• La domination par le tablier, jeux cochons avec la nourriture

    Jeux cochons avec la nourriture

     

    Un récit de votre servante Marie-Souillon

     

     

    Avertissement

    Comme tous les jeux de domination, ces jeux ne doivent être pratiqués qu'entre adultes éclairés et librement consentants, dans le respect des règles fixées par avance et des consignes de sécurité.

    Le texte est rédigé en partant du principe qu'il y a une ou des gouvernante(s) en tablier, et un ou plusieurs puni(s) habillé(s) en tenue de servante.

     

     

    Introduction

    Dans la domination domestique, il y a une pratique en tabliers propres, nets, bien repassés, et une pratique bien plus négligée. C'est dans ce cadre que se placent les jeux avec la nourriture.

    Salir avec de la nourriture est très amusant et sans danger. Le principal est de n'utiliser que des produits parfaitement comestibles. Ce genre de jeux est très humiliant pour le soumis, il peut être amusant pour la gouvernante si son caractère s'y prête. Il est préférable qu'il y ait des témoins, d'autres gouvernantes ou d'autres soumis, pour renforcer, justement, l'humiliation. Il ne s'agit pas vraiment de domination domestique, mais, disons, de jeux qui peuvent le compléter dans un sens extrême.

    Les jeux avec de l'alimentation sont une forme de fétichisme recouvrant de nombreuses pratiques caractérisées par l'utilisation de nourriture. On parle de sitophilie (du grec sitos, «blé», sans doute parce que la farine est fréquemment utilisée dans ces jeux), un fétichisme proche de la podiaphilie La nourriture peut être solide ou pas. Lorsque solide, elle est, le plus fréquemment, utilisée pour pénétrer, mais aussi pour décorer le corps. La nourriture est utilisée pour étaler et salir.

     

     

    Équipement et matériel

    Le premier équipement sera, bien sûr, la tenue de la salisseuse. A part pour le jeu de la décoration avec la nourriture, tous les autres jeux peuvent salir la gouvernante, par accident. Il est donc important qu'elle porte un grand tablier de caoutchouc, de PVC ou de plastique, pour protéger ses tabliers ordinaires des salissures.

    Pour le soumis, je préconise le port d'un bonnet de bain sobre, bien ajusté, afin de ne jamais salir les cheveux. C'est la partie la plus difficile à nettoyer ensuite, et puis, si la gouvernante veut faire manger au soumis ce avec quoi il a été sali, cela évite qu'il y ait "des cheveux dans la soupe".

    Pour le matériel, si le jeu se fait dans une cuisine carrelée, il n'y a pas de protections particulières à prévoir, si ce n'est de grandes nappes en toile cirée. Pour y mettre le soumis, une grande bassine de plastique, ou un tub de fer-blanc, une très grande lessiveuse de fer-blanc si on en trouve, une petite piscine pataugeoire gonflable à poser au sol (éviter les dessins idiots, prendre uni de préférence). Pour verser, tous les ustensiles ménagers ordinaires suffisent. On prévoira passoire, chinois, poche à douille, écumoire, rien que des ustensiles très ordinaires. Mais il est possible de trouver d'autres accessoires qui ne soient pas culinaires. Par exemple, un lance-pierre enfantin, en caoutchouc, pour viser facilement en envoyant un petit suisse, ou une poire à lavement.

    Pour la nourriture, il faut en prévoir de grandes quantités, et donc préférer les formats "familial" de plusieurs kilos, que l'on trouve dans des grandes surfaces spécialisées. On privilégiera ce qui salit le plus, qui colle, aussi, donc haricots bien cuits, pâtes bien cuites, choucroute, cassoulet, fromages mous, crème dessert, pour ne parler que des nourritures de base. De la charcuterie aussi, saucisse au mètre, boudin, rillettes, jambon et saucissons. Et, évidemment, œufs, pâte toute faite, farine, chocolat, enfin, tout ce que la salisseuse peut imaginer de plus humiliant pour le soumis.

    La gouvernante peut aussi avoir des recettes salissantes qu'elle fait préparer, avant, par son soumis, ce qui ajoutera à l'humiliation. Si la gouvernante aime les tartes à la crème, il est évident que ce sera au soumis de les préparer.

     

     

    Décorer avec la nourriture

    Pour ce genre de jeu (que les Japonais appellent "nantaimori"), le soumis est nu, placé sur la table de la cuisine que la gouvernante aura préalablement fait recouvrir d'une nappe. La position du soumis variera selon que l'on veut en faire un buffet garni, un petit cochon ou une volaille farcie. Couché sur le dos jambes tendues, il offrira la plus grande surface à la décoration. Mis à quatre pattes, ou prosterné sur ses cuisses pliées, ses avant-bras pliés, avec le cul bien bombu, il sera dans une position ridicule. Couché sur le dos, cuisses relevées bien ouvertes, éventuellement attachées à ses poignets, il montrera tous ses attributs et sera bien offert. Au-delà de ces trois positions classiques, la gouvernante pourra bien sûr laisser libre court à son imagination.

    Une fois le soumis en position, il reste à le décorer de la manière désirée, soit appétissante (s'il y a des invitées et si l'on veut manger sur le corps du soumis) soit ridicule, soit, et c'est le mieux, les deux à la fois.

    Parmi les décorations "obligatoires", il y a bien sûr la bouche et le trou du cul. Pour ce dernier, une saucisse, un petit saucisson, délicatement rentré, et qui en sortira de manière ridicule. Si c'est de la saucisse molle, elle pourra être enroulée ailleurs. Pour la bouche, on peut mettre la même chose, mais, aussi, une pomme de terre ou un autre légume, dans lequel il sera toujours possible de planter des petites décorations. Pour les oreilles et le nez, des touffes de persil mettront toujours une touche de gaité.

    Pour le reste du décor, tout est possible.

    On peut barbouiller le corps de jaune d'œuf, avec un pinceau, et verser de la chapelure, du fromage râpé, qui sera donc ainsi bien collé. On peut coller, aussi, de fines tranches de charcuteries diverses.

    Une autre décoration peut être faite avec de la charcuterie molle, boudin, saucisse de Toulouse, longue de plusieurs mètres, dont on enguirlandera le corps, ou que l'on déposera en tas.

    Et, bien sûr, les décorations avec de la crème, de la mayonnaise, du ketchup, dessins, petits tas, inscriptions si la salisseuse est habile.

    Il n'y a pratiquement pas de limite à ce que l'on peut faire dans ce genre de décoration. Il est bien plus amusant de jouer avec plusieurs gouvernantes et plusieurs soumis pour faire des concours de présentation et rire en commun. Les photos sont les bienvenues pour immortaliser ce moment.

     

     

    La nourriture dans la blouse et sur le tablier

    Humilier son soumis, c'est aussi le salir. Si la tenue bien propre est jolie à regarder, la tenue sale marque bien la position inférieure du soumis, qui devient ainsi une fille de cuisine, une souillon, comme dans le conte Peau d'Âne où il s'agit de "nettoyer les torchons et laver l'auge à cochons". Salir la tenue de son soumis est donc une bonne manière pour sa gouvernante de le rabaisser.

    Si la gouvernante fait porter au puni une culotte de plastique ou de caoutchouc, garnie ou pas de langes, il est possible de pimenter cette humiliation avec de la nourriture dans la culotte. Même si elle ne se voit pas, elle va coller aux fesses et au reste. Il est amusant de mettre, par exemple, de la purée en flocon, qui gonflera si le puni se laisse aller. Sinon, depuis la banane écrasée jusqu'au nouilles bien cuites, tout ce qui peut rentrer dans la culotte est le bienvenu.

    Pour la blouse, je conseille de salir l'intérieur de la blouse qui va être portée à même la peau. Il suffit de mettre la blouse à l'envers, de la tartiner entièrement de quelque chose de bien collant (crème de marrons, confiture) puis de la retourner et de la faire mettre au soumis. Selon ce que l'on va mettre dans la blouse, il peut être utile de l'humidifier au préalable pour ne pas que la nourriture sèche. Pour augmenter l'humiliation du soumis, la gouvernante peut lui faire salir lui-même, agenouillé par terre, la blouse qu'il va devoir enfiler. Si c'est un tablier qui est porté à même la peau, il pourra subir le même traitement.

    Enfin, il convient de salir le ou les tabliers du dessus du soumis. On peut soit lui étaler de la nourriture dessus, soit le faire ramper dans de la nourriture étalée par terre, soit lui faire essuyer les plats avec ses tabliers. Il faut que la gouvernante dose à la fois la quantité (il s'agit d'humilier le puni par sa propre saleté, mais pas qu'il salisse la maison) et l'esthétique (en jouant sur les couleurs, par exemple).

    La coiffe du soumis sera salie de la même façon, comme ses torchons. Enfin, il est possible, si le soumis porte des chaussures fermées, d'y mettre aussi de la nourriture dedans.

     

     

    Entartages et projections

    C'est le jeu avec la nourriture le plus répandu. Il consiste à jeter de la nourriture sur le puni, à lui en faire couler dessus, ou à lui plonger le visage dedans. Il faut, bien sûr, que le lieu soit adapté. Une grande cuisine, un mur libre entièrement carrelé sur un sol carrelé, voilà ce qui sera le plus pratique. Sinon, on doit protéger l'arrière-plan et le sol. Il existe des bâches de protection pour les travaux de peinture, qui feront l'affaire, à condition de la prendre en blanc. Sinon, de la toile cirée au mètre sera plus "ménagère" et plus jolie. Si l'on a besoin d'une table et de chaises, le formica est l'idéal.

    Le jet de nourriture a été rendu populaire par la fameuse "tarte à la crème". Il est vrai qu'une fine couche de pâte, juste assez rigide pour servir de support, mais assez molle pour se déformer une fois arrivée sur sa cible, garnie de crème fouettée, chantilly ou autre, est très pratique et du plus bel effet sur le visage du puni. Mais on peut projeter toutes sortes de choses, au gré de la gouvernante, l'essentiel étant que ce soit mou et collant. La projection peut aussi se faire sur le reste du corps, la question qui se pose étant "nu ou en tablier"? Je trouve plus amusant de projeter sur le corps nu du puni, bien sûr.

    Il est toujours amusant pour la gouvernante de prendre le puni par surprise, et, pendant qu'il se livre à une quelconque corvée ménagère, d'arriver discrètement près de lui et de lui écraser la tarte à la crème, ou toute autre nourriture, sur le visage. Mais il est plus humiliant, je pense, de lui faire subir ces salissages alors qu'il s'y attend. Le déshabillage sur ordre (si la gouvernante désire salir son corps nu), la position imposée ajouteront à son angoisse et à sa honte, surtout s'il voit la salisseuse préparer les ingrédients de son salissage. Pour ce qui est de la position, il est intéressant de le faire asseoir, pour le visage, ou de le faire mettre à genoux, pour le corps entier; les mains sur la tête sont un bon complément à cette position, en le rendant plus vulnérable. Et, pour supprimer toute velléité de se protéger, il est toujours possible de l'attacher. La gouvernante peut alors le barbouiller comme elle veut, lui écraser dessus ce qu'elle désire. Elle peut aussi, à distance, lancer sur lui, par exemple, des petits-suisses sucrés qui lui dégoulineront partout. Le puni peut avoir la bouche ouverte, éventuellement avec un écarteur, pour viser dedans, en faisant bien attention à ne pas l'étouffer. Et, bien sûr, s'il y a plusieurs salisseuses, elles peuvent faire un concours d'habileté...

    Je mets dans le même genre que l'entartage la pratique qui consiste, le puni assis devant une tabler, à lui plonger le visage dans une assiette ou un saladier plein de nourriture, salée, comme des pâtes en sauce bien cuites, ou sucrée, comme de la mousse au chocolat.

     

     

    Immersion dans la nourriture

    Ces jeux nécessitent une grande quantité de nourriture et le récipient approprié. Pour ce dernier, cela peut aller de la petite piscine gonflable en plastique (on la choisira solide, et de préférence de couleur neutre et unie, sans motifs), jusqu'au grand tonneau de plastique dans lequel le soumis peut tenir agenouillé avec juste la tête dehors; la grande baignoire se place entre ces deux solutions. Pour ceux qui ont la place et les moyens, un très grand aquarium permettra d'avoir une vision complète de l'immersion. La nourriture est au choix de la salisseuse, mais ne perdons pas de vue qu'il en faut des dizaines de litres ou de kilos, à acheter, donc, en grands conditionnements, par exemple plusieurs boites de 10 kilos de haricots cuisinés.

    Selon la forme du récipient, l'immersion peut se faire couché sur le dos, ou bien accroupi/assis. Le sali peut être attaché, en prenant bien soin que, en aucun cas, il ne risque d'avoir la tête immergée sans que la salisseuse puisse immédiatement le laisser respirer.

    La durée de l'immersion est au choix de la salisseuse. Elle peut être de plusieurs heures, et pourquoi pas de plusieurs jours (précautions à prendre pour le sommeil, bien sûr, avec un dispositif de sécurité maintenant la tête), les déjections du puni venant alors pimenter la nourriture.

     

     

    Questions et réponses

    - Question. N'est-ce pas mal de gaspiller de la nourriture alors qu'il y a des gens qui meurent de faim?

    Réponse. Prenez du plaisir et soulagez votre conscience en faisant un don généreux à une association humanitaire.

    - Question. Peut-on faire la même chose avec ce que la nourriture devient après son passage dans le corps humain?

    Réponse. Au choix de la gouvernante et du soumis, ce peut être amusant de pimenter le jeu avec de tels additifs.

    - Question. Comment nettoyer ensuite?

    Réponse. Tout d'abord, le puni va se doucher copieusement et, ensuite, vêtu d'un tablier propre, il nettoie tout sous le regard de sa gouvernante. Il ne lui reste plus qu'à laver tous les tabliers.

    - Question. Le puni peut-il manger la nourriture qui a servi aux jeux?

    Réponse. Oui, bien sûr, c'est encore plus humiliant, et puis on ne gaspille pas (voir question 1)

    « J'en suce une, j'en suce deux…Moule poilue et joli tablier »

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  • Commentaires

    1
    Dimanche 17 Juillet 2022 à 11:54

    Entartrages et projections, un jeu qui en effet peut être très amusant



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