• Les aventures ménagères de Catherine

    Ce texte m'a été envoyé par e-mail. Je remercie son auteur, tant pour la qualité de l'histoire que pour le style.
    Tout n'est pas "on topic", c'est-à-dire dans le style de mon site, mais la qualité littéraire est telle que je n'ai pas eu le courage de couper quoi que ce soit.


      

    Je m'appelle Catherine et je suis une travestie ménagère de 40 ans. J'ai voulu écrire ces lignes et les confier à Marie Souillon pour rendre hommage au plus merveilleux homme que je connaisse: Maître Claudius, mon Maître adoré.

    Cela fait maintenant 3 ans que je lui appartiens et ce sont 3 années de bonheur total pour mon humble petite personne. J'ai toujours été attirée par le travestissement, les dentelles, les fanfreluches et les tenues de ménagères coquettes des années 1960-1970 en blouses nylon. J'ai toujours voulu être une jolie ménagère très soignée et tirée à quatre épingles, toujours très propre sur soi et soigneusement maquillée et coiffée pour m'occuper de mon petit intérieur. J'avoue que j'ai toujours été très narcissique et qu'il m'est arrivé plus d'une fois de me trouver plutôt mignonne en me regardant dans une glace.

    Un jour béni entre tous, j'ai fait la connaissance de mon Maître sur Internet. Très rapidement, son autorité naturelle m'a envoûtée et je n'ai plus eu qu'une folle envie, celle de le rencontrer et de lui appartenir totalement. Je l'ai invité pour une semaine dans une petite maison isolée en pleine campagne que je loue parfois. C'est cette première rencontre que je vais raconter et si jamais notre histoire vous plaît, sachez qu'il y en a eu beaucoup d'autres par la suite...

     

     

    Lundi matin. Premier contact avec mon Maître.


    Je suis arrivée dans "ma" petite maison samedi soir, j'y ai fait le ménage de fond en combles et c'est aujourd'hui le grand jour. Je vais enfin rencontrer mon Maître, celui qui me fait rêver depuis un bon moment déjà sur Internet. Il adore les ménagères féminissimes comme moi et il a la même passion des blouses en nylon.

    Je me suis levée très tôt ce matin pour me pomponner et me faire belle pour lui et je suis fin prête pour le recevoir. Je porte un ensemble porte-jarretelles, soutien-gorge et string blancs (j'ai des faux seins en gel de silicone et mon soutien gorge fait un bon 95C), j'ai enfilé des bas blancs brillants, mes escarpins vernis blancs de 10 cm de talons, une mini-jupe en polyester noire, un chemisier à manches longues en satin rose et une blouse en nylon rose très courte, à manches longues, boutonnée devant et à ceinture. J'attends mon Maître, le coeur battant. Quand j'entends sa voiture grimper le petit chemin qui mène à la maison, mon coeur bat deux fois plus fort et j'ai soudain peur... Et si je ne lui plaisais pas ?...


    Trop tard, il frappe à la porte, j'ouvre et aussitôt, je tombe amoureuse de lui; il est si beau, si grand et semble si fort et si viril... Je vais me sentir bien petite et fragile entre ses mains.

    Sitôt entré, sans un mot, il va s'installer confortablement dans un canapé et m'ordonne de lui faire un café. Je n'ose pas lui dire quoi que ce soit et je m'affaire dans le bruissement du nylon et le claquement de mes escarpins sur le carrelage. Tout en sirotant son café, il m'ordonne de marcher et de tourner sur moi-même devant lui, de me pencher en avant sans plier les jambes, de soulever ma blouse et ma jupe pour découvrir mes jarretelles et mon string. Il me fait approcher puis tâte et pelote mon petit clito, mes testicules et mes fesses. Je rougis de honte et il semble apprécier cette pudeur ingénue. Il apprécie également que toute mon intimité soit soigneusement entretenue et épilée.

    Sa réaction suivante me chagrine un peu, il me dit que je suis trop coquette, qu'il va falloir avant tout apprendre l'humilité et il m'ordonne de me déshabiller totalement à l'exception de mon soutien gorge. Pendant ce temps, il va chercher deux grands sacs de sport dans sa voiture. Moi qui avais passé tant de temps à me préparer, je suis un peu déçue mais son emprise est déjà si forte sur moi que je ne peux qu'obéir.


    Il ouvre le premier sac et m'ordonne d'en ranger sur des cintres tout le contenu. Il y a deux blouses en nylon, des tabliers-bavette en PVC, des imperméables en PVC et en plastique, une grande cape en PVC rouge, des gants de vaisselle en caoutchouc rose, des culottes en PVC qui ressemblent à des culottes d'incontinence et une tenue de sudation en PVC rose.

    "Je vais te montrer quelle va être ta tenue habituelle de ménagère soumise."

    Cette tenue va être ma première leçon d'humilité, adieu mes fanfreluches et mes jolies dentelles. Après m'être habillée sur ses ordres, je me retrouve en culotte de PVC blanc; par dessus, la tenue de sudation en PVC rose (pantalon et blouson à manches longues) dans laquelle je flotte car elle doit avoir au moins deux tailles de plus que mes tenues habituelles puis ma jolie blouse en nylon rose bien serrée à la taille (seule concession à ma tenue initiale car mon Maître trouve cette blouse vraiment très mignonne) ensuite, un tablier-bavette à volants en plastique transparent que je dois porter sur ma blouse, un foulard en nylon rose que je noue en fichu sur mes cheveux et enfin les gants de vaisselle en caoutchouc que je dois avoir en permanence accrochés à la ceinture de ma blouse. Quand je me vois au passage dans la glace, je réalise ce qu'est l'humilité à laquelle je vais devoir m'habituer. J'étais une jolie ménagère coquette tirée à quatre épingles dans ses dentelles et sa blouse, presque une petite soubrette à la française, je me retrouve bonniche souillon prête à laver un carrelage à quatre pattes plutôt qu'à servir le thé à des ladies


    Je dois ensuite ouvrir et ranger tout ce que contient le 2ème sac et son contenu me donne des frissons mélangés de crainte, de honte et d'excitation. Il y a dedans des mètres et des mètres de corde, une bonne dizaine de rouleaux de sparadrap, des films plastique d'emballage alimentaire, des bandeaux de latex et de cuir, des foulards, un baillon-boule-harnais, un baillon-pénis en latex, un baillon bizarre composé d'une bonde de douche évidée et de son bouchon en caoutchouc, il y a aussi des sacs-poubelles grand modèle en plastique noir, une sorte de grande housse en PVC transparent, des bracelets de cuir, des chaînes et des cadenas. Je suis sûre que mon Maître observe mes réactions pendant que je déballe et que je range toutes ces "choses" sur les étagères d'une grande armoire. Moi, je n'ose même pas le regarder, sûre de rougir jusqu'aux oreilles.

    Une fois fini, je dois m'agenouiller devant mon Maître et lui réciter mon règlement d'esclave. Il s'agit de toute une série d'articles et de règles que mon Maître m'a envoyé un mois auparavant par e-mail et que j'ai dû apprendre par coeur pour lui réciter dès notre première rencontre. Je sais qu'à la moindre erreur, je serai sévèrement punie. Mais même si on sent la crainte dans ma voix, je ne me trompe pas. Mon "examen d'embauche" est réussi et je vais pouvoir enfin remplir mon rôle d'esclave auprès du plus merveilleux des Maîtres.

     

     

    Premières humiliations et contraintes.


    Mon Maître me fixe des bracelets de cuir reliés par des chaînettes de 10 cms aux poignets et aux chevilles et un collier de chienne autour du cou auquel il accroche une laisse. Midi approche et je vais pouvoir démontrer à mon Maître mes talents de cuisinière. J'ai prévu pour ce premier repas des escalopes à la crème et des pommes dauphines. J'arrive à me débrouiller malgré mes entraves mais au moment où je sors les escalopes du frigo, mon Maître me demande pour qui est la deuxième... Je suis un peu surprise et je balbutie que j'avais pensé qu'on déjeunerait ensemble... Pauvre idiote que je suis. En fait, mon Maître mange bien et copieusement, ma cuisine semble le satisfaire pleinement et moi, je reste au garde à vous derrière lui pour le servir. De temps en temps, il me jette quelques morceaux par terre que je dois manger à genoux sans y mettre les mains et en léchant le carrelage pour ne pas laisser de traces. Heureusement que je l'avais bien astiqué la veille


    Après le repas, je suis évidemment de vaisselle. Mon Maître attache ma laisse aux robinets de l'évier et comme je m'étonne qu'il ne me laisse pas enfiler mes gants de caoutchouc rose, il me répond qu'il les réserve à un autre usage et que je n'ai pas à poser de telles questions. Il trouve de toutes les façons que je suis vraiment une pauvre fille totalement stupide qui ne dit que des bêtises et qu'il n'est pas nécessaire que ma bouche reste libre quand il ne s'en sert pas. Il me fixe donc le baillon-boule-harnais bien sanglé sur ma nuque. Je ne connais pas exactement le nom de ce baillon mais c'est le baillon-boule avec des sangles qui remontent de chaque coté du nez, se réunissent en une sangle unique entre les yeux, sangle qui passe ensuite sur la tête et est bouclée sur la nuque aux sangles principales. Il est assez inconfortable et très humiliant surtout quand on commence à baver comme avec tous les baillons boules.

    Pendant que je fais la vaisselle enchaînée et bâillonnée, mon Maître regarde la télévision. J'avoue qu'à ce moment-là, j'apprécie mon tablier-bavette en plastique qui protège ma blouse en nylon mais je regrette que mon Maître ne m'ait pas autorisé à enfiler mes gants de caoutchouc, le bas des manches de ma blouse est trempé et moi qui suis très maniaque de mes tenues... Mais c'est un défaut que mon Maître dans son immense bonté va rapidement corriger...


    Au cours de l'après-midi, lors d'une petite discussion anodine, j'ai le malheur d'évoquer cette maniaquerie... pauvre imbécile qui aurait mieux fait de se taire... Il m'entraîne alors, toujours en sudisette, blouse nylon et tablier-bavette dans la salle d'eau. Là il me ligote solidement de la tête aux pieds, il me bâillonne sévèrement et me tasse, toute recroquevillée, sur le fond de la douche et il me dit qu'il va me laver à sa manière. Il entreprend alors de me faire pipi dessus, longuement et en prenant soin de bien arroser toutes les parties de mon corps ennylonné, plastifié et boudiné. Son urine chaude coule sur ma blouse et mon tablier, mes cuisses, mes jambes, mes seins et mon visage. Je n'avais jamais connu pareille humiliation et pourtant, c'est à ce moment-là, que je réalise combien j'aime mon Maître. Et ce n'est que le début car s'il m'humilie comme jamais je ne l'ai étée, il ne m'a pas encore torturée et je sens que je vais adorer souffrir pour lui.

     

    Cuisante promenade.


    Après "mon lavage" et après que j'ai macéré une bonne heure dans le pipi de mon Maître, je suis autorisée à prendre une douche froide et à me refaire une beauté. Je suis vraiment heureuse de pouvoir être à nouveau présentable pour mon Maître.


    J'ai lavé ma blouse en nylon, mon tablier et ma sudisette en PVC, j'ai changé de perruque, je me suis recoiffée et remaquillée et mon Maître m'a sélectionné ma nouvelle tenue dont une des blouses qu'il a amenées. Je suis en culotte PVC, en soutien gorge, jambes nues avec des mules en plastique transparent. Tout de suite, je tombe amoureuse de la blouse que je dois enfiler ; elle est en nylon glacé rouge, à manches longues boutonnées, coupée à mi-cuisses, elle se ferme au dos par un long zip qui remonte du bas de mes reins jusque sur ma nuque. Elle a un col officier qui me couvre le cou et deux larges poches sur les hanches. À mon grand regret, elle n'a pas de ceinture étant taillée assez près du corps, mais mon Maître y remédie en me faisant boucler, bien serrée autour de ma taille, une large ceinture en vinyle noir qui tranche divinement sur le rouge brillant de la blouse. Il est environ 17h et mon Maître chéri m'annonce qu'on va aller se promener un peu, bien que le jour commence lentement à décliner et qu'il fasse très humide, on est en automne et il a plu presque toute la journée. "Notre" petite maison est située juste en limite de bois uniquement fréquentés par divers gibiers et de champs qui se reposent après les derniers labours, et les alentours sont parcourus de petits sentiers et chemins totalement désertiques surtout en cette saison. Je dois avouer que je ne suis jamais sortie en fille sauf dans des endroits comme celui-ci et jamais de jour, et je ne suis qu'à moitié rassurée. Je crois que si je devais croiser un promeneur anonyme, je ne pourrais pas m'empêcher de rougir jusqu'aux oreilles. Pour cette promenade, mon Maître m'équipe d'un imperméable en plastique transparent que j'enfile par-dessus ma blouse en nylon rouge. Je dois nouer un capuchon assorti à l'imperméable sur mes cheveux et mon Maître a enfilé son imperméable "Guy Cotten". Il a bourré ses larges poches de différentes choses que je n'ai pas eu le temps de voir. Au moment de partir, il juge que je suis assez mal chaussée pour aller courir les bois. À son grand mécontentement, je n'ai personnellement que des escarpins. Il court donc à sa voiture et ramène une horrible paire de bottes de jardinier en caoutchouc vert. Comme elles font au moins du 44 et que je ne chausse que du 40, je me sens vraiment ridicule et j'ose en faire part à mon divin Maître... Évidemment, c'est stupide et je ne vais pas tarder à payer cette insolence.


    Après avoir bouclé mon collier de chienne soumise par-dessus le col de ma blouse et y avoir fixé la laisse, mon Maître m'entraîne dehors et nous partons sur les sentiers. Nous marchons tantôt à découvert, et je ne peux pas m'empêcher de scruter partout comme si on nous épiait, tantôt sous les arbres qui dégoulinent sur nos imperméables au rythme des sautes du vent. Tout en tenant fermement ma laisse, mon beau Maître m'a enlacée par la taille et nous allons au même pas lent et tranquille, serrés l'un contre l'autre dans un crissement soutenu de plastique et de PVC. Pendant un bon moment, s’il n'y avait pas la laisse pour me le rappeler, j'oublierais presque que je ne suis qu'une esclave. J'ai presque l'impression d'être une épouse sage et obéissante qui marche au bras de son mari chéri et l'écoute dire des choses gentilles. C'est en fait mon adorable Maître qui m'inspire cette sensation, d'abord par la tendresse qu'il semble avoir pour moi et ensuite par les mots qu'il me dit et qu'on n'attend pas dans la bouche d'un Maître. Il tire comme une sorte de conclusion de cette première journée qui s'achève lentement et j'y décèle comme une pointe de sentiment. Ça me plaît énormément et je me surprends à me blottir davantage dans ses bras. Je sais depuis longtemps que la femme qui vit en moi est terriblement romantique et fleur bleue et à ce moment précis, je me sens totalement femme et amoureuse; totalement appartenante et en sécurité.


    C'est également à ce moment précis que je vais vraiment réaliser à quel point mon merveilleux Maître peut jouer les Docteur Jeckill et Mister Hide (ce qui à mon goût le rend encore plus irrésistible et divin). "Ouille !!!", je viens de passer dans des orties et instinctivement je me suis serrée davantage sur mon Maître. Hors, voilà qu'il me repousse dedans. "Aïe aïe aïe, oh non Maître, ça fait mal...". Mon Maître sort alors une cordelette de sa poche et m'attache solidement les poignets dans le dos. Je ne comprends pas ce changement brusque d'attitude et j'essaie avec diplomatie de savoir ce que j'ai fait pour mériter d'être punie alors que cinq minutes plus tôt mon Maître avouait tendrement qu'il me trouvait mignonne et qu'il n'était absolument pas déçu par rapport à nos échanges sur Internet. Pour toute réponse, mon Maître sort un rouleau de ruban plastique adhésif rouge de son autre poche et après en avoir coupé cinq ou six bandes, il me bâillonne en scellant soigneusement et hermétiquement mes lèvres. Il avait prévu la couleur du sparadrap en fonction de ma blouse; mon Maître est un artiste. Sans aucune pitié et en tirant brutalement sur ma laisse, il m'entraîne plus en avant dans la nappe d'orties. Les feuilles lèchent agressivement mes genoux et mes cuisses. Je gémis de douleur sous mon bâillon hermétique. Tout en me promenant dans cette nappe de feu, il m'explique calmement mais d'un ton glacial que je n'ai aucun droit de faire une remarque sur les vêtements et bottes qu'il peut me faire porter, que je ne suis qu'une chose et qu'à ce titre, je n'ai absolument aucune volonté ni aucun souhait à émettre ; que j'ai montré tout à l'heure un incroyable manque de respect et que je devais être punie en conséquence. Au bout d'un moment il me fait asseoir au beau milieu des orties et me retire les bottes pour que mes pieds et mes mollets soient eux aussi dévorés par le feu de ces plantes cruelles. Il me remet debout et c'est vraiment horrible, mes mains, mes cuisses mes jambes et mes pieds cuisent littéralement. Il coupe alors une badine de noisetier et après m'avoir baissé la culotte de PVC sur les genoux, retroussés ma blouse et mon imperméable sur mes reins et m'avoir fait pencher en avant il me fouette vigoureusement la croupe. Chaque coup cinglant me fait sursauter et gémir de douleur et des larmes commencent à couler sur mes joues.


    Des pensées confuses traversent mon esprit, j'ai horriblement mal et pourtant je voudrais que mon Maître libère ma bouche pour que je puisse lui dire combien je l'aime. Je suis sûre qu'à certains moments, mes gémissements sont suffisamment éloquents car je le surprends à sourire à plusieurs reprises. Après m'avoir asséné une vingtaine de coups de badine sur les fesses, mon Maître qui a enfilé des gants de cuir cueille une gerbe d'orties, il les froisse correctement et il en remplit ma culotte avant de me la remonter sur mes fesses et mes petits attributs sexuels... Mes larmes et mes gémissements plaintifs redoublent d'intensité. J'enfile à nouveau mes bottes, elles aussi garnies d'orties et je dois reprendre la marche au côté de mon Maître en étant ainsi torturée. Je ne sais pas comment marcher pour limiter la cuisante douleur qui me vrille les fesses et mon pauvre clito. Mais mon Maître tient à ce que je reste élégante et de violents coups de badine pleuvent sur mon corps dès que ma démarche devient trop grotesque. Un moment, il s'arrête et après m'avoir giflée, il me serre très fort dans ses bras, écrasant ses lèvres sur mon bâillon de plastique adhésif rouge et me pressant très fort le bassin contre le sien de ses mains plaquées sur mes fesses plastifiées. Je sens son pieu viril grossir sous son imperméable et écraser davantage mon petit clito douloureux. Comme je voudrais qu'il m'embrasse vraiment, mon Maître que j'aime tant.

     

     

    De retour à la maison.

     

    Mon bon Maître m'a détachée, retiré mon bâillon et m'a autorisée à retirer mes bottes et à vider ma culotte de PVC de ces horribles orties. Je suis horrifiée en voyant l'état de mes cuisses, de mes jambes, de mon petit clito meurtri et de mes ridicules petites bourses ; toute ma chair est rouge sang et pleine de petits boutons blancs. Je ne sais pas ce qui me chagrine le plus, le feu qui fait bouillonner ma chair ou le fait que mes jambes sont horribles. J'ai peur qu'elles ne redeviennent jamais comme avant. Là, mon Maître montre à quel point il peut être également prévenant et attentif pour sa petite esclave ; non seulement il me rassure en précisant que ce n'est pas la première fois qu'il punit de cette façon une esclave désobéissante, que les traces finissent toujours par disparaître et il va jusqu'à me donner un tube de pommade apaisante avec laquelle je masse tout le bas de mon corps avec délices.


    Ces émotions m'ont brisée et mon merveilleux Maître m'accorde ensuite un petit moment de tendresse et de douceur. Il allume la télévision, s'installe dans le canapé et baisse son pantalon et son slip. Moi je dois enfiler mes gants de vaisselle en caoutchouc rose, les manchettes bien tirées sur les manches de ma blouse, je dois nouer mon tablier-bavette en PVC sur ma blouse et je m'agenouille entre ses jambes. Et je suis pleinement heureuse car je vais enfin pouvoir aimer vraiment mon Maître en lui faisant une longue et langoureuse fellation. C'est pour cette situation, avant tout, que les gants de vaisselle ont été prévus par mon Maître ; il adore que je lui caresse les testicules en ayant les mains gantées de caoutchouc. Mes gémissements amoureux pendant que je le suce lui mettent la puce à l'oreille, il me repousse, soulève ma blouse et tâte mon clito... il est tout gonflé. Sans hésitations, il me gifle méchamment. "Tu sais que tu n'as pas le droit de bander sans mon autorisation ??!!". "Oh oui, Maître, pardonnez- moi Maître mais vous me faites tant d'effet...".


    Ce n'est hélas pas une excuse et je dois me relever et aller chercher le rouleau de plastique adhésif avec lequel il m'enrobe le clito avant de le plaquer et de l'écraser contre mon bas-ventre par cinq ou six tours bien serrés autour de mon bassin. Il remet ma culotte en place par-dessus et m'ordonne de reprendre ma fellation. Je me fiche d'avance de souffrir quand il faudra libérer mon bas ventre et mon petit clito compressé, j'ai eu si peur que ce sparadrap soit destiné à me re-bâillonner et ainsi à m'empêcher de continuer à aimer mon Maître dont le reste m'indiffère et je ne peux retenir mes gémissements d'amour et de soumission quand à nouveau je suis bâillonnée de l'énorme pieu viril et vibrant de mon Maître adoré. Je n'entends même plus la télé, je ne suis plus qu'à mon seul plaisir, celui de faire jouir mon Maître, de l'aimer passionnément. Ma langue et mes lèvres enrobent, embrassent, sucent, lèchent, avalent, aspirent ce divin trésor qui gonfle de plaisir tandis que mes mains caoutchoutées caressent, malaxent, serrent, soupèsent, titillent les testicules gorgés de sève de mon Maître chéri. Combien de temps dure ce pur acte d'amour et de soumission? Je ne sais pas mais je ne suis plus qu'amour et soumission aux pieds de mon Maître absolu quand il laisse enfin exploser son plaisir. C'est avec dévotion que je reçois enfin sa semence dans ma bouche. J'en avale une partie et de son membre dilaté mon Maître me macule le visage et la poitrine plastifiée du reste et de ce qui sort encore de son volcan de chair. Mon petit clito qui est encore brûlant des orties et comprimé dans son carcan adhésif essaie de pousser en vain, il me fait souffrir mais je n'arrête plus de murmurer "Oh mon Maître comme je vous aime... comme je vous aime..."

     

     

    Première soirée, première nuit


    La fin de la première journée se passe dans une relative douceur. Comme pour le déjeuner, je dois préparer le dîner de mon Maître et le servir dans ma tenue classique de soubrette souillon : sudisette, blouse nylon, tablier-bavette en PVC et fichu rose sur la tête et en portant des chaînes aux poignets et aux chevilles et mon bâillon-boule-harnais qu'il me retire quand j'ai le droit de finir ses déchets à quatre pattes sur le carrelage. Ensuite vaisselle, enchaînée à l'évier. Après, j'ai le droit de regarder la télévision à ses cotés mais en étant solidement ligotée sur une chaise et bâillonnée. Avant de nous coucher, et pour que mon Maître adoré puisse s'endormir heureux et satisfait, je dois lui faire une dernière fellation longue et langoureuse. Je suis aux anges quand il m'avoue que je suis une bonne suceuse. Cette première nuit aux mains de mon merveilleux Maître, je vais la passer en tenue de souillon sur un matelas recouvert de plastique, jeté par terre à côté du lit de mon Maître, menottes aux poignets et aux chevilles et la laisse fixée à mon collier de chienne. Avant de s'allonger confortablement, mon adorable Maître jette sur moi mes trois imperméables de plastique en guise de couverture. Cette première nuit va être très longue pour moi ; de toute la journée, mon Maître ne m'a pas permis une seule fois de jouir et je suis si excitée que je n'arrive pas à trouver le sommeil. Je suis toute enveloppée de nylon et de plastique, la semence de mon Maître provoquée par l'ultime fellation et qu'il ne m'a pas autorisé à nettoyer sèche lentement sur mon tablier en PVC et sur l'alèse en plastique de ma couche. Je repense avec délices à tout ce que j'ai subi durant cette première journée et j'ai une folle envie de me caresser. Hélas, le moindre de mes gestes est trahi par le bruissement du nylon et du plastique ainsi que par le cliquetis de mes chaînes. À plusieurs reprises avant qu'il ne s'endorme, mon Maître tire sur ma laisse qu'il tient fermement dans sa main pour me rappeler à l'ordre. Quand il s'endort enfin, je suis toujours autant excitée et j'aimerais que la nuit s'achève tout de suite pour que je puisse à nouveau être humiliée et battue, pour que je puisse être à nouveau sa chose totalement soumise, obéissante et follement amoureuse.


    Une pluie tiède et odorante me coule dessus et pourtant le ciel est bleu et le soleil brille de mille feux. Il me semble bien que je suis ficelée, allongée dans un champ de plastique et qu'un monstrueux sexe rugissant s'apprête à m'assaillir et à me violer brutalement. Et la pluie tiède redouble d'intensité alors que le tonnerre gronde. Un tonnerre qui semble me parler avec autorité et sévérité. Je me concentre pour savoir ce qu'il me dit ou m'ordonne: "Gnasse... Feignasse... Debout feignasse...". Qui me parle ? Il faut que j'ouvre les yeux pour savoir... Il me faut un certain temps pour émerger, pour me réveiller enfin et pour comprendre ma situation. C'est le matin, je suis toujours allongée sur ma couche, enveloppée de plastique, des chaînes aux poignets et aux chevilles, mon Maître est debout à côté de moi, tout nu et il est en train de faire pipi sur moi en m'ordonnant de me réveiller. Ça y est, je suis complètement réveillée et tout de suite une bouffée d'amour m'envahit et dans un réflexe, je me recroqueville et me blottis aux pieds de mon Maître. Il me repousse brutalement. "Tu ne vois pas comme tu es sale et répugnante, connasse, toute trempée de pisse et enduite de sperme séché. Tu te lèves et tu me nettoies tout ça espèce de petite merde !!!"


    La journée commence tristement ; jamais mon Maître que j'aime tant ne m'a insultée comme ça. C'est en étant persuadée que mon Maître adoré ne m'aime plus et la mort dans l'âme que je commence à nettoyer mon alèse et le carrelage autour de ma couche. Je dois le faire enchaînée dans ma tenue dégoulinante, à quatre pattes, en tenant l'éponge nettoyeuse avec ma bouche et sous les coups de martinet de mon Maître. Évidemment tout ce qui dégouline de ma blouse et de mon tablier mouille à nouveau ce que je viens d'essuyer et il serait plus judicieux que je me change avant de laver par terre mais je me garde bien d'en faire la remarque à mon Maître. Il ne semble pas de très bonne humeur ce matin et je ne tiens pas trop à provoquer sa colère et des punitions qui risqueraient d'être particulièrement terribles. J'ai bien raison de penser ça car à ce moment-là, je ne sais pas encore que je vais subir au cours de cette deuxième journée la plus angoissante des épreuves...

     

    Ma toute première momification intégrale.

     

    Je dis la plus angoissante des épreuves même si maintenant une momification intégrale est pour moi la plus excitante et la plus troublante des situations, ceux et celles qui l'ont déjà subi me comprendront sûrement quand je dis que la toute première fois qu'on se retrouve ainsi totalement impuissante, sans défenses et totalement coupée du monde extérieur aux mains d'un Maître à peine connu, on ne peut pas s'empêcher de passer par des sensations frisant la pure panique.


    C'est alors que je finis mon ménage que mon Maître me dit que j'ai mérité un long moment de repos. En fait de repos, c'est l'immobilité la plus totale que je vais connaître pendant presque trois heures. Mon divin Maître m'ordonne de me mettre toute nue puis je dois enfiler mon ensemble porte-jarretelles et soutien gorge que j'avais mis la veille au matin, croyant lui plaire ainsi que mes bas blancs brillants. Mon clito et mes petites testicules restent à l'air mais je dois faire disparaître totalement mes cheveux sous un bonnet de bain en caoutchouc rose et enfiler mes gants de vaisselle. Je dois également nouer mon tablier-bavette en PVC autour de ma taille et de mon cou. Ensuite, je dois envelopper chacune de mes jambes dans un film de plastique alimentaire transparent du haut des cuisses jusqu'au bout de mes orteils. J'obéis, un peu inquiète, ne sachant absolument pas ce que mon Maître va faire de moi. Une fois chacune de mes jambes soigneusement enveloppée, il fait pareil avec chacun de mes bras qui se retrouvent à la fin enveloppés des épaules jusqu'aux bouts des doigts caoutchoutés. À ce moment, je suis debout, je dois placer mes bras le long de mon corps légèrement en arrière, chaque paume des mains plaquée contre l'extérieur de mes fesses. Alors, lentement, avec application, il entreprend d'envelopper tout mon corps dans le film plastique, du haut de mon cou jusqu'à mon bassin. Ensuite il me fait asseoir sur le bord du lit pour pouvoir enserrer mes jambes ensemble de la même façon, de mon bassin jusqu'aux bouts de mes pieds. Celà lui demande beaucoup de temps. Le travail fini, je ressemble à une chrysalide de plastique brillante et transparente. Je me dis qu'il voulait donc me momifier. C'est vrai qu'on en avait parlé par e-mail et que je lui avais avoué avoir toujours été impressionnée à la vue de ces momies vivantes. Je pense que ça y est, je connais ma première momification mais j'avoue que je m'attendais à autre chose de plus..angoissant. Je ne peux évidemment pas m'imaginer que ce n'est que la première étape.


    Mon Maître s'absente un moment et revient avec quatre rouleaux de ruban plastique gris argenté, adhésif et armé. Et il recommence le même travail, lentement, avec méthode et application, du haut de mon cou jusqu'aux bouts des orteils. Et là... La pression est beaucoup plus forte d'abord par la résistance du ruban employé et ensuite parce que mon Maître serre davantage. Chaque tour de ruban chevauche légèrement le précédent si bien que lorsqu'il finit enfin son travail au bout d'un très long moment, il n'y a plus un seul millimètre de mon corps qui soit visible, hormis mon petit clito et mes testicules qui émergent, nus et ridicules, au beau milieu de mon corps momifié. A ce moment-là, mon coeur bat déjà très fort et un sentiment d'inquiétude commence à m'envahir lentement. Sentiment qui ne fait que s'amplifier quand il commence à envelopper ma tête de la même façon que mon corps, d'abord avec le film plastique et ensuite avec le ruban adhésif. Je ne vois et n'entends plus rien. Seules ma bouche et mes narines sont encore libres. Je risque un timide et inquiet "Maître..." qui est presque un S.O.S.; j'aimerais que mon Maître me rassure, je commence à avoir peur. À chaque fois que j'ai "joué" avec des complices de bondage ou que je me suis retrouvée aux mains de dominateurs ligoteurs, j'ai toujours convenu au départ d'un signe pour exprimer quand ça ne va plus, soit à cause de la douleur, soit de l'angoisse. Avec mon Maître, je n'ai pas souhaité lui proposer avant tout parce que pour la première fois, j'avais vraiment envie de m'offrir corps et âme à un homme, d'être vraiment totalement dépendante de lui, de m'abandonner complètement et je lui ai toujours précisé qu'en partant de ce principe, il ne devrait absolument jamais tenir compte de mes éventuelles plaintes ou demandes, encore moins de mes rébellions. Je sais donc que si jamais je lui disais qu'il me libère, que j'ai trop peur, il ne m'écouterait pas... Pour toute réponse, il me serre dans ses bras et m'embrasse passionnément en rajoutant: "N'aie pas peur, je t'aime." C'est tout au moins ce que je crois deviner car tout ce que j'entends est considérablement étouffé par mon bonnet de bain, le film plastique et le ruban adhésif qui écrasent mes oreilles. J'aimerais réentendre ce que mon adorable Maître vient de me dire mais il ne m'en donne pas la possibilité.


    Il m'ordonne d'ouvrir grand la bouche et me glisse un objet métallique entre les dents qui me force à maintenir la bouche grande ouverte. Il sangle des lanières sur ma nuque par-dessus le plastique adhésif et ce bâillon écrase davantage mes lèvres qui sont prisonnières d'une sorte d'ourlet froid et rond. C'est seulement après que je saurai que je suis en train d'étrenner sa nouvelle création de bâillon.Celui que j'ai décris au début de mon récit : "un bâillon bizarre composé d'une bonde de douche évidée et de son bouchon en caoutchouc". Mon merveilleux Maître est un génie lorsqu'il s'agit d'inventer et de fabriquer des objets de contrainte. Il a créé ce bâillon pour transformer son esclave en urinoir ou en machine à fellation. Au moment où il me l'impose pour cette première fois, je ne l'identifie pas mais je me doute bien que ce n'est pas un hasard si mon Maître veut que je garde la bouche grande ouverte. Il sait que l'uro est toute nouvelle pour moi et qu'il me faut peut-être un complément de dressage pour enfin l'accepter totalement. Dans mon esprit, mon Maître me transforme donc en machine à fellation. Mon Maître m'allonge alors parterre sur le dos. Il me semble alors entendre le bruit caractéristique du ruban adhésif qu'on déroule. Je crois l'entendre longuement et à plusieurs reprises. Au bout d'un moment, je ressens des pressions supplémentaires au niveau de mon front, puis de mes épaules, juste sous mes seins, à ma taille, sur mes cuisses, mes jambes et enfin sur mes chevilles. Je ne comprends pas bien ce que fait mon Maître vénéré et c'est seulement quand je veux me tourner un peu sur le côté que je réalise que je suis littéralement scotchée sur le carrelage. Je ne peux plus bouger d'un millimètre, je suis immobilisée comme jamais je ne l'ai étée jusqu'ici. Il n'y a plus la moindre parcelle de mon corps dont je sois maîtresse. Il pourrait m'arriver n'importe quoi sans que je puisse faire le moindre plus petit geste ou mouvement pour l'éviter. Je suis contrainte à la plus stricte immobilité sans pouvoir ni parler ni crier, sans entendre ni voir ce qui peut me menacer. Je me suis souvent retrouvée solidement ficelée de la tête aux pieds, bâillonnée et les yeux bandés, j'ai souvent beaucoup plus souffert avec des cordes qui me cisaillaient la chair et pourtant, je n'ai jamais ressenti une telle impuissance qu'en étant réduite à cette chrysalide scotchée sur le carrelage. Et mon pauvre cerveau commence à s'affoler, à mélanger l'angoisse au plaisir. Le plaisir d'être totalement abandonnée au bon vouloir de mon Maître adoré et l'angoisse d'être peut-être dans les mains d'un dangereux psychopathe (pardon Maître) auquel il suffirait de me boucher les narines pour me tuer sans aucune difficulté ni le moindre effort. Que ceux ou celles qui ont connu une pareille expérience en étant pour la première fois dans les mains d'un Maître à peine connu me disent si ils (elles) n'ont pas ressenti une telle angoisse...

    Celà doit faire presque une demi-heure que je suis momifiée et scotchée par terre quand d'un seul coup, une douleur vive s'attaque à mon pauvre petit clito ; mon Maître le fouette avec le martinet. Je me tortille en vain, mon Maître espace savamment les coups de manière à ce que je ne sache pas quand va arriver le suivant ; c'est tantôt très rapide, tantôt très lent, tantôt léger, tantôt plus cinglant. Je voudrais crier pitié à mon Maître mais je ne peux qu'émettre des sons non articulés que mon Maître finit par étouffer en enfonçant le bouchon de caoutchouc sur la bonde métallique qui me bâillonne. Je sens ensuite quelque chose d'irritant s'enrouler autour de mon clito et de mes testicules puis ce quelque chose d'irritant se resserre doucement mais sûrement sur mon pauvre membre martyrisé; mon Maître est en train de le ligaturer avec une ficelle en sisal. Puis plus rien... Que fait mon Maître ?... Où est-il ?... J'essaie de remuer un peu... totalement inutile. Enfin, au bout d'un long moment, je sens l'air frais à nouveau emplir ma bouche, mon Maître a retiré le bouchon de mon bâillon. Il s'allonge sur moi et je sens son sexe pénétrer ma bouche humide... Quelque chose ne va pas, son sexe semble à l'envers et il me semble bien que ces couilles reposent sur mon nez en m'étouffant à moitié... mon Maître s'est allongé sur moi en 69 et son torse écrase mon malheureux petit clito torturé tandis que son sexe s'enfonce profondément dans ma bouche. Mes lèvres bloquées ne peuvent pas entourer le divin pénis, seule ma langue peut l'épouser et l'aimer. Mon Maître entame un long et lent va-et-vient dans ma bouche et il faut presque que je calque ma respiration sur ce mouvement tant ces bourses m'étouffent quand il enfonce son sexe énorme dans le trou béant, chaud et humide. Je m'efforce de presser son membre contre mon palais en gonflant et en durcissant ma langue. Plusieurs fois son gland heurte le fond de ma gorge et plusieurs fois je manque d'étouffer. Tout en le suçant, j'imagine mon Maître comme faisant des pompes sur mon corps momifié et à chaque fois son torse écrase mon pauvre clito sévèrement ligaturé. Je ne sais pas combien de temps dure cet exercice mais son sexe de plus en plus gros finit par exploser dans ma bouche. J'avale sa semence chaude et salée et heureusement il se retire à temps et finit de répandre son divin nectar sur mon visage momifié car je crois que je n'aurais pas pu tout avaler sans étouffer. Je reste alors un bon moment seule, le coeur battant, la bouche toujours béante. J'imagine qu'à ce moment mon Maître va se laver le sexe et se rhabiller.

    Quand je le sens revenir, la pression sur mon front se relâche, il vient de me libérer la tête et il me retire le bâillon-urinoir. Mes mâchoires sont douloureuses et c'est avec le plus grand plaisir que je peux à nouveau les refermer et les faire fonctionner. J'ai à peine le temps de remercier mon Maître que je sens le contact froid du ruban adhésif sur mes lèvres. Ils les scellent hermétiquement de deux ou trois tours de ruban autour du bas de mon visage puis il re-scotche ma tête sur le carrelage au niveau du front mais maintenant aussi au niveau de la bouche. J'essaie d'imaginer à quoi je peux ressembler. On ne doit plus voir de mon corps que deux trous juste sous le nez et mon intimité exhibée et ligaturée. Je pensais que mon Maître me libèrerait dès qu'il aurait joui, visiblement il n'en est rien et il recommence à jouer avec mon malheureux petit clito. Tout d'abord il le libère de ses liens. Puis je sens un noeud coulant se serrer à la base de mon gland et mon Maître tire cette ficelle vers le haut, étirant cruellement mon pauvre et ridicule petit sexe. Je redoute de sentir à nouveau le martinet le cingler méchamment mais ce qui suit est tout aussi douloureux. Je reconnais tout de suite la morsure des pinces à linge sur mon pénis et sur mes testicules. Je gémis de douleur sous le sparadrap mais il n'y a pas que la douleur, il y a aussi le plaisir et l'amour dans ces larmoiements étouffés. J'ai très peur de ne plus pouvoir retenir ce plaisir qui m'envahit si mon adorable Maître continue de me torturer ainsi. Je résiste, j'essaie de penser à autre chose mais mon Maître m'achève lorsqu'il commence à me masturber. Presque deux jours de plaisir et de jouissance retenus, c'est trop et je ne peux plus tenir... Ça doit probablement être la plus intense jouissance que j'ai jamais connue tant elle est longue et intense et me fait vibrer profondément dans ma chrysalide adhésive...

    Mon Maître m'avait prévenue, quand il me permettra de jouir, ce sera toujours quand je serai immobilisée et il me laissera toujours dans cet état jusqu'à ce que mon désir revienne pour qu'il me sente toujours amoureuse et appartenante sans retenue. C'est difficile quand je suis ficelée dans des cordes et que je ne sens plus que la douleur des liens qui me cisaillent mais dans ce carcan adhésif, c'est presqu'un plaisir. Je me relâche totalement et j'attends ma délivrance par mon merveilleux Maître. C'est si tranquille que je finis par m'endormir, apaisée et heureuse.

     

    Mercredi 8h30


    Ce matin, nouvelle tenue. Et pour la première fois, je fais un peu moins souillon et un peu plus "French maid". Je fais connaissance avec la deuxième blouse apportée par mon Maître. Tout d'abord, je la trouve bien triste et austère. Elle est en nylon bleu marine, manches longues droites, col rond ras du cou, boutonnage devant et ceinture à nouer. Surtout, elle taille du 50/52 alors que je porte habituellement du 44, voir du 46 au maximum ; je ne risque pas d'être gênée aux entournures et ses manches me recouvrent la moitié des mains. Sa coupe est on ne peut plus sage, juste au-dessus des genoux. En dessous, à mon grand étonnement, mon Maître m'a vêtue chic; il m'a fait enfiler ma jolie guêpière en nylon noir et des bas noirs brillants à coutures mais je n'ai pas eu le droit de mettre une culotte. Je porte mes escarpins vernis noirs. Par-dessus, nouveau tablier bavette. Il est lui aussi volanté mais il est en PVC blanc et opaque. Pour achever ma tenue, je porte évidemment mes gants de caoutchouc rose à la ceinture du tablier et j'ai enfilé une charlotte à bordure volantée en PVC transparent sur mes cheveux.

    Mon Maître a invité un autre travesti : Nicole. Il m'en avait parlé par e-mail au cours de nos nombreux échanges. Quand nous serions ensemble, il inviterait des connaissances ; en général des soumises comme moi. Nicole, elle, est soumise face aux hommes mais elle aime dominer les autres travestis. Et mon Maître m'a dit, un petit sourire mystérieux aux lèvres, qu'elle était en général très méchante avec ses soumises. Elle doit arriver vers 9h-9h30. En attendant, je sers le petit-déjeuner de mon Maître. J'ai bien sûr les poignets et les chevilles enchaînés et je porte le bâillon-pénis en latex noir enfoncé dans ma bouche et fermement sanglé sur ma nuque. Mon Maître m'a dit que même si j'étais une bonne suceuse, cela ne m'empêchait pas de m'entraîner sur ce bâillon pendant mon service plutôt que de garder ma bouche bêtement inutilisée et inoccupée.

    Quand Nicole arrive, elle est encore en garçon. Elle dit juste bonjour à mon Maître en m'ignorant totalement et va s'enfermer dans la salle d'eau. Quand elle réapparaît presque une heure plus tard, je la trouve très belle. Elle semble plus grande que moi et elle a des jambes magnifiques et une belle silhouette élancée et mince. Je fais petite boulotte à côté d'elle et mon Maître ne manque pas de le faire remarquer. Nicole n'est visiblement pas considérée comme moi car elle a le droit d'être vêtue avec classe et elle n'a d'ailleurs pas demandé à mon Maître comment elle devait s'habiller. À première vue, il ne la considère pas comme une autre de ses esclaves. Elle est en jupe de cuir noir et en chemisier de satin ou de soie fuschia. Il est magnifique et brille de mille feux. Elle porte une perruque longue, rousse et bouclée et elle est soigneusement maquillée. À ce propos, mon Maître me fait ressembler de plus en plus à une poupée. Ce matin, j'ai dû forcer sur le maquillage et en particulier sur le rouge à lèvres et sur le rose aux pommettes et sur le menton et me faire une mouche au coin de l'oeil droit. Je fais très caricature de poupée.

    C'est seulement à ce moment que mon Maître fait les présentations et il est particulièrement méchant avec moi. Pendant qu'il me présente à Nicole, je dois être à genoux devant eux, tête baissée, et blouse que je dois tenir retroussé pour exhiber mon petit clito nu. Et mon Maître me présente comme étant la plus débile des esclaves, la plus sale, la plus laide, la plus stupide et inculte, la plus feignante, incapable, bonne à rien. Juste un trou à pisse et à foutre. Il me précise ensuite que tant que Nicole est là, je lui appartiens comme à lui... j'avais bien compris.

     

    Cible vivante


    Début d'après-midi, mon Maître et Nicole ont décidé de jouer à la cible vivante. En entendant ça, j'ai tout de suite été très inquiète mais mon bâillon-pénis qu'on m'a remis sur la bouche juste après mon "déjeuner" sur le carrelage m'a empêchée de les questionner sur la teneur de ce jeu. Ils ne vont quand même pas me planter des fléchettes dans le corps ?? C'est Nicole qui m'a préparée pour le jeu. Elle m'a entraînée au grenier et après m'avoir retiré mes chaînes, elle m'a ficelée comme un saucisson les bras dans le dos, de la tête aux pieds. J'ai dû sautiller jusqu'à un poteau qui est au milieu du grenier et contre lequel j'ai dû m'adosser. Elle a voulu commencer à m'y attacher mais mon Maître l'a arrêtée pour d'abord m'enfiler dans une cape en PVC rouge, fermée par un zip devant et m'enveloppant du cou jusqu'au milieu des mollets. Après ils m'ont immobilisée contre le poteau tête comprise avec des lanières de cuir noir.

    Mon coeur bat très fort, j'avoue que je ne suis pas du tout rassurée et je ne sais vraiment pas ce qu'ils vont me faire.

    Mon Maître a monté une bassine et le reste du pain de campagne. Il évide ce pain de toute sa mie épaisse et la pose à côté de la bassine sur une petite table près de l'entrée du grenier. Sous mes yeux écarquillés de surprise, ils entreprennent de faire pipi tous les deux dans la bassine. Une fois fini, mon Maître demande à Nicole si elle veut des gants. Elle veut bien.

    Mon Maître propose: " 10 points les jambes jusqu'au ventre, 20 points du ventre au cou et 50 points le visage, OK ? Et on tire chacun 3 boulettes à chaque fois ?..." Nicole est d'accord. Et le jeu commence. À tour de rôle, ils font des boulettes de mie de pain qu'ils trempent dans la bassine et qu'ils imprègnent bien de leurs pipis mélangés pour qu'elles collent bien sur la cible. Les points sont notés que si la boulette tient bien collée sur mon corps sanglé dans le PVC rouge. Et les boulettes dégoulinantes de pipi pleuvent et se collent sur moi dans un petit bruit mat. À un moment, Nicole réussit à m'en coller une en plein milieu de mon bâillon en latex, ce qui donne immédiatement une idée à mon Maître. "Attends, j'ai une idée, je reviens".Trente secondes plus tard, il revient avec le bâillon-bonde de douche. Il me retire la sangle de la tête, retire mon bâillon-pénis, face à mes jérémiades immédiates contre cet horrible bâillon qui me fait si mal aux mâchoires, il me gifle méchamment et me l'enfile de force en serrant bien les sangles sur la nuque, il remet en place la lanière de cuir qui me plaque la tête contre le poteau et annonce à Nicole, triomphant, "On corse le jeu, 100 points pour toute boulette dans le trou, OK ?" C'est OK pour Nicole qui rit de bon coeur et le jeu reprend pendant que des larmes coulent sur mes joues, générées autant par l'humiliation que par la douleur cuisante des gifles.

    Ce qui doit arriver arrive, Nicole vient de renouveler son exploit et elle vient d'envoyer une boulette en plein milieu de mon humiliant bâillon. La boulette s'est collée sur mon palais avant de tomber sur ma langue. Je suis pétrifiée et je ferme les yeux. "Avale imbécile !" hurle Nicole. Mes yeux suppliants cherchent le regard de mon Maître. Il est impitoyable et me demande si je veux à nouveau une bonne paire de gifles et me rappelle que je dois aussi obéir à Nicole. Elle s'est justement approchée de moi et commence à torturer mon clito et mes testicules à travers le nylon et le PVC en les tordant et en les écrasant dans ses mains. En fermant les yeux très fort, je finis par avaler la boulette de pipi dans un haut-le-coeur. C'est surtout psychologiquement que je franchis ce pas car en ce qui concerne le goût, je dois bien avouer que ça n'a rien de franchement mauvais. Mon Maître semble bien content. Il est probable que pour lui, plus rien ne s'oppose à ma future utilisation en tant qu'urinoir. En réalisant ça, je me dis que je ne savais pas ce qu'être un objet signifie vraiment mais que j'étais en train de l'apprendre.

    Pour la petite histoire, je ne me rappelle plus le score final mais je me rappelle que c'est Nicole qui a gagné et qui a réussi à me faire avaler trois boulettes de pipi contre une seule à mon Maître.

     


    Et le texte finit là...

    « Deux jolies blondesChez Horst Gasthaus »

    Tags Tags : , ,
  • Commentaires

    Aucun commentaire pour le moment



    Ajouter un commentaire

    Nom / Pseudo :

    E-mail (facultatif) :

    Site Web (facultatif) :

    Commentaire :