• Abécédaire fantasmatique de A à L

     Abaissage

    L'abaissage fait partie des châtiages. Il consiste, pour la pénitente, à être écrasée sous le poids d'une ou plusieurs de ses maîtresses.

     

    Les abaissages les plus courants sont :

    • Le trônage, ou nez-au-cul : la maîtresse s'asseoit sur la figure de la pénitente. C'est ce qu'on appelle couramment "face-sitting" ou "queening".
    • La longanisse : la maîtresse se couche de tout son long sur l'esclave, dans le même sens qu'elle. Elle a donc son visage au-dessus du sien, ce qui permet des bisous, ou des crachats.
    • Le pied-au-nez : comme la longanisse, mais la punisseuse est couchée à l'envers, les pieds sur le visage de la soumise. Celle-ci respire donc la bonne odeur de ses pieds. La punisseuse peut écarter les jambes de la soumise, bien sûr, pour ne pas avoir ses pieds sous le nez.
    • Le ventron : la maîtresse est assise sur le ventre de la pénitente. Il y a deux variantes, selon que la maîtresse tourne son ventre (ventron culier) ou son dos (ventron nichonnard) vers les pieds de l'esclave. De plus, elle peut ou non s'empaler sur sa saucisse. Une variante du ventron est l'immobilisation classique (pinning)
    • Le duo : c'est un ventron et un nez-au-cul, par deux maîtresses. On peut faire aussi un trio ou un quarté, en rajoutant des écraseuses.
    • La brochette : plusieurs maîtresses (on peut aller jusqu'à 6 ou 7) sont couchées en travers de l'esclave.
    • Le plat-ventre : l'esclave est couchée sur le ventre, la maîtresse s'asseoit sur ses reins, tournée vers ses pieds. Elle peut en profiter pour la fesser ou lui chatouiller les roqueforts.

    Aisselles

    Les maîtresses ont du poil sous les aisselles, et elles ne se les rasent pas.

    Comme ça, leurs belles touffes sous les bras gardent les bonnes odeurs de transpiration, et quand les servantes les tètent, elles sont empuanties par la sueur de leur nourrice. Tout le monde aime les bonnes odeurs, et celle-là en fait partie.

    Les maîtresses aiment aussi se faire lécher sous les bras, et plus elles ont transpiré, plus elles sont sales, et meilleur c'est.

    Ce fétichisme s'appelle l'axilisme : (de axilia : aisselles).


    Alèse

    Les alèses (ou alèzes, les deux orthographes sont correctes) sont de grands draps de caoutchouc.

    On les utilise pour coucher les pissous, les garçons pisseux, et les filles pisseuses. On ne tache pas le matelas, comme ça, et on peut les laisser baigner dans leur pisse tant qu'on veut.

    On se sert également des alèses comme protection quand on donne un lavement, et qu'il risque d'être relaché, ou quand on fait pipi ou caca sur une pénitente.

    On peut aussi se servir, bien sûr, d'une nappe en toile cirée. L'avantage de l'alèse, c'est qu'elle tient bien plus chaud, et donc qu'elle est bien plus inconfortable pour la punie.


    Bâillon

    Le bâillon, punition bouchière, est un complément au saucissonnage, au pilori, au piquet ou à toute autre pénitence. Il peut aussi s'infliger seul, la servante étant libre de tous ses mouvements. La servante doit pouvoir respirer à son aise, gémir, mais pas parler.

    Il existe deux types de bâillons torchonneux classiques.

    • Le bâillon gentil se fait avec un torchon, qui ne doit pas rentrer dans la bouche, mais seulement la fermer.
    • Pour le bâillon sévère, un torchon roulé en boule est d'abord mis dans la bouche. Le bâillon est de préférence humide et sale, il doit sentir mauvais. On utilise donc pisse, merde, fromage, laitages, etc...

    Les maîtresses utilisent aussi des bâillons spéciaux, comme:

    • La boule de plastique qui obture la bouche
    • L'anneau de plastique, qui oblige la servante à garder la bouche ouverte, et qui permet de lui cracher dedans,etc.
    • La languette, un bâillon assez méchant
    • La pince à linge

    Le bâillon peut être complété par un bandeau sur les yeux, fait de la même façon. Il peut venir compléter un bouchimentage.

    Pour remplacer le bandeau ou le bâillon, la servante peut avoir sur la tête une cagoule en toile à torchon. Celle-ci est percée de deux trous pour les narines.


    Bidet

    Les bidets sont très utilisés, mais pas pour se laver les miches ni le camembert, qui doivent toujours rester sales. Ce sont des bons gros bidets de porcelaine, assez solides pour soutenir le poids de plusieurs personnes.

    Les maîtresses n'utilisent jamais une cuvette de WC, mais se mettent souvent sur un bidet pour faire leurs besoins. Elles peuvent chier et pisser à l'aise, et leurs crèmes pourront servir ensuite. Elles peuvent également prendre un bain de siège dans la soupe qui sera ensuite donnée à manger aux servantes, ou dans leur boisson.

    Souvent, elles profitent de leur séance de bidet pour prendre une servante sur les genoux et lui donner la fessée, combinant ainsi deux plaisirs délicats : chier et en faire chier à une autre. Elles aiment aussi, sur le bidet, se faire lécher les roqueforts ou la tarte.


    Billot


    Le billot de boucher est un élément de mobilier très pratique.

    Plus petit qu'une table, mais solide, il peut servir à pencher une servante pour la fessée, ou pour le ligotage.

    Il peut aussi servir de desserte pour toute sorte d'objets.

    Bien sûr, il n'est lavé que très exceptionnellement, et le bois reste gras de tout ce qui est passé dessus.


    Blouse

    Les blouses et les petites robes-blouses (ou robes-tabliers) sont les seuls vêtements utilisés par les maîtresses et par les servantes. Elles font parties du linge d'office et sont assorties aux torchons.

    Les blouses sont des blouses de travail, blanches, roses, bleues, en coton ou en toile bleue un peu forte. Elles sont unies, ou avec des motifs genre carreaux torchons, vichy.

    Elles descendent jusqu'aux genoux environ, ou même plus bas. Certaines ont des manches, courtes ou longues, d'autres pas.

    Toutes sont boutonnées, soit devant, soit derrière, mais pas sur le côté. De même, les fermetures éclairs ne sont pas autorisées. La plupart des blouses ont une ceinture, nouée.

    Il existe également des blouses en Nylon, longues et à manches, pour faire transpirer les servantes.

    Les robes sont des robes légères, style campagnard, en coton. La longueur peut aller du genou à la cheville. Les motifs sont plus divers que pour les blouses : rayures, ou motifs se rapportant à la cuisine, mais sobres.

    La blouse est la base de l'emblousage.

    Une blouse spéciale sert à immobiliser les servantes. Sur les côtés, au niveau des cuisses, il y a des poches spéciales, fermées par des coulisseaux, pour y renfermer les mains. D'autres coulisseaux, à la hauteur des cuisses, des genoux, dans l'ourlet du bas, permet de serrer les jambes et donc d'entraver la pénitente.
    Cette même blouse a sur les manches des passants qui permettent d'y introduire des baleines, afin d'empêcher la pénitente de plier les bras, ce qui est très incommode pour elle. Ainsi, elle peut travailler, mais elle ne peut toucher son propre corps.

    Une autre blouse est découpée derrière d'un rond derrière, pour toujours laisser les miches visibles.


    Bock

    Le bock est le matériel le plus utilisé pour donner des lavements.

    Il y en a de toutes sortes, en plastique ou en métal émaillé, et de toutes capacités, depuis le petit bock d'un demi-litre, pour les lavements de confort, jusqu'au bock de trois litres, pour les lavements punitifs. On préfère les bocks en métal émaillé, qui sont plus classiques que ceux en plastique. Ils sont plus lourds, mais on ne les tiens pas à la main, il y a toujours des crochets pour les pendres.

    Le bock a un robinet sur lequel on branche un tuyau et une canule.


    Bonniches

      Abécédaire fantasmatique de A à L

     

     

     

     

     

     

    Les esclaves sont les bonniches des maîtresses. J'écris bonniche et pas boniche, mais certains préfèrent cette dernière orthographe, qui est même peut être plus correcte.

    Pour humilier un garçon en bonniche, on le traite parfois de bonnichon. Les terminaisons bonnichette, plutôt gentille, et bonnicharde, plus humiliante, sont aussi utilsées.

    Le fait d'habiller une esclave en bonniche est le bonnichage, et l'esclave est alors bonnichée.

    Il ne faut pas confondre la bonniche, utilitaire, avec la soubrette, décorative.


    Bottes

    Il arrive que les maîtresses mettent des bottes aux pieds. Il s'agit toujours de bottes courtes, basses, plutôt des bottines, en caoutchouc blanc, ou de couleurs claires. Elles doivent être faciles à mettre et à enlever.

    Les esclaves peuvent ainsi, facilement, venir renifler leurs pieds qui ont transpiré et mijoté dans le caoutchouc. Parfois, les maîtresses mettent dans leurs bottes du fromage, pour que la puanteur des pieds soit encore plus forte.

    Il est possible, aussi, de faire mettre de telles bottes aux servantes, avec par exemple des pois-chiche à l'intérieur, pour rendre leur marche difficile et douloureuse.

    Les maîtresses et les servantes mettent aussi des mules.


    Bouchavonnage

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    Le bouchavonnage est ce qu'on appelle en anglais "mouthsoaping". Cela consiste à laver la bouche de la punie avec du savon, en pain ou bien liquide. La méthode la plus fréquente consiste à lui faire garder un morceau de savon dans la bouche, ce qui la force à baver en faisant des bulles.

    Le bouchavonnage fait partie des pénitences bouchières. La serveuse est la spécialiste de cette punition de bouche.


      Bouchère

    La Bouchère, Colette, la moins dodue de toutes les Saucissonneuses, est aussi la plus gentille.

    C'est une brune, assez mince (75 kgs), ses nichons sont les plus petits de toutes les Saucissonneuses, 105C seulement. Sa tarte est rasée, mais elle a de grosses touffes sous les aisselles.

    Elle est souvent vêtue d'une blouse vichy bleue, avec par dessus un tablier blanc de boucher, c'est à dire ne couvrant qu'un seul nichon, en biais, et sur les cheveux, une coiffe. Sinon, elle porte des tabliers plutôt propres et mignons.

    Elle est gentille avec les servantes, et toujours souriante. C'est d'ailleurs la plus douce de toutes. Elle adore faire des chatouilles, et elle est très experte dans ce domaine. La punie qui tombe entre ses mains va gigoter, se démener sous les doigts fins de la chatouilleuse, et rire jusqu'à pleurer. La Bouchère aime aussi jouer à la nounou.


    Bouchière

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    Bouchier, bouchière désigne ce qui se rapporte à la bouche (buccal ou buccale est plus correct, mais moins amusant).

    Une pénitence bouchière est une pénitence qui se fait sur la bouche de la servante, comme le bâillon, le bouchimentage, le bouchivonnage. Le léchâge, la mangerie, le gavage sont aussi des punitions bouchières.

    Comme les Maîtresses ne sont jamais cruelles avec les saucisses et les boulettes, ni avec les tartes pour les servantes femelles, ni avec les nichons, beaucoup de punitions sont des punitions bouchières. 


    Bouchimentage

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    Le bouchimentage est ce qu'on appelle en anglais "hotsaucing". C'est une punition qi consiste à mettre dans la bouche du puni un produit comestible qui pique bien et qui chauffe bien la bouche:

    • moutarde
    • harissa
    • préparation à base de piment

    Le bouchimentage peut être fait de deux façons principales:

    • La punisseuse enduit un torchon de substance piquante, force la punie à ouvrir la bouche (avec un bâillon écarteur, par exemple), et frotte la langue et l'intérieur de la bouche avec le torchon.
    • La punisseuse met dans la bouche un morceau de substance piquante, et fait refermer la bouche, avec ou sans bâillon. Une variante consiste à faire une glace piquante, et la laisser prendre sa température dans la bouche de la punie.

    On s'assure, bien sûr, que la punie n'est pas allergique, que ça ne provoque pas de lésions, et qu'elle n'avale pas....

    Le bouchimentage fait partie des punitions bouchières, c'est le pendant du gingembre mis dans le camembert. La serveuse est la spécialiste de cette punition de bouche.


     Boudinage

    Les boudinages sont les pénitences où l'esclave est traitée comme un boudin, comme une chose, une victime. La punisseuse devient une tourmenteuse. Il n'y a jamais de cruauté ni de sadisme, ni de douleur réelle, le tourment étant essentiellement l'humiliation, l'inconfort, et la honte qui va avec.

    Il y a par exemple:

    Le boudinages sont faits surtout par la Tripière, la Charcutière, la Pâtissière.


    Boudinières

    Les maîtresses sont appelées " Boudinières". D'abord parce qu'elles ne sont pas très jolies, elles sont grosses, les hommes les traiteraient facilement de "boudins". Ensuite parce qu'elle sont souvent boudinées dans leurs blouses et leurs tabliers serrés. Enfin, parce qu'elles aiment jouer avec la charcuterie, et traiter leurs esclaves, à leur tour, comme des petits boudins.

    On peut dire aussi "Boudineuse", et c'est presque un synonyme de "Saucissonneuse".


    Bourrelles

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    Comme c'est le féminin de "bourreau", qui est un mot trop dur, on n'utilise pas trop ce mot de bourelle pour les maîtresses, et pourtant il est excitant... Mais les Bourrelles ne sont jamais là pour exécuter ni pour torturer, juste pour faire semblant. Souvent, l'esclave est traitée comme un cochon, que l'on fait semblant de traiter à l'abattoir.

    On utilise aussi le terme de "Tourmenteuse".


    Branlette

    La branlette fait partie des gâteries que les Maîtresses font aux servantes ou qu'elles autorisent les servantes à se faire entre elles.

    La branlette est toujours douce, il ne faut surtout pas abimer la saucisse ni lui faire mal. La main de la branleuse peut être beurrée ou graissée pour que ça glisse mieux. La branlette peut aussi être faite dans un torchon, qui sera alors toujours humide et sale.

    La Charcutière est la spécialiste des branlettes, mais la Bouchère, par gentillesse, en fait aussi.


    Brosse

    La brosse fait partie des fessoirs.

    C'est un instrument très pratique pour les fessardages. D'un côté, la Maîtresse peut fesser une surface assez large, sans se faire mal à la main, et en visant bien l'endroit qui recevra le coup, sans risque de marquer les fesses. Et, de l'autre côté, les poils peuvent être utilisés pour frotter les fesses, soit avant, pour les rendres plus sensibles, soit après, pour les rendre plus douloureuses.

    C'est pourquoi les servantes craignent beaucoup les fessées à la brosse.


    Camembert

    L'anus, le trou du cul se dit le camembert, le troufignon, la rosette, l'échalotte, l'oignon, le trou-qui-pue, le trou-qui-pète. Il doit être, chez les Maîtresses comme chez les servantes, toujours un peu sale et odorant.

    Les pénitentes n'on jamais le droit de s'essuyer le camembert après leurs besoins, elles doivent rester merdeuses, dans leur culotte ou sous leur blouse.
    Rien ne doit sortir du camembert des servantes sans la permission des Saucissonneuses, ni pet, ni merde, ni lavement reçu. En faire sortir quelque chose sans autorisation mérite une punition.

    Le camembert sert à des pénitences culières comme le lavement ou l'enculade. Pour cette dernière pratique, on utilise aussi le joli verbe "troufignonner".


    Caoutchouc

    Le caoutchouc est une matière utilisée pour les vêtements et pour diverses choses. Mais les jeux qui sont pratiqués ne sont pas vraiment le genre "gummi" comme disent les Allemands.

    Le coton, bien sûr, est ce qu'il y a de mieux, il peut être sali, être gras et humide. Mais souvent le caoutchouc est pratique parce qu'il tient chaud.

    On utilise donc des tabliers en caoutchouc, des coiffes, aussi. Les Maîtresses mettent des tabliers de caoutchouc pour se protéger quand c'est nécessaire. Une lavementeuse portera souvent un tablier de caoutchouc, surtout pendant l'expulsion. Une fesseuse, aussi, si le cul de la pénitente est merdeux et, aussi une langeuse, pour nettoyer les jambons.

    Mais le caoutchouc sert surtout pour les pissous, on en fait des culottes et, bien sûr, des alèses.


    Chaisonnage

    Le chaisonnage est un saucissonnage bien confortable.

    La pénitente est assise sur une chaise, et saucissonnée dans cette position. Ses mains sont attachées:

    • dans le dos au dossier de la chaise,
    • ou bien aux bras si c'est un fauteuil,
    • ou tout simplement devant.

    Ses pieds sont attachés devant aux pieds de la chaise.

    C'est dire si c'est confortable et, en plus, la servante échappe à la fessée.

    On peut donc laisser saucissonnée la pénitente un bon moment, et en profiter, par exemple:

    • pour la gifler doucement,
    • pour la faire manger comme un bébé,
    • pour lui tripoter les pâtés, si c'est une fille.

    Et pour bien d'autres choses aussi. On peut aussi, tout simplement, la laisser là, et la gifler ou lui cracher dessus chaque fois qu'on passe devant, par exemple, ou lui faire ainsi d'autres petites misères. Le chaisonnage devient alors beaucoup moins confortable.


    Charcuterie

    La nourriture comprend beaucoup de produits de charcuterie:

    • Saucisses molles : saucisse de Toulouse, saucisse de ménage, saucisse italienne. Elles sont en chapelets ou bien longues, à découper, on les laisse alors enroulées sur elle-mêmes.
    • Saucisses sèches, longues ou courtes, droites ou recourbées, parfaites pour les petites enculades.
    • Saucissons, gros ou petits, plutôt pour bourrer la tarte que le camembert.
    • Andouilles et andouillettes.
    • Boudins noirs très longs.
    • Salami, c'est un gros saucisson sec, pour rouler sur les servantes.
    • Mortadelle, c'est un gros saucisson.
    • Chair à saucisse, pour tartiner et étaler.
    • Lard et saindoux.
    • Pâtés et rillettes.
    • Jambon cuit et autres charcuteries à la tranche.

    Elle est conservée au frais, bien sûr, mais régulièrement sortie en avance pour être à température ambiante.

    Cette charcuterie est utilisée pour enculer les servantes, pour les fesser, pour les décorer avec et les rendre ridicules. Bien sûr, on la mange aussi.


    Charcutière

    La Charcutière Maryse est la plus belle des Saucissonneuses. C'est la principale Maîtresse, celle qui commande en chef.

    C'est une rousse (1,72 m) bien grasse à la peau bien blanche, laiteuse. Elle est grassouillette (85 kgs), avec un gros cul, des seins de 120D environ, qui tiennent encore assez droit, une taille assez fine. Elle a des touffes de poils roux sous les aisselles, et une motte fournie. Elle sent une odeur de rousse, un peu particulière, forte et fade à la fois.

    Elle est généralement vêtue d'une blouse blanche sans manches, un grand tablier à bavette par dessus, rose, avec un torchon blanc à grands carreaux rouges sur la tête.

    Elle est vicieuse, mais pas brutale. Elle aime branlotter les servantes, elle le fait très bien, et peut les exciter pendant longtemps sans leur permettre du plaisir. C'est quand même, après la Serveuse, la plus sévère des Boudinières.


    Châtiage

    Les châtiages comprennent toutes les pénitences corporelles qui ne rentrent pas dans des catégories comme la fessée, les pénitences culières, les saucissonnages :

    • Des pinçons pas trop forts sur les joues, les miches ou ailleurs.
    • Des autres coups légers : coups de torchon, partout, frites sur les fesses, gifles, sans violence, sur le visage.
    • Le pétrissage ou l'aplatissage avec un rouleau à patisserie, ou un gros salami.
    • Les pimentages: harissa ou moutarde forte de Dijon sur la peau, oignon pour faire pleurer.
    • Les applications sur la peau de choses chaudes, pour la rendre sensible: torchons chauds, crèpes.
    • Les frictions à la toile sur la peau, pour la faire rougir.
    • Les punitions bouchières comme le bouchavonnage et le bouchimentage.

    Chatouilles

    Les chatouilles sont une pénitence comme une autre. Les Maîtresses chatouillent surtout la plante des roqueforts, mais aussi les côtés et toutes les parties du corps qui s'y prêtent. C'est la Bouchère qui est la grande spécialiste de cet exercice, la meilleure et la plus perverse des chatouillatrices. On appelle chatouillatrice la tourmenteuse qui fait les chatouilles.

    Les chatouilles sont faites à la main ou avec un autre instrument, comme par exemple une raclette à pâte, en caoutchouc, directement sur la peau ou à travers du linge (tablier ou torchon mis à cet effet).

    Il est préférable, pour les chatouilles, d'attacher la pénitente pour qu'elle ne puisse pas se débattre. La bâillonner pour arrêter son rire est aussi intéressant.

    Des chatouilles caressantes et très gentilles peuvent constituer une gâterie.


    Chiarde

    La chiarde est une chaise percée qui sert pour la tinette, ou pour les besoins tout simplement. Le siège est confortable et rembourré, recouvert de toile à torchon. Il est percé d'un grand trou. Sur ce trou, on peut fixer un grand entonnoir en plastique blanc, dont l'ouverture inférieure est ovale et de la taille d'un visage.

    La servante se couche sous la chaise, la tête soutenue par un coussin, juste au bout de l'entonnoir. Si nécessaire, un torchon roulé sert à l'étanchéité. Ainsi, elle est dans le noir, et ne peut échapper au cul qui est au-dessus d'elle. Les pets lui arrivent sans perdre leur odeur. La pisse et la merde lui tombent sur le visage quoi qu'elle fasse.

    La chiarde peut être utilisée sans cet accessoire, ce qui permet de voir le spectacle.


    Cochonneries

    Les Maîtresses et les servantes sont adeptes de la coprolalie, c'est à dire des gros mots, des mots crus, des cochonneries, quoi. Il s'agit de bien faire honte aux servantes.

    " Tu aimes ça , salope !", " Vas-y, je suis ta salope… " sont dans toutes les bouches. On utilise aussi des noms d'animaux comme grosse truie ou grosse vache.

    Les suffises sont très importants:

    • "asse", comme connasse, pétasse, pouffiasse, grognasse, est une terminaison très sale et très dégradante.
    • "ette", comme torchonnette, en plus gentil, quoique tinette ne soit pas très agréable
    • "euse" désigne celle qui agit, comme une fesseuse, une pénitenceuse, une lavementeuse
    • "ière" s'utilise comme "euse"

    Coiffe

    Les coiffes font partie du linge, et elles complètent la tenue des Maîtresses et des servantes. Personne n'a la tête nue, et il faut toujours porter une coiffe qui peut être :

    • Une coiffe de serveuse ou de vendeuse, mais suffisament couvrante pour que la plupart des cheveux soient cachés.
    • Un bonnet, comme en portent les ouvrières dans les endroits où on fabrique la nourriture.
    • Une charlotte à l'ancienne, ce qui est la coiffe la plus ridicule.
    • Un torchon assez grand, noué sur la tête, soit derrière, soit avec le nœud devant, comme un madras.

    Toutes ces coiffes sont en coton. Si une saleté, une tinette par exemple, doit être faite sur le visage de la servante, elle peut porter, sous la coiffe, un bonnet en caoutchouc.


    Comptines

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    Pour bien humilier les servantes punies, les Maîtresses peuvent les forcer à chanter des comptines.
    Ce sont des comptines enfantines avec des paroles spécialement écrites pour être humiliantes. La bonniche, pendant qu'elle est punie, fessée, doit chanter la comptine. Si elle se trompe dans les paroles, si elle chante faux, si elle ne tient pas le rythme, sa punition sera rallongée d'autant.
     

    Il y a aussi des comptines dédiées à chacune des Maîtresses. Vous trouverez deux pages spécialement consacrées à ces comptines.


    Couche

    Les couches font partie du linge, et les Maîtresses mettent souvent des couches aux servantes pour les traiter comme des bébés, et pour qu'elles fassent pipi et caca dedans. Après, bien sûr, elles seront punies.
    Les Maîtresse aiment bien jouer comme ça à la nounou.

    Les couches sont tenues par une culotte, bien sûr, si possible en caoutchouc.
    Cette pénitence est le langeage.

    Le fétichisme des couches s'appelle autonepiophilie.


    Crachat

    Le crachat est une humiliation très appréciée. Il fait partie des pénitences bouchières.

    Il peut se faire sur le visage de la servante, ou carrément dans sa bouche.

    Un crachat de salive est plutôt gentil, un gros crachat vert est plus sévère.

    Les Maîtresses appellent les servantes quand elles ont envie de cracher, et quand une servante est saucissonnée, elle viennent souvent lui cracher dessus, juste pour le plaisir.


    Crémerie

    Les produits de crèmerie comprennent les produits frais et les fromages.

    Les produits frais sont:

    • de la crème fraiche, de la chantilly ;
    • des produits laitiers frais : fromage frais, fromage blanc, faisselle, yaourts, petits suisses.

    Ils servent à barbouiller les servantes, et à les salir.

    Les fromages sont tous les fromages mous ou puants :

    • fromages mous : fromage fondu, fromages à tartiner, reblochon, brie
    • fromages forts : roquefort, camembert très fait, bleu, munster, cancoillotte.

    Ils sont utilisés comme les autres produits laitiers, et aussi pour donner aux baillons une bonne odeur.


    Crémière

    La Crémière, Josiane, est une Saucissonneuse imposante.

    C'est la plus grosse des Saucissonneuses après la Tripière; elle fait 95 kgs. Elle a des nichons énormes, avec de gros bouts, qui donnent du lait. Ils font un peu plus de 130E, et ils tombent assez joliment. Elle est brune, avec un gros cul, beaucoup de ventre.

    Elle est habituellement vêtue d'une blouse bleue avec un grand tablier blanc, une coiffe sur la tête.

    C'est une Saucissonneuse très maternelle. Elle aime se faire têter, et elle fait tirer son lait comme ça par les servantes ou par d'autres Saucissonneuses. Elle se plait à langer et câliner les esclaves comme des bébés. Elle aime aussi donner des fessées à la main, couchant sa victime sur ses genoux, puis l'envoyer au piquet.

    Elle est plus méchante que la Cuisinière, mais moins que la Tripière.


    Cuisine

    Les Maîtresses font la cuisine et les servantes les aident.

    Les servantes se chargent des choses simples ou sales: éplucher, laver, pétrir, etc… Elles font aussi la vaisselle, bien sûr, et elles nettoient après.

    Les Maîtresses se servent de leurs esclaves comme de torchons : elles s'essuient les mains sur elles. Certaines opérations, au lieu d'être faites sur la table, sont faites sur le ventre ou sur le dos d'une servante : pétrir la pâte par exemple.

    Les plats les plus appréciés sont la choucroute, les farcis, tout ce qui peut se manger salement, sans couteau ni fourchette. Les sauces sont très appréciées, surtout avec de la crème fraiche.

    Les servantes doivent parfois manger salement les plats, ce qui est une pénitence, la mangerie.


    Cuisinière

    La Cuisinière Clarisse est une belle négresse, d'un beau café au lait foncé. C'est la seule, parmi les Saucissonneuses, à être de couleur.

    Elle a un gros cul de noire, des nichons fermes et pointus de 120D, et une grande bouche avec des lèvres épaisses. Elle est presque aussi grosse que la Crémière (elle pèse 90 kgs), et sent une forte odeur de négresse.

    D'ordinaire, elle met une robe-tablier à carreaux et un grand tablier blanc par dessus, avec un torchon noué sur la tête, comme un madras.

    Elle n'est pas très méchante, mais elle a la main leste. C'est cependant, après la Bouchère, la plus gentille des Maîtresses. Elle aime se faire aider par les servantes pour les basses besognes.


    Culière

    Culier, culière désigne ce qui se rapporte au cul, qu'il s'agisse des miches ou du camembert.

    Une pénitence culière est une pénitence qui se fait sur le cul de la servante, comme la fessée, l'enculade, le lavement.

    Comme les Maîtresses ne sont jamais cruelles avec les saucisses et les boulettes, ni avec les tartes pour les servantes femelles, ni avec les nichons, beaucoup de punitions sont des punitions culières.


    Culotte

    Les culottes sont le sous-vêtement le plus porté par les Maîtresses et par les esclaves.

    Elles sont toujours en coton, blanc ou à petits carreaux vichy. La plupart sont grandes et sages. Il existe aussi des culottes fendues. Certaines sont fendues devant, pour le léchage, la branlette ou le bourrage de tarte. D'autres sont fendues derrière, pour l'enculade ou la fessée. Bien sûr, une culotte peut avoir les deux fentes. Sur certaines culottes, les fentes sont boutonnées ou fermées par des petits liens.

    Il existe aussi des culottes en caoutchouc qui servent pour le langeage.

    Bien sûr, les culottes doivent toujours être sales et négligées, et surtout bien odorantes. Les maîtresses font des fois pipi ou caca dans leur culotte, pour le plaisir de se faire nettoyer ensuite.


    Dévotion

    Abécédaire fantasmatique de A à L

     La dévotion est une humiliation que la servante fait seule. La servante se met à genoux, et embrasse ou lèche l'objet de dévotion. On fait des dévotions pour :

    • Blouse ou robe : la servante doit l'embrasser à l'intérieur et à l'extérieur avant de la mettre. Elle doit faire la même chose après l'avoir enlevée.
    • Tablier : il faut embrasser le tablier, soit le devantier, soit le devantier et la bavette s'il en a une, et l'extérieur. On le fait en le mettant et en l'enlevant.
    • Torchons : la servante doit embrasser le torchon chaque fois qu'elle s'en est servie, à l'endroit qu'elle a le plus utilisé.
    • Socques et mules : on embrasse l'intérieur en les mettant et en les enlevant.
    • Objets divers : la servante doit embrasser tous les objets qu'elle donne à une Maîtresse, et tous ceux qu'une Maîtresse lui donne.

    Emblousage

    Emblouser, c'est faire un emblousage, c'est à dire habiller quelqu'un de blouses et de tabliers.
    La personne qui habille l'autre est l'emblouseuse, celle qui est habillée est l'emblousée.

    Un bon emblousage se fait avec au moins une blouse et un ou deux tabliers superposés, mais un emblousage plus sévère peut comporter beaucoup plus, par exemple:

    1. Une blouse de coton à manches courtes
    2. Une blouse de nylon à manches longues
    3. Une blouse de coton à manches longues, boutonnée dans le dos
    4. Une chasuble
    5. Un tablier à bavette très enveloppant
    6. Un deuxième tablier à bavette
    7. Un tablier-taille assez grand
    8. Un deuxième tablier taille par dessus

    Le tout complété, bien sûr, par une coiffe et peut-être un torchon noué par dessus, des bottines de caoutchouc, des gants de ménage... et en-dessous par un langeage.

    L'emblousage est une forme légère de saucissonnage...


    Enculade

    L'enculade est une pénitence culière très humiliante. Mais elle ne doit pas dilater le troufignon jusqu'à faire mal : elle doit seulement gêner et rendre ridicule.

    La servante peut être enculée avec :

    • le doigt, c'est un doigtage, qui peut être très gentil
    • une petite saucisse ou un petit saucisson
    • le manche du martinet s'il n'est pas trop gros
    • le manche d'une cuillère en bois ou d'une touillette
    • un petit godemiché.

    Dans tous les cas, l'enculoir et le trou doivent être graissés avec de l'huile, du beurre, de la graisse ou du saindoux.

    Exiger de l'esclave des mouvements ou des travaux avec le cul comblé est très amusant.


    Ensaucissage

    L'ensaucissage est la pratique qui consiste à s'enfiler dans le con (la tarte) ou dans le cul (le camembert) une saucisse, un saucisson, un salami, du boudin, enfin, de la charcutaille en guise de godemichet. Le nom de ce fétichisme est la "botulinonie".

    Les Saucissonneuses adorent  pratiquer sur elles-mêmes ou sur les servantes l'ensaucissage, à titre de récompense ou de punition, selon la taille de la saucisse utilisée. Bien sûr, la même saucisse ou le même saucisson peut être utilisé plusieur fois, passer de la tarte de l'une au camembert de l'autre, puis être sûcé et réutilisé. Et, à la fin, on le mange, une fois qu'il a été bien assaisonné par ses différents passages entre les cuisses des unes et des autres.


    Entonnoir

    L'entonnoir est un ustensile très pratique. Il a deux utilisations, tout aussi désagréables pour la pénitente lors des pénitences.

    L'entonnoir peut servir à donner directement un lavement. Il suffit de le rentrer dans le camembert, et de verser directement le liquide. La quantité qui pourra rentrer est faible, mais c'est très humiliant.

    L'entonnoir peut aussi servir à faire la même chose avec la bouche. C'est très amusant, surtout avec de la pisse. Il peut aussi servir à gaver la servante pendant une mangerie.

    Les Maîtresses se servent de l'entonnoir avec toujours beaucoup de précautions, pour ne pas faire mal ni étouffer la servante.


    Etendage

    Une fois que les torchons ou les tabliers sont bien sales, les servantes les lavent (à la main, bien sûr).

    Et il faut ensuite les étendre pour les faire sécher.

    Il n'y a rien de mieux, pour ça, que des les pendre sur une servante.

    Sans doute, les torchons mouillés sur la tête de l'esclave sèchent moins vite, mais ça n'a pas d'importance, le temps de pénitence peut toujours être allongé.


    Fessage

    Le fessage est l'opération qui consiste à donner la fessée, et la fessée est donc le résultat du fessage.

    C'est pourquoi on dit "Donner la fessée", et "Faire un fessage".


    Fessardage


    Le fessardage consiste à donner une fessée méchante, une vraie punition. La pénitente a le cul nu, elle est attachée ou mise dans une position déplaisante. Pour le fessardage, la main ne suffit pas, il faut des fessoirs. Le martinet, la corde à linge doivent être utilisés. Ou bien un torchon mouillé bien essoré, une bonne tranche de viande crue, qui fait le même effet que la main sans être douloureuse pour la fesseuse. Celle-ci peut aussi prendre sa pantoufle pour corriger les fesses offertes, ou une brosse, enfin, il y a bien des fessoirs possibles pour un bon fessardage.

    Les fessardages sont souvent pratiqués par la Pâtissière et la Serveuse. Elles les font précéder d'une confession de la servante, ou d'une humiliation comme de ramper ou marcher à quatre pattes.

    Rarement, les maîtresses pratiquent l'urtication : la flagellation aux orties.

    Au contraire, le fessouillage est une fessée tendre et maternelle.


    Fessée

     

    La fessée est la plus courante des pénitences. Elle est donnée exclusivement sur les fesses, les cuisses et les mollets. Elle ne doit pas laisser d'autre trace qu'une légère rougeur. Son but n'est pas de faire mal, mais d'humilier. Il existe deux manières de fesser : le fessouillage et le fessardage.

    La fessée est donnée avec des instruments appelés les fessoirs.

    Elle est reçue sur la chair nue, sur les vêtements, ou sur un torchon posé sur la peau pour la circonstance.

    Toutes les positions sont bonnes pour la donner, toutes les pratiques annexes sont bienvenues pour la pimenter.

    La fessée est le résultat de l'acte de fesser, qui est le fessage.


    Fesseuse


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    La Punisseuse qui donne une fessée est appelée une fesseuse; si elle donne une fessée gentille, c'est une fessouilleuse, et une fessardeuse si c'est une fessée sévère.

    On dit aussi claqueuse, rougisseuse de jambons ou de miches, claquerette... Les termes de fouetteuse, flagellante, flagellatrice sont trop cruels pour les punitions domestiques, mais ils peuvent être employés pour l'excitation et l'humiliation.


    Fessifiée

    La punie qui reçoit la fessée ne peut pas être appelée, elle aussi, "fessée", on confondrait (l'anglais est plus simple avec spanking, spanker et spankee).

    On l'appelle donc la fessifiée ou la fessagée.

    Fessifiée se termine comme cocufiée, crucifié, mortifiée, ce qui montre bien qu'elle est passive et soumise. Fessagée vient tout simplement de "fessage".


    Fessoir

    Les fessoirs sont les instruments avec lesquels on donne les fessées. Ce sont :

    • La main nue, sèche ou mouillée, voire gantée de caoutchouc.
    • Le martinet, à lanières en cuir.
    • La badine, c'est une fine baguette flexible en plastique.
    • Une corde à linge en plastique pliée plusieurs fois.
    • Un torchon mouillé et essoré.
    • Un tablier plié et roulé.
    • Une belle tranche de viande.
    • Une saucisse dure, ou un saucisson.
    • Une touillette, une cuillère, une spatule, le tout en bois.
    • Une tapette ou tape-tapis
    • Un attendrisseur à viande, en bois.
    • Une mule, une socque ou une pantoufle.
    • Une brosse à lessive ou à vaisselle.
    • Mais aussi le strap ou le tawse, pour les amateurs d'éducation anglaise
    • Etc, toutes les idées sont les bienvenues...

    Attention, plus un fessoir est dur et étroit, plus il est douloureux, il faut donc régler la force du coup en fonction du fessoir utilisé. 


    Fessouillage

    Le fessouillage est une manière de donner la fessée. Celle-ci est conçue comme une humiliation plus que comme un châtiment.

    La fessée est donnée doucement, à la main ou avec un torchon, sur le cul nu ou bien sur le tablier ou la culotte. La servante doit être traitée comme une enfant : en travers des genoux de la fesseuse, après avoir demandé pardon. La pénitence pourra être entrecoupée de caresses, les fesses rafraîchies avec un torchon mouillé, etc…

    Les fessouillages sont surtout faits par la Crémière et la Cuisinière. Après la pénitence, la servante est souvent langée ou caressée, nourrie gentiment au sein, au biberon ou à la bouillie, comme un petit bébé.

    A l'inverse, le fessardage est une fessée sévère.


    Fricotage

    Le fricotage, c'est quand un garçon rentre sa saucisse dans la tarte d'une fille. Il est très réglementé, et ne se fait que sur l'ordre d'une Saucissonneuse.

    Le plus souvent c'est le garçon qui est dessous, dominé par la femme, qu'elle soit servante ou Maîtresse. L'esclave qui est dessus peut être fessée pendant le fricotage, ce qui permet de lui donner la cadence.

    Les esclaves fricotent parfois attachées l'une et l'autre, ce qui est très amusant. Elles peuvent aussi être collées l'une contre l'autre, avec du jaune d'œuf, ou bien barbouillées de quelque chose pour se salir mutuellement.


    Gaminage

    Un gaminage est une pénitence gentille, dans laquelle les servantes sont traitées comme des gamines.

    Les principaux gaminages sont:

    Les gaminages sont faits, surtout, par la Bouchère, et par la Pâtissière.


    Gants

    gant

    Les gants sont fréquemments utilisés par les Maîtresses comme par les servantes.

    Ce sont des gants de ménage en caoutchouc, des gants de vaisselle, et parfois des gants plus fins en latex.

    Les gants ne sont pas là pour se protéger, non, mais pour renforcer le caractère humiliant d'une action ou d'une tâche.

    Les Maîtresses peuvent mettre des gants, par exemple, pour faire une branlette.
    Si une servante est obligée par sa punisseuse de porter des gants pour faire quelque chose, ce n'est pas pour lui éviter de se salir, mais pour que la pénitence soit plus pénible.


    Gâterie

    Une gâterie est une récompense que les Maîtresses font à l'esclave sage. Elles sont accordées au gré des Boudinières, sans règle précise.

    Les principales gâteries sont:

    • La branlette faite par une esclave ou par une Maitresse.
    • Le fricotage avec une autre esclave, ou exceptionnellement avec une Maîtresse.
    • Les caresses, les léchages, les bisous faits par une autre esclave, ou exceptionnellement par une Gardienne.
    • La tétée aux nichons d'une Maîtresse ou d'une autre esclave.
    • Les chatouilles très douces et très caressantes.
    • Le langeage, alors la servante est couchée et calinée.
    • Une mangerie de chose délicieuse, donnée par une maîtresse à la cuillère ou au biberon.

    En pratique, il est difficile de distinguer certaines gâteries d'une vraie pénitence...


    Gingembre

     gingembre.jpg

    Le gingrembre pelé, mis dans le camembert (en anglais, "figging") constitue une punition culière qui est l'équivalent du bouchimentage. Il peut venir en complément de la fessée.


    Gouvernante 

    Parmi les maîtresses, il peut aussi y avoir une gouvernante anglaise. Stricte robe noire, grand tablier blanc, la gouvernante, bien que domestique, a autorité sur toute la domesticité femelle, voire mâle. Elle sait user de son autorité par de sévères fessées.

    La tenue de la gouvernante se distingue de celle des autres maîtresses par le fait qu'elle ne porte pas, sous le tablier, de blouse, mais une stricte robe noire aux parements blancs.

    De plus, le mot "gouvernante" est souvent employé à la place de "maîtresse", parce qu'il a un aspect plus "domestique", plus "ménager", et moins solennel.


    Honte

    La honte est un grand plaisir, pour les Maîtresses, qui prennent un grand plaisir à humilier les servantes, et pour les pénitentes, qui trouvent un délicieux plaisir dans la honte.

    On leur fait honte par des mots, des insultes, des attitudes, des pénitences, par tous les moyens possibles et imaginables.

    Les servantes doivent rougir et pleurer de honte, et elles doivent s'humilier et se faire honte elles-mêmes, en restant sales, et en s'accusant de toutes leurs fautes, dont elles doivent demander pardon avec humilité et bassesse.

    Pour bien matérialiser cette honte, elles restent le plus souvent possible à genoux, et les yeux baissés. Elles ne font rien sans demander l'autorisation des maîtresses, et respectent scrupuleusement le règlement, qui est là pour les humilier encore plus. Elles font les dévotions aux Maîtresses pour accroître encore leur humiliation.


    Humiliation

    L'humiliation est à la base de toutes les pénitences.

    C'est l'humiliation qui est recherchéee, et non pas la douleur. C'est en cela que la soumission torchonnière n'est pas une pratique sado-masochiste dure, mais plutôt un fétichisme de l'humiliation ménagère.

    Le fétichisme de l'humiliation, de la faiblesse, s'appelle "asthénolagnie".


    Immobilisation au sol

    L'immobilisation (que les anglais appellent "pinning", ou plutôt "schoolgirl pinning) est une position visant à clouer au sol, par son poids, le soumis. C'est une sorte d'abaissage particulier.

    La maîtresse est assise sur le soumis, sur sa poitrine ou son ventre, et elle lui tient les bras pour immobiliser ceux-ci. Bien sûr, les jambes sont libres, mais rien n'empêche de les maintenir autrement.

    Une fois le soumis immobilisé, on peut lui cracher dessus, lui faire chatouiller les pieds par une autre boudinière, etc.


    Infirmière

    Bien sûr, une vraie infirmière est complètement inutile, puisque aucune pénitence, aucune pratique ne fait vraiment mal aux servantes. Cependant, pour les lavements, comme pour les langeages, il faut une certaine expérience, une certaine habitude, une expérience d'infirmière. Surtout quand les pénitences se rapprochent de l'éducation allemande et du Kaviar Und Klyster.

    Quand il faut donner un lavement, il est donné par une Maîtresse en tablier de cuisine, parce qu'on s'habille pour la sortie au cul comme on s'habille pour l'entrée à la bouche.

    Mais les tabliers d'infirmières, et les longs voiles qu'elles portent sur les cheveux, sont si jolis...


    Insultes

    Abécédaire fantasmatique

    Les maîtresses, pour humilier les servantes, les insultent le plus souvent possible. Toutes les insultes ne sont pas utilisées, seulement celles qui sont bien humiliantes.

    Il y a les insultes classiques

    • Salope
    • Connasse
    • Pétasse

    Les insultes sur la propreté:

    • Merdeuse
    • Cacateuse
    • Pisseuse
    • Morveuse

    Les insultes animales (avec précaution)

    • Cochonne
    • Cochonnette
    • Truie
    • Grosse vache

    il faut une certaine expérience, une certaine habitude, pour choisir la bonne insulte au bon moment.


    Jambons

    Les fesses s'appellent les jambons, mais aussi : le cul, le joufflu, le pétard, le pousse-matières, le valseur, la croupe, le croupion, le popotin, le baigneur, le pétoulet, les miches. Il ne faut pas les confondre avec les cuisses, qu'on appelle les jambonneaux.

    Les servantes doivent montrer leurs jambons dès qu'une Maîtresse le demande, et les découvrir d'elles-mêmes pour recevoir les fessées. Leur cul est toujours un peu rouge à cause des coups reçus.

    Quand elles marchent, elles doivent toujours tortiller et frétiller du popotin.

    Les jambons servent à subir des pénitences culières, essentiellement des fessées.

    Ils servent aussi à punir, quant une Maîtresse les pose sur une servante pour la délicieuse pénitence qu'on appelle trônage.

    Les jambons s'appellent aussi les miches, parce qu'elles ressemblent à de belles miches de pain, bien rondes, et plus ou moins fermes.


    Kaviar Und Klyster

    Kaviar Und Klyster, en allemand, cela veut dire caviar et lavement. Cette expression désigne ce qu'on appelle aussi l'éducation allemande, c'est à dire des pénitences à base de jeux de merde et de lavements.

    L'éducation allemande est souvent pratiquée par une Maîtresse habillée de plastique ou de caoutchouc, comme une infirmière un peu particulière. On l'appelle une lavementière ou une lavementeuse.

    Les Maîtresse pratiquent une forme un peu particulière d'éducation allemande, puisque, à la place de l'infirmière en caoutchouc, c'est une bonne Tripière en tablier de cuisine qui va donner les lavements, ou chier sur les esclaves.

    Il peut être utile de protéger le mobilier avec une alèse quand on fait ce genre de jeux.


    Ketchup

    Le ketchup est un ingrédient très souvent utilisé pour barbouiller les servantes, les salir, lors des mangeries ou lors d'autres pénitences.

    Le ketchup a l'avantage d'être bien collant, et de bien s'étaler. Sa couleur rouge est très visible, et se détache bien sur les tabliers blancs. Parce que, bien sûr, l'esclave peut être salie quand elle est nue, mais aussi quand elle est habillée.


    Langeage

    Le langeage n'est pas seulement une pénitence, mais aussi un amusement des Maîtresses. La Crémière est la plus experte dans ce domaine. La servante est langée soit avec des langes en toile à torchon, soit avec des torchons ou des nappes. On utilise aussi des couches. Puis, elle est mise dans une culotte en caoutchouc.

    Dans cette tenue, elle pourra soit continuer son service, soit être câlinée comme un bébé, recevoir la tétée, le biberon.

    La servante doit faire ses besoins dans ses langes. Quand ses Maîtresses le veulent, elles lui nettoyent après le cul et l'entrecuisse.

    Il est particulièrement amusant de langer la servante quand elle a envie de pisser et chier, ou après un lavement.

    Les servantes lavent les langes sales, ce qui constitue une pénitence particulièrement adaptée aux cas de saleté. Une autre pénitence consiste à leur mettre le nez dedans.

    Quand une servante est fatiguée d'avoir travaillé, elle peut être langée pour se reposer, ce qui est pour elle une gâterie.


    Languette

    La languette est un bâillon particulièrement pénible.

    La punie doit tirer la langue, qui est coincée entre deux petites baguettes de bois serrées par des élastiques. On ne serre pas assez pour faire mal, mais juste pour empêcher la langue de rentrer.

    Ainsi, la punie ne peut pas parler, mais en plus elle se bave dessus abondamment, c'est un des intérêts de la languette. L'autre est que, même baillonnée, on peut faire goûter du pipi ou du caca à l'esclave.


    Lavement

    Le lavement est une pénitence très humiliante. La clystérophilie est la spécialité de la Tripière et de la Serveuse, qui sont les lavementeuses les plus expérimentées. Il est donné avec un bock, du robinet duquel sort un tuyau terminé par une canule (qui peut être dotée de ballonets interne et externe). On utilise aussi une poire ou un entonnoir. Le lavement est une humiliation, il ne doit pas être douloureux. Il fait pourtant partie de l'éducation allemande, qu'on appelle aussi Kaviar Und Klyster.

    La pénitente est couchée à plat ventre, couchée sur le dos cuisses écartées, ou à quatre pattes, parfois sur une alèse. Il est bon qu'elle voit la lavementière qui la remplit. Si la canule peut être grosse, elle est toujours graissée, ainsi que la rosette de la pénitente. Le liquide, tiède, peut être de l'eau, du lait, du bouillon tiède, ou de la pisse. La quantité est de deux litres en général, mais suivant la pénitence que l'on veut imposer, et la pratique de la lavementeuse, on peut en mettre plus.

    Une fois le cul rempli, il peut être fermé avec un bouchon (un plug gonflable, un morceau de saucisse, etc.), et la servante peut être ou non langée. Elle relâchera le lavement spontanément, ou après des chatouilles, ou par pression d'une maîtresse sur son ventre.

    Bien entendu, le lavement relâché pourra être utilisé, bien sale, pour une autre humiliation. Il peut être filtré, pour récupérer la merde molle qui servira à autre chose.

    Il peut aussi être relaché dans la culotte de la servante, qui restera comme ça honteuse et trempée.


    Lavementeuse

    La lavementière ou lavementeuse, est la Maîtresse qui, à titre de pénitence ou de gâterie, donne un lavement.

    Être lavementière demande beaucoup de qualités. Il faut savoir insérer la canule ou la poire, choisir le liquide approprié, régler la température... Il faut, surtout, administrer la bonne quantité, celle qui provoquera le plaisir, la honte, l'inconfort, la gêne, mais jamais vraiment la douleur, qui n'est pas le but recherché. Il faut savoir, aussi, dire des choses humiliantes, masser le ventre pour bien répartir le liquide, etc... Et, enfin, il faut savoir choisir le moment de l'expulsion.

    La lavementière a le matériel nécessaire, et les protections adéquates, c'est à dire toujours un tablier, en caoutchouc, plastique ou PVC le plus souvent, ainsi que fréquemment des gants.

    La plus expérimentée des lavementières est la Tripière, mais la Serveuse est aussi très experte dans ce domaine.


    Léchage

    Les léchages sont des pénitences bouchières très appréciées des Maîtresses comme des esclaves. La servante doit lécher une partie du corps de sa Maîtresse, la baiser et la sucer. Pour celà, elle a souvent les mains liées, afin de ne pouvoir utiliser que sa bouche.

    Le léchage se fait le plus souvent sur la tartoune ou sur le troufignon. Si ils sont sales, c'est encore mieux. Il se pratique également sur les pieds : c'est alors un petit salé, meilleur encore si les pieds sont en sueur. D'ailleurs, les Maîtresses portent souvent des chaussonsou des bottines basses en plastique, exprès pour transpirer dedans. Tout le corps, sinon, peut être léché, surtout ce qui est sale, comme les aisselles.

    La partie léchée peut être pimentée par de la nourriture (fromage blanc, crème de marron) ou par de la pisse ou un peu de caca, ce qui rend le léchage plus difficile, car il doit nettoyer parfaitement la peau.


    Linge

    Le linge et les vêtements, essentiellement en coton, lin ou métis, servent à faire le torchonnage.

    Le linge d'office comprend essentiellement les torchons et les nappes.

    Les vêtements comprennent:

    • des tabliers
    • des blouses et des robes
    • des sous-vêtements féminins : culottes, soutiens-gorge, jupons, sages, d'allure campagnarde
    • des coiffes, des charlottes, des toques
    • des socques en bois, des sandales
    • des chaussons en plastique, des bottines en caoutchouc blanc.

    Les Maîtresses sont le plus souvent habillées de la façon suivante:

    • Une blouse ou une robe-tablier
    • Un grand tablier à bavette
    • Un tablier taille porté sur le tablier à bavette
    • Un torchon étalé par dessus le tablier-taille
    • Un ou deux torchons pendus à la ceinture
    • Une coiffe sur la tête
    • Des socques ou des sandales aux pieds

    Le linge est lavé à la machine, ou à la main par une esclave, avec une lessive douce, qui le nettoie sans trop effacer les taches : il doit toujours avoir l'air un peu sale. Après avoir été séché sur un étendage, il est repassé et rangé dans des armoires. Il en est de même pour les vêtements.


    Lit

    Le lit fait partie du mobilier.

    Il est utilisé pour le repos, mais surtout pour attacher les servantes lors de certains saucissonnages.

    Les Saucissonneuses se servent pour cela de lits spéciaux de contention, avec tout ce qu'il faut pour attacher dessus la pénitente. Elle y sera complètement immobilisée, mais de manière bien confortable, pour qu'elle puisse supporter la pénitence plus longtemps. Le lit est donc équipé de sangles pour bien maintenir la servante. Il y a en principe au moins des liens pour les pieds et les mains, et deux ou trois sangles pour la poitrine, la taille, les cuisses.

    Bien sûr, si la pénitence doit durer longtemps, un langeage est nécessaire. Mais de toute façon, en cas de fuite de pipi ou de caca, le lit à une alèse sur le matelas.

    Le lit est bien pratique pour faire des abaissages, bien confortablement pour la Maîtresse qui fera l'écraseuse.