• Les séances de fessées chez Tante Gladys, Chapitre 4

    Une histoire originale de Ramina, sur une idée de Clodinet(te)


    Les séances de fessées chez Tante Gladys, Chapitre 4: Quant Tantine fesse c'est elle qui déculotte!

     

    Satisfaite d'avoir réussi à faire jouir Clodinet sous la fessée, car c'était bien l'objectif qu'elle s'était donné pour l'humilier, Tante Gladys, lui ordonne de se relever et, faisant semblant d'être en colère, s'exclame avec la plus parfaite mauvaise foi:
    – «Tu n'as pas honte petit vicieux! Regarde ce que tu as fait! Mes bas nylon sont tout tachés! Tu m'en a mis plein les jarretelles en plus! Tu mériterais que je te fasse nettoyer ça avec ta langue pendant que je te mets une nouvelle fessée!! Mais tu ne perds rien pour attendre, file au coin!»

    Il se lève et tente de se reculotter... C'est sans compter sur sa tante qui le tient à portée de main et lui fait immédiatement sauter les fesses d'une claque puissante qui résonne avec un bruit assourdissant à travers la cuisine.
    – «En voilà des manières Clodinet, on se permet de prendre des initiatives maintenant !»

    Clodinet a beau avoir vingt deux ans, la cuisante fessée qu'il vient de recevoir et la jouissance qu'il en a retiré, ouvrent la voie de sa soumission à l'autorité de sa tante. Elle dispose ainsi du pouvoir de le corriger à sa guise, pour n'importe quel motif ou simplement pour le plaisir de claquer une virile paire de fesses quand elle en a envie. Et elle en a envie très souvent.
    – «Euuuh non tantine… c'est à dire...  Je croyais que ma fessée était... Euuh..., terminée.»
    – «Que tu croyais! ... Tu restes comme ça, le slip sur les cuisses, les fesses en exposition jusqu'à je t'autorise à te reculotter. Maintenant tu remontes tout de suite sur mes genoux pour une petite conversation. J'aime avoir un commentaire à chaud  sur les fessées que j'administre...» Elle part dans un grand éclat de rire. «A chaud!... c'est le cas de le dire! Brûlant même!»
    – «Oui tantine… tout de suite!»

    Clodinet s'exécute sans plus d'explication. Les fesses en feu, la peur au ventre, il vient se remettre docilement en position sur les genoux de sa Tante, encore tièdes du séjour pour le moins mouvementé qu'il vient d'y faire. Ce retour inattendu sur ses jarretelles élastiques et la texture soyeuse de ses bas nylon, lui remémore sa jouissive éjaculation de la veille et sa découverte des bienfaits de la fessée comme stimulant érotique. A cette évocation il est partagé entre l'envie de revivre ce plaisir et la peur de devoir endurer la terrible cuisson de la fessée. Le contact de son ventre sur la chaire tiède des cuisses de sa tante lui fait craindre d'une nouvelle érection. Le prétexte idéal que Gladys ne manquerait d'exploiter, pour justifier, l'administration immédiate d'une deuxième fessée. Pour elle toutes les occasions sont bonnes. Au lieu de cela il sent une main enveloppante  caresser ses fesses brûlantes, les soupeser, puis les faire rebondir a petites tapes très sèches qui intensifient la douleur de la cuisson.
    – «Dis-moi mon Clodinet, j'espère que tes fesses ont apprécié cette petite séance sur les genoux de tantine! Et dis-moi, qu'est ce que tu préfères, jouir sous une bonne fessée de tante Gladys, quitte a t'en prendre une autre après pour avoir sali ses bas, ou te masturber avec ton cousin sous les draps? Hein? Réponds moi franchement!»

    Clodinet est très embarrassé. La question insidieuse de sa tante n'est en fait qu'un moyen détourné de l'humilier en l'amenant à reconnaître son attirance pour la fessée. Ce qu'il fait.
    – Euuuh... la fessée tantine, la fessée! Mais pas aussi sévère, vous claquez dur... ça fait vraiment mal.»

    Gladys le sent entièrement à sa merci. D'une main bien enveloppante elle caresse vicieusement ses cuisantes rondeurs fessières si merveilleusement claquantes.
    – «Enfin Clodinet une fessée dignes de ce nom, ça doit claquer dur pour faire mal, pour punir. Alors qu'est ce qu'on dit à Tante chérie qui vient de t'en administrer une si bonne?»

    Dans la position où il se trouve, son provocant derrière dangereusement exposé, le malheureux sait qu'il n'a pas le choix, il doit répondre. L'insatiable tantine est prête à saisir n'importe quel prétexte pour lui claquer une autre fessée. Comme celui de ne pas répondre à ses questions.

    Clodinet, écroulé, pantelant en travers des cuisses de la forte femme, a du mal a reprendre sa respiration, après la terrible déculottée qu'il vient de subir. Il répond d'un voix chevrotante entrecoupée de sanglots.
    – «Mer... Merci Tan... Tantine... de m'avoir ad... administré cette, cette fess... fessée…»
    – «Cette fessée...  C'est tout??»
    – «Cette... Cette booo-nne fess-éééée, tan... tantine.»
    – «Bon, arrête de pleurnicher comme un enfant. Tu n'as pris qu'un seule fessée pour le moment. Alors articule et répète après moi: Merci tantine de m'avoir administré cette si bonne fessée!»

    Il s'exécute en pleurant. Elle se moque de lui en l'infantilisant.
    – «Non mais regardez moi ça, le pauvre garçon, vingt-deux ans et il pleure comme un gamin parce sa tantine chérie lui a flanqué une grosse fessée, très sévère, pour le punir d'avoir éjaculé sur ses bas nylon. Aller, au coin le vilain cochon!» 

    Il se dirige vers le coin à petits pas ,les chevilles entravées par son short, son slip tendu entre les cuisses. Instinctivement, il place ses mains pour cacher son sexe et reçois une autre claque magistrale sur les fesses qui les fait rebondir douloureusement.
    – «Mets tes mains sur ta tête et ne bouge pas. Et ne te fait pas d'illusion, je suis loin d'en avoir terminé avec tes fesses. Avec moi une bonne séance de fessées, c'est minimum deux ou trois en série. D'ailleurs, Sacha va venir prendre ta place pour la  nouvelle qu'il a méritée.»

    Elle interpelle son fils avec autorité:
    – «Sacha, reviens ici! Tu as dix secondes pour me présenter tes fesses. Au-delà c'est la fessée supplémentaire, tout de suite après celle que je vais te mettre maintenant! Et remonte ton slip, quand maman fesse c'est elle qui déculotte!»

    Le garçon, respectueux des consignes quand on est au coin après une correction, avait pris bien soin de tourner le dos à sa mère pour lui permettre de détailler le mieux possible sa magnifique paire de fesses rebondies que les fessées reçues avaient rendues cramoisies. Cela permettait à Gladys d'adapter le niveau de sévérité  de la suivante.
    – «Je te les amène maman... mais, s'il te plaît, pas encore la grosse fessée, c'est la troisième depuis ce matin... pitié, tu tapes tellement fort.»
    – «Et bien mon cher, c'est moi qui décide, figure toi. D'ailleurs, tu mériterais que je double ta punition pour avoir osé réclamer. Tu sais que je ne tolère aucune demande de clémence  Quand j'annonce une fessée elle est administrée comme je l'ai prévue, sans pitié, du début jusqu'à  la fin.»

    Les deux jeunes hommes, se croisent au milieu de la cuisine. Gladys les regarde avec un petit sourire amusé. Ils se précipitent avec précaution en tortillant du derrière pour essayer d'atténuer l'atroce cuisson de leur fesses, lourdes de  claques, qui rebondissent douloureusement  au rythme de leur pas. Sacha les fesses encore rouges de sa dernière fessée allant chercher la suivante, Clodinet les fesses écarlates, se dirigeant vers le coin pour digérer celle qu'il vient de recevoir.
    – «Allez messieurs, on se dépêche! On enchaîne, on enchaîne!» claironne joyeusement Gladys, comme si elle dirigeait un spectacle. «Ah vous allez vous en souvenir de votre branlette d'hier!» 

    Elle enveloppe d'un regard gourmand la resplendissante paire de fesses de son neveu, qu'elle voit à regret s'éloigner vers le coin, tant elle a pris plaisir à la faire claquer sur ses cuisses. Elles sont si fermes sous la main et si rebondissantes, que du bonheur à corriger.

    Mais ce n'est que le début de son  séjour. Elle a bien l'intention de profiter au maximum de ce solide fessier dont elle va disposer à volonté pendant toute la semaine. A la moindre incartade, la plus petite désobéissance ce sera la fessée. A vingt deux ans , déculotté, fessé et refessé comme un gamin. La honte de la mise au coin, en pénitence, le slip baissé, les fesses écarlates et cuisantes, bien exposées à la vue de tout le monde.

    Clodinet, le nez au mur, entend le tabouret à fessées grincer sous l'imposant fessier de sa tante, alourdi par le poids du corps de Sacha au moment ou il s'allonge, en gémissant, sur ses cuisses gainées de nylon. Il ne le voit pas mais le devine, entièrement soumis à l'écrasante autorité de sa mère, remettant docilement ses fesses à sa main, malgré les deux cuisantes fessées qu'elle lui a déjà administrées. Reins cambrés, il déploie une nouvelle fois son fessier écarlate, livré au vicieux plaisir de maman à le corriger à grandes claques retentissantes.

    Le flagrant délit de masturbation des deux cousins, devant un magazine porno, est le motif idéal pour justifier la sévérité de la séance de fessées. Ils devraient s'en souvenir longtemps. Ce qui sera le cas, au moins pour Clodinet. Attentif à ce qui se passe sur le tabouret à fessée, il entend que tante Gladys est en train de déculotter son cousin. Le moindre bruit résonne dans la pièce carrelée comme le bruissement du slip de nylon glissant sur l'arrondi du postérieur, suivi du claquement sec de l'élastique au milieu des cuisses. Le déclenchement immédiat d'un tonnerre de claques retentissantes le fait sursauter. 

    La deuxième fessée de Sacha vient de commencer, sous ses hurlements et les sarcasmes de sa mère qui n'a aucun scrupule à raviver la cuisson des fessées précédentes. Pour elle un derrière bien corrigé est un derrière sévèrement claqué, fessé et refessé plusieurs fois de suite. L'éclatante  fessée résonne de nouveau dans la cuisine dont les surfaces carrelées amplifient le claquement régulier des fesses de Sacha.Il pleure à chaudes larmes, durement secoué sur les cuisses de sa mère. Elle le harangue  tout en le fessant.
    – «Alors Sacha, dis moi, comment tu la sens ta fessée? Tu la sens bien celle-là hei? Dis que tu la sens bien claquer sur tes fesses!…»

    Sacha répond péniblement entre deux sanglots, la bouche emplie de larmes et de morve mêlées.
    – «Ouiiii... ma maman... tu... tapes tellement fort! Ouaiiiiiie!!! .. je  la sens bien ma... ma fessée! Je la sens bien claquer sur... mes fesssses!!»
    – «A la bonne heure... C'est bon, une bonne fessée claquée par maman. Ça fait du bien, ça chauffe bien les fesses quand elle est bien claquée comme celle là, hein?»
    – «Oh ouiiii  maman, ça chauffe bien les fesses....et ça fait mal! ça cuit! ça cuit!!»
    – «Bien sûr que ça cuit, c'est normal une bonne fessée ça doit chauffer fort les fesses... On dirait même que ça fait bander dis donc, toi aussi!!»
    – «Nooon maman, non c'est pas de ma faute!!!»

    Sacha est terrorisé, il sait ce que ça a coûté à son cousin. Et du coup son érection naissante se rétracte, coupée dans son élan.

    Le nez au raz du sol, il n'a rien d'autre dans son champs de vision que les talons aiguille de sa mère et la couture de ses bas nylon qui soulignent le galbe de ses mollets cambrés. Il n’a guère le temps de s’en émoustiller. Fesse droite, fesse gauche!  Fesse droite, fesse gauche! Sèches et serrées, les claquées crépitent  joyeusement sur son postérieur qu‘il tortille en cadence au rythme soutenu de la terrible correction.

    Clodinet n'a pas besoin de se retourner pour savoir combien tante Gladys doit se régaler à administrer cette deuxième fessée qui s'arrête aussi soudainement qu'elle a commencé.  

    La cuisine semble encore résonner pendant quelques secondes du claquement assourdissant des fesses de Sacha . Gladys le reprend par l’oreille et le force à se relever.
    – «Maintenant va montrer ton derrière écarlate à ton cousin pour qu'il voit l'effet que ça fait de se prendre deux fessées dès le matin, par tante Gladys! Clodinet, tu peux te retourner et regarde bien ce qui attend encore tes fesses!»

    Sacha s'exécute. Le visage défait,  brillant de larmes, les joues  presque aussi rouges que ses fesses, il s'en va les exhiber sous les yeux de son cousin, sans que ni l'un ni l'autre ne souffle un mot. Leur regard apeuré suffit à exprimer leur crainte et leur détresse. 

    La voix impérieuse de Gladys ne leur laisse pas le temps de s’apitoyer sur leur sort.
    – «Sacha tu montes tout de suite! On se retrouve en haut, dès que j'en aurai terminé avec ton cousin! Allez, file!!»

    Il sort précipitamment de la cuisine en pleurant et se tenant les fesses à pleines mains. Gladys le regarde avec un sourire ironique et se retourne vers son neveu.
    – «Mets tes mains sur ta tête et ne bouge pas. Je reviens! Ce n’est pas fini!»

    Clodinet se me met à trembler de tout son corps de honte et de crainte de ce qui va se passer. Il entend ses talons aiguille claquer sur le  carrelage. Il n'ose pas regarder. Et tout à coup une brûlure atroce lui cingle les fesses puis une autre. Machinalement il place ses mains sur ses fesses pour se protéger et se retourne. Elle tient un martinet! Il savait qu'elle en possédait un et qu'elle s'en servait sur son cousin, il lui l'avait dit mais il ne l'avait jamais vu, et encore moins subit.

    Il la regarde en suppliant:
    – «Non ma tante...pitié pas la fessée au martinet! S'il vous plaît! J'ai les fesses encore en feu!» 
    – «Justement elles vont mieux sentir la suivante. Retournes toi mains sur la tête et si tu bouges je t'attache!!»

    Clodinet n'a pas le choix. Il obéit, mort de peur.

    Et les coups de martinet s'abattent sur ses fesses encore rouges et cuisantes de la fessée précédente, sans que cela émeuve un tant soit peu la diabolique tantine. Au contraire elle prend un vicieux plaisir à cingler le volumineux fessier qu'elle fait danser et frétiller sous les volées de lanières. Ça l'excite tantine de voir la rutilante paire de fesses rebondir en cadence, au rythme des allers et retours de martinet.
    – «Tu vois Clodinet, ta tante chérie ne t'a pas menti, on sent toujours mieux sa fessée au martinet  quand on a le derrière bien préparé à la main.»
    – «Oui tantine … oh oui... c'est... c'est  vrai! Vous avez raison! mais, mais vous fessez trop fort ça fait trop mal!!!»

    Gladys, insensible à ce qu'elle appelle des pleurnicheries, continue à lui cuire méthodiquement le derrière jusqu'à ce qu'il s'écroule à ses pieds en criant et en pleurant!! Elle s'arrête alors et lui ordonne de me relever:
    –«Relève toi, enlève ton short et ton slip, tu n'en auras plus besoin, et monte devant moi l'escalier, tu vas rejoindre ton cousin au grenier pour la suite de la punition!» 

    Il obéit instantanément  et monte devant elle, rouge de honte en pensant qu'elle se régale à voir ses fesses écarlate onduler de droite à gauche au rythme de la montée des marches. Il se demande, résigné, ce qu'elle va encore leur faire subir.

     

    A suivre… 

    « Le fil blouse de ma vie, épisode 22 Mamie fesseuse »

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  • Commentaires

    1
    PeterP
    Jeudi 17 Novembre 2022 à 09:34

    Bonjour à tous...

     Quelle aventure ! Décidément, Tante Gladys règne en parfaite impératrice de la fessée !!! Son sceptre ? Sa lourde de main manucurée !!! Son trône ? L'assise puissante de ses sveltes jambes ennylonnées, au galbe parfait !!!  Sa cour ? Deux jeunes pages, émoustillés par les jarretelles résillées de Madame Gladys, la redoutaaaaable tante du jeune Clodinet, son neveu préféré, en vacances chez elle, le temps d'une absence de ses parents. Hélas  pour ces deux jeunes druides de l'onanisme, dont la pratique occasionnelle leur a valu les foudres de l'intransigeante Tante Gladys !! Tantine s'amuse du trouble qu'elle provoque chez les jeunes gens. Elle ne supporte aucune contradiction et pour cela, elle use et abuse de sa prestance et de son autorité pour asseoir son emprise.... Et elle semble bien en passe de réussir. Et vous chers lecteurs, qu'en pensez-vous ? 

    Peter.

    2
    PeterP
    Jeudi 17 Novembre 2022 à 15:48

    Bonjour à tous....

    Tante Gladys de Claquemich'  récolte tous les suffrages. Je vois que nos deux héros-malgré-eux nt succombé au péché de luxure sur papier glacé ! Ô péché ! Ô cruel châtiment ! Remarquez: Gérome a lui aussi ses petits moments de faiblesse ! Quant il espionne sa grande soeur et ses copines par la serrure de la chambre le Jeudi après-midi. Et le p'tit Peter ? Me direz-vous ? Le p'tit Peter ? "- Mon Dieu ! Quelle horreur ! Mon p'tit poussin à sa Maman chérie !!! Feuilleter ces lectures immondes avec toutes ces filles en tenue d'Eve ! Ces... ces Jézabel !! Ces tentatrices !! Je n'ose y penser !!! ".   Si Maman Louise l'apprenait ! Elle en ferait une syncope ! Pensez donc.                                                                                          Peter.

    3
    Samedi 19 Novembre 2022 à 12:54

    Bonjour Peter,

    No comment, je n'aime pas la fessée.

    Paul.



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