Un texte et des dessins de Ramina, que je remercie.

Cuisant tour de chauffe pour les fesses de Robin.

Patricia vient de rentrer en ramenant son frère pris en flagrant délit de désobéissance. Son visage s'illumine devant le croustillant spectacle de son beau-père, en train de recevoir une monumentale fessée déculotté, plié en deux sur la cuisse de sa mère.  Elle lance un clin d’œil complice à Bettina, qui se régale visiblement de la scène, et interpelle sa mère.
– «Maman, je sais que tu n'aimes pas être dérangée quand tu fesses, mais je te ramène Robin... tu sais ou il était en sortant de ses cours?»

Gladys relève brièvement la tête tout en continuant à claquer le derrière, qu'elle fait rebondir sur sa cuisse.
– «Non, chérie,  mais tu vas me le dire.» 
– «Au bistrot, tiens, comme Edouard! Je suis passée devant en sortant de chez les Bellebourges après le cours d'anglais de Gérôme. A propos, il ne s'améliore pas celui -à. Il ne marche qu'à la fessée. Deux ou trois minimum, par page de vocabulaire à apprendre. Du coup je me régale, mais ce n'est pas le sujet... Tu m'écoutes maman?»
– «Bien sûr que je t'écoute ma chérie.»
– «Tu ne peux pas taper moins fort une seconde, ses fesse retentissent tellement que je suis presque obligée de crier pour me faire entendre.» 
– «Tu sais bien que c'est hors de question. Une vraie bonne fessée doit systématiquement claquer très fort. Mais, finit, au lieu de râler, tu l'as trouvé où exactement ton frère?»
– «A l'Olympic, maman! Le bar qui lui sert de quartier général, avec sa petite bande de  vantards, paresseux et insolents. Tout le monde les connaît, les Maxime, Sébastien, et l'affreux  Rodolphe, le cousin de Gérôme qui, lui, n'était pas là évidemment. Avec ce que je lui ai mis sur les fesses pendant son cours d'anglais, il n'avait pas envie de les ramener devant ses copains. Ah ça rigolait bien au comptoir, à arroser je ne sais quoi à la bière pression.»

A vingt quatre ans, forte de son statut de grande sœur, Patricia a obtenu de sa mère l'autorisation de corriger son frère, de trois ans son cadet. Et elle ne s'en prive pas. L'occasion est trop belle. 
– «Ça mérite bien une fessée... n'est ce pas maman et une sévère! s'exclame-t-elle avec envie.»
– «Pour le moment je m’occupe de ton beau père, et je n‘en ai pas encore terminé avec ses fesses.»
– «Alors, tu me laisseras corriger Robin, maman, s'il te plaît! Ça fait  trois jours que je n'ai pas eu l'occasion de le déculotter pour lui mettre une fessée... laisse moi lui en claquer une bonne... tu ne peux pas savoir comme ma main s'ennuie de ses fesses!»
– «Je te comprends ma chérie. Puisque ton frère à mérité une raclée, tu vas commencer par lui préparer le derrière avec une grosse fessée d'échauffement à travers son slip, et tu laissera à Bettina le plaisir de lui flanquer sa première fessée déculotté.»

Patricia fait une moue dubitative.
– «Elle vient de faire ses preuves sur les fesses de ton beau-père, je te garantis qu'elle fesse bien Je voudrais maintenant qu'elle confirme sur celles de ton frère.»
– «Puisque tu le dis, maman.»

Tout en discutant, Gladys continue à claquer le postérieur en feu qu’elle à sous la main, contraignant son propriétaire à exécuter une spectaculaire danse des fesses. Edouard a beau, supplier, hurler, pleurer bruyamment, rien n'y fait, la fessée continue avec la même intensité.
– «Rassure-toi ma chérie, tu n'auras pas moins de fessées à administrer pour autant. Ce sont ces messieurs qui en recevront davantage et plus souvent! Ce qui est excellent pour  leurs fesses qui vont y gagner en fermeté et en endurance... c'est plutôt à notre avantage non?»
– «Effectivement, maman, vu comme ça...»

Patricia se tourne vers Robin, resté debout, à côté d'elle, dans l'attente de sa punition. Il a beau être habitué à recevoir de vigoureuses fessées, il ne peut empêcher ses fesses de frémir d'appréhension au fond de son slip. Sa mère comme sa sœur fessent dur et longtemps, et Bettina, la plantureuse nouvelle bonne avec son charmant tablier blanc, a l'air redoutable.
– «Robin, tu as entendu?» l'interpelle Patricia. «Baisse ton pantalon, tends ton slip sur tes fesses pour qu'elles claquent bien et amène les moi! Je vais te montrer ce que ça coûte les tournées de bière avec tes copains, au lieu de rentrer à la maison après tes cours!»

Gladys surenchérit.
– «Tu n'es pas obligé de faire comme ton beau-père. Tu vois ce qui arrive à ses  fesses!»

Elle ponctue sa phrase d'un retentissant aller et retour sur chaque fesse. Edouard, se cabre en hurlant et manque de s'écrouler au sol. Elle le rattrape par un bras et le remet debout.
– «Au coin maintenant!» ordonne-t-elle en le propulsant en avant d'une formidable claque qui résonne avec un bruit mat au fond de la raie de ses fesses cramoisies. «Et interdiction de te frotter les fesses sinon tu retournes sur les genoux de Bettina pour une nouvelle fessée!»

 Terrorisé, Edouard s'exécute immédiatement.
– «Non chérie, non, s'il plaît, plus la fessée, plus la fessée!!»

Les cuisses entravées par son slip, obligé de tortiller du derrière pour se déplacer, il se précipite à petits pas ridicules vers le coin à côté du canapé. Gladys se ravise et considérant que les fessées sont plus retentissantes sur les surfaces carrelées, décide d'envoyer tout le monde dans la cuisine pour la punition de Robin.
– « Edouard aussi, je veux qu'il assiste à sa déculottée, que ça lui serve d'exemple. Patricia tu te charges de lui chauffer les fesses pour Bettina.» 

 Accompagnée de Bettina, ravie à la perspective d'administrer une nouvelle fessée, Patricia se dirige vers la cuisine en tenant son frère par l'oreille, toujours la même qui commence d'ailleurs à devenir très douloureuse.
– «Avance, Robin, plus vite que ça! Maman a raison, tes fesses vont mieux claquer dans la cuisine.»
– «Noooon Patricia, s'il te plaît!» gémit le malheureux, «pas encore la fessée! J'en ai déjà reçu une ce matin par maman qui m'a déjà bien puni, je ne recommencerai plus!»

En vain… Patricia reste totalement indifférente à ses supplications. Les sentences sont appliquées intégralement, sans états d'âme et au tarif prévu.
– «Ne fait pas ta mauviette Robin et cesse de pleurnicher comme un gamin. Occupe toi plutôt de préparer tes fesses!»

Campée sur ses quinze centimètres de talons aiguille la jeune femme domine son frère d’une bonne tête, ce qui lui permet de le manipuler à sa guise et de mettre aisément ses fesses dans la position qu'elle veut. La même que celle utilisée par sa mère pour corriger Edouard. Elle pose un pied sur le tabouret de la cuisine et, sans difficulté, le soulève du sol pour lui faire arrondir les fesses sur sa cuisse relevée à l'horizontale. Robin courbé en deux est obligé de prendre appui sur l'assise du tabouret  pour tenir la position. Son volumineux postérieur, bien déployé, emplit généreusement son slip de nylon, au point d'en déborder largement des élastiques qui lui rentrent dans la raie des fesses.

– Comme c'est excitant d'avoir à préparer une paire de fesses si bien présentées et aussi solidement culottées,» Ironise Patricia en lui tapotant le derrière. »Ton slip est si serré entre tes fesses qu'il ne va pas en protéger grand chose.»

Et la fessée commence, magistrale et retentissante. La grande soeur se fait un plaisir de claquer l'imposant fessier de son frère et s'y emploie avec une joyeuse énergie. Robin se débat en hurlant son désespoir, puis très vite vaincu, abandonne son derrière à l'éclatante fessée qui retentit dans toute la maison.

Bettina, savoure pleinement le spectacle. Elle attend sereinement son tour, et, en prévision de la trépidante danse des fesses qu'elle va orchestrer sur ses genoux, elle réajuste ses jarretelles qui maintiennent ses bas nylon impeccablement tendus. Avec un petit sourire, elle s'assure, d'un coup d'oeil, de la rectitude des coutures sur ses mollets et rabat son tablier qu'elle lisse sur ses cuisses pour éliminer les faux plis.

Edouard, au coin, nez au mur près du frigo, n'en finit pas de se lamenter sur la cuisson de ses fesses qui viennent de faire connaissance avec la formidable force de frappe de la nouvelle bonne. 

Complètement relâché sur la cuisse de sa soeur, Robin n'a d'autre choix que de se soumettre à sa correction en tortillant du derrière en cadence. Il a beau pleurer et, supplier, jurer lui aussi de rentrer directement, Patricia reste indifférente à ses jérémiades. Elle savoure l'intense chaleur de ses fesses, sous le nylon ultra tendu de son slip qui en attise la cuisson. Encore une crépitante série d'allers et retours et elle se décide à lâcher le resplendissant fessier écarlate. Robin, en larmes, se laisse lentement glisser sur sa cuisse gainée de nylon. Aussitôt au sol, il se met à trépigner sur place comme un gamin en crise, en se tenant les fesses à pleines mains. Sans transition,  Patricia l'envoie immédiatement se repositionner sur les genoux de Bettina.

(à suivre )