viens ici."
     - "Monsieur à quelque chose à me reprocher ?" Elle se tint debout devant moi, l'air piteux.
     - "Oui; j'ai remarqué que tu faisais mal ton travail aujourd'hui, ce qui n'est pas dans tes habitudes. Est-ce que ce ne serait pas par envie d'être punie ?"
    Elle ne répondit pas, mais rougit et se tortilla un peu. Toujours ce geste machinal de passer les mains dans son tablier.
     - "Je n'ai pas besoin que tu fasses des bêtises pour te punir, dis-toi le bien. Je ne te punirai pas cette fois, mais j'ai un travail pour toi. Va chercher un torchon, et rejoins-moi."

    J'allais m'asseoir sur la cuvette du bidet, dans la salle de bains, après en avoir fermé la bonde. Elle m'y rejoint, le torchon à la main, surprise de me trouver là.
     - "Trousse-toi, ôte ta culotte et mets-toi à genoux."
    Elle obéit, et se mit devant moi pendant que je pissais dans le bidet. C'était difficile, car je bandais, et je m'aspergeais de quelques gouttes les cuisses et le ventre.
     - "J'aime bien faire mes besoins avec quelqu'un pour me tenir compagnie."
    La cuvette du bidet était pleine de pisse chaude, dont l'odeur se répandait dans la pièce. Tout en tripotant les nichons de Sophie, je poussais dans mon ventre. La surprise se vit sur son visage quand elle entendit le floc de l'estron qui tombait dans la pisse. Tout en continuant à la caresser, j'en chiais un second. Puis, me relevant :
     - "Essuie-moi la bite."
     - "Mais… c'est dégoûtant, fit-elle."
     - "Tu l'as bien sucée, non ? Et puis, une bonniche, c'est fait pour nettoyer. Allez, essuie-moi avec ton torchon."
    Toujours agenouillée, elle m'essuya le gland dans son torchon, puis, consciencieuse, elle épongea les gouttes qui avaient coulé sur mes cuisses. Quand elle eut fini, je lui caressais gentiment la joue.
     - "C'est bien; torche-moi le cul, maintenant."
     - "Mais…"
    Je ne la laissais pas finir sa protestation. Je me rassis sur la cuvette, l'attrapais par la taille, la couchais sur mes genoux et commençais à la fesser, sans remonter sa blouse, mais assez fort pour lui arracher quelques gémissements; mais sans doute étaient-ils autant de surprise que de douleur. Après une quinzaine de claques, je la relâchais.
     - "Ramasse ton torchon ! Allez, plus vite !
    Je me tournais en m'accroupissant un peu pour écarter les cuisses. Après une seconde d'hésitation, elle me passa le torchon sur le trou du cul, ramassant les restes de merde qui adhéraient aux poils. Puis elle remonta vers l'intérieur des cuisses avec un autre coin du torchon, et finit son torchage en mettant son doigt dans le torchon pour rentrer un peu dans mon troufignon, afin de parfaire le nettoyage.
     - "Mais c'est très bien, Sophie. Pourquoi refusais-tu ? on dirait que tu as torché des culs toute ta vie."
     - "C'est que j'ai fait du baby-sitting, dit-elle avec une pointe de fierté dans la voix."
     - "Ici, tu es une bonne à tout faire, pas autre chose. Nettoie la cuvette, maintenant."

    Au fond de celle-ci reposaient deux beaux estrons, noyés dans ma pisse jaunâtre. Elle fit le geste de tirer le levier pour ouvrir la bonde, mais je l'arrêtai.
     - "Non, je veux que tu mettes les mains dedans pour les enlever."
    Elle me regarda; elle était rouge d'humiliation. Puis, à genoux devant le bidet, elle plongea ses mains dans la pisse et ramassa les deux estrons, un dans chaque main. Au-dessus de la cuvette, elle secoua les bras pour les égoutter, puis les laissa tomber dans la cuvette des W-C, juste à côté. Elle s'essuya les mains dans son torchon, tira la chasse, ouvrit la bonde du bidet, ainsi que le robinet d'eau chaude de celui-ci. Elle était au bord des larmes tant elle avait honte. Elle cherchait une éponge pour nettoyer le bidet, mais je lui montrai du doigt son torchon. Elle s'en servit pour nettoyer la cuvette et le laissa dedans, puis resta agenouillée devant le bidet. Doucement, je la couchai par terre, sur le dos, à côté du bidet. Je lui enlevai son tablier, et je me servis de la ceinture de celui-ci pour lui attacher les mains au-dessus de la tête, sans serrer, juste pour la maintenir. Je retroussai sa blouse et passai mon doigt dans son entrecuisses. Elle était humide et chaude. Je m'allongeai sur elle et lui mit ma saucisse dans le con, où elle rentra comme dans du beurre. Je la besognais un moment, retenant le moment où je lâcherai ma crème dans sa pachole. Je caressai ses nichons, ses bras attachés.
     - "Ça te plaît, hein, salope ?"
    Quand elle fût près de jouir, je pris discrètement le torchon qui était resté dans la cuvette et je lui posai sur le visage.
     - "Non, supplia-t-elle, pas ça, c'est trop sale."
    Elle se débattit un peu, mais je lui appliquai quand même le tissu trempé de pisse sur la bouche et sur le nez. J'éjaculai alors, et elle jouit en même temps que moi.
     

    Sophie saucissonnée


    J'avais prié Sophie de faire quelques courses pour moi chez le charcutier : saucissons et saucisses sèches, entre autres, ainsi que du saindoux. Elle arriva avec son panier, et passa directement dans la cuisine, où elle se changea. Blouse à carreaux mouchoirs, grand tablier bleu, un torchon noué sur la tête, après avoir enlevé son soutien-gorge et sa culotte. Son travail de bonniche, pimenté de sa position d'esclave, lui plaisait bien, maintenant. Je ne cherchais plus de prétextes pour la corriger et l'humilier, aussi je la fis directement s'agenouiller face à une chaise, au milieu de la cuisine. Je la plaçais du côté du siège, et lui attachais les genoux aux deux pieds avant de la chaise. Puis je la fis se pencher et s'appuyer sur les coudes, en attachant ses poignets aux montants du dossier. Enfin, je lui fis poser la tête sur le haut du dossier, et je l'attachais avec un torchon autour du cou. Elle était ainsi agenouillée devant un pilori improvisé. Je complétais le bondage en lui liant les pieds ensemble. Aucun lien n'était trop serré, je voulais juste l'immobiliser. Sa tête était à la hauteur de mon sexe, sa croupe était offerte et relevée. Je troussais sa blouse : son anus brun était bien en évidence, au dessus de sa motte rebondie et de sa pachole grasse. Je m'assis à côté de ce cul, sur un tabouret bas, et je glissais mon index dans sa mounine. Il rentra bien vite dedans, et je lui caressais un moment l'intérieur du vagin. Quand elle fut bien mouillée, j'y glissais aussi le majeur, et je frottais mes doigts l'un contre l'autre, ce qui lui arracha quelques soupirs de plaisir. Puis je sortis mes doigts de sa tarte, pour lui rentrer l'index dans le cul.
     - "Non, pas là!" dit-elle.
     - "Sophie, répondis-je, tais-toi, sinon je te bâillonne. De toute façon, j'ai décidé de t'enculer."
     Je poussais mon index dans son cul, qui s'ouvrit volontiers, lubrifié par la mouille ramassée dans sa pachole. Je tournais le doigt dans son rectum, où je rencontrais quelques bouts de merde avec lesquels je jouais.
     - "Alors, ça fait mal ?"
     - "Non, monsieur, mais ça fait tout drôle."
    Je mis alors mon pouce dans son con, et je lui tripotais les tripes avec mes deux doigts, juste séparés par la partie la plus intime de sa chair. Je la menais ainsi jusqu'au plaisir, qui la secoua dans ses liens et fit remuer sa croupe.

    Je retirais alors mes doigts et, après m'être levé et avoir fait le tour du pilori, je les lui donnait à sucer. Ils étaient mouillés de son jus, l'index portant quelques traces de merde. Elle fit la grimace et ferma la bouche, mais j'insinuai les doigts entre ses lèvres. Elle essaya de me mordre doucement. D'une claque de l'autre main, je la punis tout de suite. Elle ouvrit alors sa bouche et me suça les doigts pour les nettoyer.
    La chaise était placée face à la table. Ainsi, elle me vit ouvrir le paquet du charcutier, et disposer sur un torchon un saucisson, une saucisse sèche, et un morceau de saindoux.
     - "Vous allez cuisiner, monsieur ?" demanda-t-elle.
     - "Tu n'as pas à poser de questions, salope. Mais je veux bien te répondre : je prépare une dinde farcie."
    Je frottais le saucisson avec le saindoux, puis je passais derrière elle, et, lui ouvrant la chatte avec deux doigts, je le poussais dedans. Il était de la taille d'une bitte, et, comme il était bien lubrifié (Sophie aussi) il rentra sans problème sur la moitié de sa longueur. Je lui fis faire deux ou trois va-et-vient, pour bien le mettre en place, et je retournais devant la table.
     - "Vous allez me mettre la saucisse ?"
     - "Oui, je vais t'enculer avec; répète-le."
    Comme elle hésitait, je continuais à graisser la saucisse sèche avec le saindoux, puis je passais derrière elle et lui graissais aussi le trou du cul, trempant le doigt dans le gras pour lui enduire le troufignon.
     - "Alors, qu'est-ce que je vais te faire ?"
    Comme elle ne répondait pas, je lui mis deux claques sur les miches. L'avertissement lui suffit.
     - "Je vais être enculée avec une saucisse sèche, dit-elle, je vais avoir le croupion comme une dinde farcie."
    Je poussais sur la saucisse, qui rentra dans l'anus offert comme dans une motte de beurre. Elle n'était pas bien grosse, à peine plus qu'une bitte d'enfant, mais très longue, aussi une bonne partie resta dehors. L'arrière train de Sophie offrait un curieux spectacle, la charcutaille dépassant des deux trous, émergeant au milieu des poils. Je branlais un peu les deux godemichés, tout doucement. Puis, pour compléter le farci, je me mis devant la chaise et offris à ma bonniche ma propre saucisse à sucer. Elle la léchouilla, puis la prit entre les lèvres et, dans l'écrin chaud de sa bouche, la suça, la pourlécha, la titilla de la langue, la cajola, pour bientôt me faire éjaculer au fond de son palais.
     

    Sophie en couches


    Voyant dans quelles bonnes dispositions était Sophie, je lui demandais, pour la fois suivante, en faisant mes courses, d'acheter à la pharmacie des couches complètes pour adultes, et les culottes de plastique qui vont avec. Elle ne s'en étonna pas, pas plus qu'elle ne s'étonnait du reste.
    Quand elle arriva, je lui ordonnais, en plus de sa blouse et de son tablier habituels, de se mettre une culotte d'incontinence et de se garnir avec une couche.
     - "C'est pourquoi faire, Monsieur ?" me demanda-t-elle, bêtement.
     - "C'est pour que tu ne perdes pas du temps à faire tes besoins au lieu de travailler, Sophie. Tu les feras dans ta couche."
    Elle eût un petit rire.
     - "Mais je ne suis plus un bébé. Enfin, je ferai comme vous voulez."
    Elle mit, devant moi, sans pudeur, sa couche et sa culotte, puis enfila sa blouse à carreaux, et noua par dessus un tablier à bavette, sans oublier sa coiffe. La couche se voyait sous la blouse, lui faisant un cul gros et mou, et les hanches larges.
    Elle commença son ménage, ainsi emmaillotée. La culotte crissait un peu quand elle marchait ou qu'elle se penchait. Le bruit m'excitait beaucoup, j'avais le plaisir de l'oreille en plus de celui de l'oeuil. J'allais derrière elle me frotter contre son cul et lui tripoter les nichons sous la blouse, sans l'empêcher de travailler, bien sûr.

    Elle avait compris qu'elle n'avait pas à interrompre son travail pour quoi que ce soit, pourtant je la vis partir vers les toilettes.
    - "Où vas-tu, Sophie?"
    - "Aux toilettes, Monsieur."
    - "Viens ici, agenouille toi devant moi et répètes!"
    - "Monsieur, dit-elle humblement agenouillée, les yeux baissés, il faut que j'aille faire pipi."
    - "Faire pipi, tu veux dire pisser, pisser comme une grosse vache, non, salope?"
    - "Oui Monsieur, j'ai besoin de pisser. Il faut que je fasse dans ma couche, alors?"
    - "Je vois que tu as compris, c'est bien, relève toi."

    Elle se mit debout, et, pour récompenser sa compréhension, je la serrais contre moi et l'embrassais à pleine bouche. Et, tout en la serrant plus fort contre moi, je la chatouillais légèrement sur les flancs, ses flancs larges de femelle. L'effet des chatouilles ne tarda pas et, pendant qu'elle était encore serrée contre moi, je la sentis se relacher. Puis je sentis, à travers sa couche, sa culotte et sa blouse, la chaleur de sa pisse et, comme elle était abondante, bientôt son odeur vint chatouiller mes narines.
    Je la laisser terminer, toujours debout contre moi, sa pissade, en la caressant doucement et en l'embrassant.
    - "Tu as fini de pisser, grosse truie?"
    - "Oui Monsieur."
    - "Finis ton travail, alors, et attention, que ça ne coule pas, ne tache rien."

    Et, à partir de ce jour, elle fit toujours le ménage en couche, pour son humiliation et pour mon plaisir.

    « Dita Von Teese en tablierMarylin Monroe en tablier »

    Tags Tags : , ,
  • Commentaires

    Aucun commentaire pour le moment



    Ajouter un commentaire

    Nom / Pseudo :

    E-mail (facultatif) :

    Site Web (facultatif) :

    Commentaire :