• En famille pendant le confinement Épisode 8 Pipi

    Un texte de votre servante, Marie-Souillon. J’ai attendu que le ciel redevienne bleu pour le publier.

     

    Épisode 8 Pipi

     

    Troisième jour, milieu de l’après-midi

     

    J’étais toujours pendu par le harnais, à quelques centimètres au-dessus du sol, les fesses, les cuisses et les mollets cuisants d’avoir reçu le martinet. Mes larmes séchaient, la douleur s’apaisait, laissant la place à ce que j’avais oublié pendant mon supplice: l’envie de faire pipi. Heureusement, je n’étais pas bâillonné.

    - “Mamie, tatie, s’il vous plait, j’ai besoin de faire pipi.“

    - “Ah oui, c’est vrai“, dit ma grand-mère, “avec toute l’eau de cuisson des légumes que tu as bue, tu dois avoir la vessie pleine, mon bébé cochon…“

    - “Eh bien“, dit ma tante, “tu attendras notre permission, tu feras pipi quand on te le dira, et gare à toi sinon!“

    - “Colette“, dit ma grand-mère, “s’il n’arrive pas à se retenir, ce gros cochon, il va mouiller ma cuisine. Je vais chercher une bassine.“

     

    Ma grand-mère alla prendre une grande bassine de tôle, large et peu profonde, qu’on utilisait, dans le temps, pour faire tremper la lessive, une bassine avec deux poignées. Elle la posa au sol à côté de moi. Ma tante, avec la télécommande, m’a remonté, le temps que ma grand-mère pousse la bassine sous moi, puis me redescendit, laissant mes pieds bien à plat sur le sol, avec même une trentaine de centimètres de mou. Ouf, je n’étais plus pendu, elles allaient me détacher. Ma tante libéra mes mains du torchon qui les attachait:

    - “Et n’en profite pas pour te toucher la quéquette, bébé cochon“, dit-elle en riant.

    Je me frottais les fesses, essayant de calmer la cuisante douleur infligée par mon amie Martine, comme elles disaient. Je ne sais pas ce qui se serait passé si j’avais touché ma quéquette, j’aurais sans doute pissé tout de suite.

    - “Je peux aller faire pipi, alors?“

    - “Bien sûr que non“, répondit ma grand-mère, “tu n’as qu’à te retenir jusqu’à ce que ta tante et moi ayons le temps de nous occuper de toi.“

    Et elle se rassirent pour continuer à boire leur café en bavardant à voix basse, à quelques mètres de moi. Je voyais bien qu’elles me surveillaient et se moquaient de moi.

     

    L’envie de faire pipi me faisait oublier la douleur de mes fesses, de mes cuisses, de mes mollets. Ma vessie était pleine à craquer, elle pressait sur tout l’intérieur de mon ventre. J’essayais de prendre une position que me permette de tenir. Jambes écartées? Cuisses serrées? Genoux pliés? Jambes en extension? J’essayais tout, sans succès, sous le regard de ma grand-mère et de ma tante.

    Que voulaient-elles? Que devais-je faire? J’essayai de réfléchir.

    De toute évidence, j’allais finir par pisser, et elles allaient finir par me punir, je ne sais pas comment. La question était alors de me retenir, ou de me laisser aller tout de suite. Je pesai le pour et le contre. Elles prenaient plaisir à me voir me tortiller pour garder mon pipi le plus longtemps possible. Si je me lâchais tout de suite, j’allais les priver du plaisir de voir mon humiliation, et leur donner une bonne raison de me punir sévèrement. Mais plus je tenais longtemps, plus elles riraient de moi, plus je pouvais échapper à une punition sévère. Comme je l’avais fait déjà, je rentrais dans leur jeu, et j’exhibais devant elles ma souffrance et mon humiliation. Et, je dois le dire, quelque part au fond de ma tête, au-delà du calcul, je prenais plaisir à cette souffrance et à cette humiliation.

    Ainsi, je me tortillais, je changeais souvent de position, dans les limites de ce que me permettait le harnais et la chaine, en haut, et les bords de la bassine, en bas.

    - “Mamie, mamie chérie, je t’en supplie, laisse-moi aller faire pipi…“

    - “Je t’ai dit tout à l’heure, bébé cochon…“

    - “Ma tatie, pitié, ne soit pas méchante comme mamie, j’ai trop envie, je n’en peux plus…“

    - “Voyons, bébé cochon, tu as entendu ta grand-mère, c’est elle qui commande ici…“

    Et je gigotais, je me tordais, je grimaçais, je pleurnichais pendant qu’elles riaient de moi. Je serrai les jambes, je plaquais mes mains sur mon bas-ventre pour me retenir. Puis j’essayai autre chose, écarter les jambes, me relaxer, me tenir bien droit. Mais rien n’y faisait, quelle que soit ma position, ma vessie était pleine à craquer.

    Et en même temps, au milieu de la pression de ma vessie, il montait une sorte de plaisir à l’intérieur de moi, le même genre de plaisir que celui que me procurait le plug dans le derrière. Et ce plaisir physique, mêlé à la douleur, qui restait raisonnable, se conjuguait avec le plaisir psychologique de l’humiliation, du spectacle que je donnais, nu, entièrement rasé, attaché debout dans une bassine, gigotant comme une petite fille au lieu d’être l’homme viril que j’étais avant.

     

    Si excitante que soit pour moi mon humiliation, l’impérieuse loi de la nature prit le dessus et, malgré mes tortillements et mes gémissements de pucelle, je finis par me pisser dessus. De ma quéquette molle coulèrent quelques gouttes, puis un jet continu qui fit résonner la bassine en y tombant directement, ou qui coulait sur mes cuisses, que j’avais vite resserrées pour éviter que le pipi ne coule à côté de la bassine. L’odeur âcre de la pisse envahissait mes narines, et pas que les miennes:

    - “Mais il pue la pisse, ce petit cochon“, dit ma tante.

    - “Nous sommes à la campagne, Colette, c’est une odeur naturelle. En tout cas, il s’est retenu longtemps, et pourtant il devait avoir envie.“

    - “C’est vrai, il nous a bien amusées, en tout cas, c’était un plaisir de le voir souffrir. Il doit aimer ça, j’en suis sûre.“

    La bassine se remplissait, je pissais, sans m’en rendre compte, sans rien pouvoir retenir, le liquide coulait sur mes cuisses serrées, sur mes mollets, mes pieds qui étaient déjà presque recouverts de ma pisse. Bêtement, je me demandais combien la bassine pouvait contenir, et si elle n’allait pas déborder. Enfin, ma vessie finit par se vider complètement.

    - “Il s’est pissé dessus, ce bébé cochon“, dit ma grand-mère, il en a plein sur lui…“

    - “Je vais le remonter pour le sécher“, dit ma tante.

    - “Laisse-moi faire, Colette, je vais le sécher, j’ai plus l’habitude que toi, je l’ai fait à toi d’abord, et à lui aussi, d’ailleurs.“

    Actionnant la télécommande du palan, ma tante me fit monter à une dizaine de centimètres au-dessus de la bassine. Ma grand-mère enfila son grand tablier de caoutchouc blanc, prit des torchons et une petite cuvette de plastique, et s’approcha de moi.

    Elle commença à me sécher avec les torchons, en commençant pas ma quéquette, qu’elle essuya soigneusement, ainsi que mes couillettes, avec un mélange de douceur et de fermeté qui, immédiatement, me fit bander. Elle continu, du haut vers le bas, les fesses, le trou du cul, le pli entre les fesses et les cuisses. Quand un torchon était trop humide, elle le mettait dans la petite cuvette que ma tante, à côté d’elle, lui tenait, après avoir enfilé elle aussi son tablier de caoutchouc. Les cuisses, devant et derrière, frottant sur les marques cuisantes du lèche-fesses, les genoux, les mollets, qui étaient marqués devant et derrière par les lanières qui les avaient enveloppés. Puis les pieds, qui avaient trempé dans la bassine, essuyant bien les doigts, passant le torchon entre eux. Pour lui éviter de se baisser, et lui permettant de toujours travailler à la bonne hauteur, ma tante me remontait au fur et à mesure avec le palan. Quand je fus sec, les deux femmes me laissèrent pendu et enlevèrent la bassine, pour la poser derrière moi, sans doute sur l’évier.

     

    Elles revinrent vers moi.

    - “Je le redescends, maman?“

    - “Oui, mais doucement, voilà, doucement… Stop! Je vais vérifier si tout est bien sec.“

    Ma quéquette et mes fesses étaient exactement à la hauteur de son visage. Elle me fit tourner, regarda mes fesses, passa le doigt sur les marques qu’elle m’avait laissées, me faisant frissonner. Puis elle écarta la raie de mon cul, vérifiant si elle était bien sèche au fond, appuya son doigt sur ma rosette, sans pour autant le faire rentrer. Par derrière, passant la main entre mes cuisses, elle caressa mes couillettes qui étaient toutes douces et toutes rasées.

    Puis elle me fit tourner, ma quéquette à la hauteur de son visage, quéquette encore molle mais qui ne demandait qu’à se dresser. Elle s’en approcha, la renifla.

    - “Il sent encore le pipi, ce bébé cochon.“

    Elle approcha sa bouche, m’embrassa la quéquette, gentiment tout d’abord, puis en y mettant de petits coups de langue.

    - “Mais maman“, dit ma tante, “tu ne vas pas le sucer?“

    - “Ma fille, d’abord, je fais ce que je veux. Ensuite, non, je ne vais pas le sucer, comme tu dis, mais il s’est retenu si longtemps, il nous a tellement fait rire avec ses gesticulations, ses tortillements et ses grimaces, qu’il a bien droit à une petite douceur avant sa punition.“

    Un dernier bisou, et ma tante me redescendit au sol, puis m’enleva le harnais, me laissant tout nu, à part, bien sûr, le ridicule bonnet rose qui ne me quittait plus.

     

    Je n’allais pas rester nu bien longtemps, enfin, si on peut dire. Ma grand-mère avait en main un tablier en plastique transparent, jaune pâle, dont je voyais mal la forme.je voyais mal la forme.

    - “Tu veux mettre un tablier comme ta mamie et ta tatie, bébé cochon?“

    - “Oui Mamie“, dis-je humblement, comme si j’avais une autre possibilité.

    - “Maman, jette-le par terre, je veux qu’il ramasse son tablier à genoux.“

    Ma tante cherchait toujours un peu plus de perversité dans l’humiliation. Ma grand-mère jeta le tablier par terre, et je dus m’agenouiller pour le ramasser, puis me relever pour le mettre. C’était un tablier à bavette, il était long aux mollets, il ne se refermait pas sur mes fesses, et la bavette tenait par des bretelles croisées dans le dos, et la bavette, les bretelles, le bas du tablier étaient ornés de festons. Il était décoré de discrètes fleurs blanches, et il était parfaitement ridicule. Et j’étais moi aussi ridicule en le portant, d’autant plus qu’on voyait ma quéquette pendante à travers le devantier.

    - “Je trouve le jaune un pisseux, non, maman?“ fit remarquer ma tante d’une voix moqueuse.

    - “Ça ira très bien pour sa punition“, répondit ma grand-mère. “Va à l’évier, bébé cochon.

    La bassine de tôle pleine de mon pipi était posée sur la paillasse de l’évier. Sous la bassine, deux feuilles de papier essuie-tout et, sur le bord de l’évier, une petite cuillère.

    Ma grand-mère m’attacha la main gauche dans le dos avec la ceinture de mon tablier de plastique.

    - “Tu sais comment est ta tante Colette, elle voulait te fouetter pour avoir fait pipi sans notre autorisation. Mais j’ai pensé que celui qui désobéit pour le pipi doit être puni par le pipi. Tu vas vider la bassine avec la petite cuillère que voici, je mets le minuteur. Et si la moindre goutte de pipi tombe à côté, je la verrai sur le papier essuie-tout, et il y aura une autre punition, tu as compris?“

    - “Oui Mamie, j’ai compris. Je vais me dépêcher de le faire bien. J’ai combien de temps, Mamie chérie?“

    - “Oh, bébé cochon, si je te disais sur combien de temps je règle le minuteur, ce ne serait pas amusant…“

    J’allais protester, quand ma tante, venant derrière moi, me bâillonna avec un des torchons dont ma grand-mère s’était servie pour m’essuyer. Elle mit un deuxième torchon par-dessus le premier, pour faire bonne mesure. L’odeur de mon pipi envahissait mes narines, celle des torchons, celle qui montait de la cuvette pleine.

    - “Allez, bébé cochon“, dit ma tante, “le minuteur est parti, commence à travailler!“

     

    La main gauche attachée dans le dos, les torchons pisseux sur la bouche et le nez, je pris la petite cuillère dans la main droite et je commençais à vider la bassine. Plonger la petite cuillère, la relever au-dessus du bord de la bassine, passer, très doucement, les dix centimètres qui séparaient la bassine de l’évier, renverser la cuillère, recommencer. Le papier essuie-mains, sur les dix centimètres entre la bassine et l’évier, se mouillerait à la moindre goutte et révèlerait ma maladresse. Il fallait donc aller assez vite pour finir à temps, sans que je connaisse, d’ailleurs, le temps, et ne pas salir. Je me demandais combien de litres de pisse il y avait dans la bassine, combien faisait la cuillère, combien de cuillerées il allait me falloir pour tout vider.

    Je sentis sur une main me caresser les fesses, doucement, presque tendrement, mais cette caresse réveillait la douleur des coups de martinet que je venais de prendre. Je ne me retournais pas, était-ce ma grand-mère ou ma tante? Je continuais à vider la bassine, essayant de ne pas être distrait. La main m’abandonna mais, quelques instants après, je sentis le contact du tablier de caoutchouc, d’un corps derrière qui se pressait sur moi, légèrement. Puis, une main se glissa, entre ma cuisse et mon tablier de plastique, pour se poser sur ma quéquette, et le tablier me plaqua contre l’évier, ma quéquette grandissant dans la main qui la tenait. Je continuais, cependant, à vider la bassine, mais il faut bien dire que ces agaceries me ralentissaient. Heureusement, ce petit jeu cessa.

    - “On va changer de main, maintenant“, dit ma tante.

    Ma grand-mère vint m’enlever la cuillère, ma tante détacha ma main gauche, attacha, au bas de mon dos, ma main droite, et je dus prendre la petite cuillère dans la main gauche pour continuer mon humiliante vidange. Il fallut que je me tourne un peu, pour être plus à l’aise, mais j’étais maladroit, et de temps à autre, un peu de pipi gouttait de la petite cuillère et tombait sur le papier essuie-tout. Mais la bassine se vidait, j’allais presque arriver au bout quand le minuteur sonna.

     

    Je ne m’étais pas fait d’illusion, j’avais bien compris que mes Tourmenteuses avaient arrêté le minuteur dès qu’elles avaient compris que montait en moi l’espoir d’avoir fini.

    - “C’est fini, bébé cochon“, dit ma grand-mère, “ou plutôt, tu n’as pas fini à temps, bébé paresseux.“

    - “Et en plus“, continua ma tante, “tu en as fait couler, le papier essuie-tout est tout tâché. Il va falloir te punir et pour ta paresse, et pour ta maladresse. On le fesse encore, maman?“

    - “Mais non, la punition d’un pisseux doit rester dans le pipi.“

    Les deux femmes prirent la bassine où il restait un fond de pipi et la posèrent par terre, devant une chaise. Puis ma grand-mère me détacha la main droite et enleva les deux torchons pisseux qui me bâillonnaient. Elle s’assit sur la chaise, dégagea ses pieds nus de ses socques, et les posa au fond de la bassine, dans mon pipi.

    - “A quatre pattes, bébé cochon, viens me lécher les pieds, tu n’es pas dégoûté par ton pipi, quand même? Ce sera ta punition pour ta paresse!“

    Je dus me mettre à quatre pattes, le cul nu à l’air, dans mon tablier de plastique jaune, les mains devant la bassine, la tête au-dessus. Ma grand-mère pataugea ses petits pieds potelés dans la bassine, puis les sortit, dégoutants de pisse. Ma tante me surveillait.

    - “Qu’est-ce que tu attends? Lèche les pieds de ta grand-mère, bébé cochon!“

    Le pied s’agitait devant moi, je sortis la langue pour le lécher, dessus, puis dessous quand ma grand-mère l’inclina pour me présenter la plante, puis entre des doigts. Mon pipi était âcre, mais pas trop, parce que j’avais beaucoup bu. Rouge de honte, je léchais le pied pisseux, à quatre pattes, le cul en l’air, bien heureux, d’ailleurs, que ma tante n’en profite pas pour me fesser encore. Quand j’eus fini le pied gauche, ma grand-mère me tendit le pied droit, sur lequel je dus m’humilier comme sur l’autre. Et quand j’ai eu fini, ma tante me tendit un torchon propre, et je dus bien essuyer les deux pieds de ma grand-mère.

    - “Je peux me relever, maintenant, Mamie? Qu’est-ce que je fais du torchon?“

    C’est ma tante qui répondit.

    - “Laisse tomber le torchon dans la bassine, bébé cochon. Tu sais comment on appelle ça, lécher les pieds? On appelle ça faire petit-salé, eh bien, tu as l’air très doué pour le petit-salé pisseux. Et puisque tu as léché les pieds de ta grand-mère en punition de ta paresse, maintenant, tu vas lécher les miens en punition de ta maladresse“.

    Elle s’assit sur le siège que ma grand-mère lui céda complaisamment, sorti les pieds de ses sabots de plastique, et me les mit sous le nez pour que je les renifle.

    - “Tiens, embrasse-les avant que je les mouille!“

    Ce que je fis, puis elle les fit barboter dans le peu de pisse qu’il restait, et je dû, comme je l’avais fait pour ma grand-mère, les lécher, sucer les orteils et boire le pipi que je ramassais avec ma langue, puis les sécher avec un autre torchon que me donna ma grand-mère, et laisser le torchon dans la bassine, où il trempa avec le premier. Ma grand-mère y mit aussi les deux avec lesquels j’avais été bâillonné.

     

    - “Ramasse la bassine, va la poser sur la paillasse“, dit ma grand-mère. “Puis tu enlèveras ton tablier de plastique, tu remettras ta blouse rose, et tu remettras ton tablier par-dessus. Ta punition est finie mon bébé cochon, nous allons te laisser tranquille. Tu peux aller t’asseoir sur le canapé.“

     

    à suivre…

     

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  • Commentaires

    1
    Lisa
    Vendredi 15 Octobre 2021 à 20:00

    Une punition méritée du bébé cochon

    il a dû bien subir une humiliation en léchant les pieds de ses tourmenteuses

    c'était bien mérité comme punitions

    à lire la suite de ses aventures



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